Fiche technique
- Titre : Mères-filles : Une relation à trois
- Auteur : Eliacheff, Caroline
- Langue : Anglais
- Format : Broché
- Nombre de pages : 422
- Genre : Développement personnel
- Date de publication : 01-02-2002
- Édition : Albin Michel
- Poids : 0.49 kg
- Dimensions : 14.4 x 3 x 22.5 cm
- ISBN-10 : 2226131442
- ISBN-13 : 9782226131447
Résumé
Les hommes ne le savent peut-être pas, mais ce dont la plupart des femmes préfèrent parler entre elles, ce n'est pas d'eux : c'est de leur mère. En effet, si les femmes ne deviennent pas toutes mères, si les mères n'ont pas toutes des filles, toutes ont une mère. S'interroger sur la relation mère-fille est donc leur lot commun. C'est aussi celui des hommes, impliqués, qu'ils le veuillent ou non, dans cette relation. À partir de cas empruntés à la fiction (romans et films), Caroline Eliacheff et Nathalie Heinich reconstituent l'éventail de toutes les relations possibles, montrant comment s'opèrent la transmission des rôles et la construction des identités, de génération en génération. Ainsi se dessinent les conditions d'une bonne relation. Car, dans l'expérience délicate qui consiste à être une fille pour sa mère et éventuellement une mère pour sa fille, il est sans doute des voies plus praticables que d'autres.Amazon.frQuand des femmes se retrouvent entre elles, de quoi parlent-elles ? N'en déplaisent à ces messieurs, de leurs mères. C'est ce que soutiennent Caroline Eliacheff et Nathalie Heinich dans leur ouvrage consacré à la relation mères-filles. Les figures de la mère sont nombreuses et variées : mère jalouse, mère supérieure, mère immature, mère confidente, mère marieuse... Chaque grand événement de la vie appelle son lot de regards et de postures maternelles que le cinéma, la littérature et les contes populaires ont bien souvent immortalisés. Le choix méthodologique de la psychanalyste et de la sociologue, qui conjuguent ici leurs compétences, est de s'appuyer sur la manière dont la culture populaire représente spontanément et décline à l'envi les relations entre mères et filles. Délibérément éclectiques, les auteurs se réfèrent aussi bien à l'incontournable Françoise Dolto qu'à Colette ou Virginia Woolf, en passant par Pedro Almodovar.Mère-filles : une relation à trois met indéniablement en appétit. Mais si les femmes ne se lassent jamais de parler des mères qu'elles ont, qu'elles sont, qu'elles auraient aimé avoir, qu'elles seront peut-être, qu'elles ne seront jamais... il n'est pas moins vrai qu'elles aimeraient aussi s'expliquer ou mieux comprendre la nature des rapports difficiles qu'elles entretiennent avec la fonction maternelle. Sur le même thème : de Marie-Magdeleine Messana : Entre mère et fille : un ravage ; d'Aldo Naouri : Les Filles et leurs Mères. --Emilio BalturiQuatrième de couvertureLes hommes ne le savent peut-être pas, mais ce dont la plupart des femmes préfèrent parler entre elles, ce n'est pas d'eux : c'est de leur mère. En effet, si les femmes ne deviennent pas toutes mères, si les mères n'ont pas toutes des filles, toutes ont une mère. S'interroger sur la relation mère-fille est donc leur lot commun. C'est aussi celui des hommes, impliqués, qu'ils le veuillent ou non, dans cette relation. À partir de cas empruntés à la fiction (romans et films), Caroline Eliacheff et Nathalie Heinich reconstituent l'éventail de toutes les relations possibles, montrant comment s'opèrent la transmission des rôles et la construction des identités, de génération en génération. Ainsi se dessinent les conditions d'une bonne relation. Car, dans l'expérience délicate qui consiste à être une fille pour sa mère et éventuellement une mère pour sa fille, il est sans doute des voies plus praticables que d'autres.Caroline Eliacheff, psychanalyste, est l'auteur des Indomptables, figures de l'anorexie (avec Ginette Raimbault) ; À corps et à cris, être psychanalyste avec les tout-petits et Vies privées, de l'enfant roi à l'enfant victime. Nathalie Heinich, sociologue, directeur de recherches au CNRS, a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels : États de femme, L'identité féminine dans La fiction occidentale.
Quatrième de couverture
Les hommes ne le savent peut-être pas, mais ce dont la plupart des femmes préfèrent parler entre elles, ce n'est pas d'eux : c'est de leur mère. En effet, si les femmes ne deviennent pas toutes mères, si les mères n'ont pas toutes des filles, toutes ont une mère. S'interroger sur la relation mère-fille est donc leur lot commun. C'est aussi celui des hommes, impliqués, qu'ils le veuillent ou non, dans cette relation. À partir de cas empruntés à la fiction (romans et films), Caroline Eliacheff et Nathalie Heinich reconstituent l'éventail de toutes les relations possibles, montrant comment s'opèrent la transmission des rôles et la construction des identités, de génération en génération. Ainsi se dessinent les conditions d'une bonne relation. Car, dans l'expérience délicate qui consiste à être une fille pour sa mère et éventuellement une mère pour sa fille, il est sans doute des voies plus praticables que d'autres.Caroline Eliacheff, psychanalyste, est l'auteur des Indomptables, figures de l'anorexie (avec Ginette Raimbault) ; À corps et à cris, être psychanalyste avec les tout-petits et Vies privées, de l'enfant roi à l'enfant victime. Nathalie Heinich, sociologue, directeur de recherches au CNRS, a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels : États de femme, L'identité féminine dans La fiction occidentale.Biographie de l'auteurCaroline Eliacheff est pédo-psychiatre, psychanalyste et chroniqueuse à France-Culture. C'est l'auteure de nombreux ouvrages parmi lesquels, chez Albi
À propos de l'auteur
Eliacheff, Caroline
Caroline Eliacheff est pédo-psychiatre, psychanalyste et chroniqueuse à France-Culture. C'est l'auteure de nombreux ouvrages parmi lesquels, chez Albi
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