Fiche technique
- Titre : La Retraite aux flambeaux
- Auteur : Clavel, Bernard
- Langue : Anglais
- Format : Broché
- Nombre de pages : 171
- Genre : Romans francophones
- Date de publication : 04-01-2002
- Édition : Albin Michel
- Poids : 0.24 kg
- Dimensions : 13 x 1.7 x 20 cm
- ISBN-10 : 2226130977
- ISBN-13 : 9782226130976
Résumé
Nous sommes en septembre 44 dans un petit village du Doubs. Ferdinand est une force de la nature, mais aussi un doux. Il aime son pays, sa forêt et les parties de pêches. Quand les Allemands battent en retraite, détruisant tout ce qu'ils peuvent sur leur passage, le village entier les regarde passer derrière les volets clos. Ferdinand et sa femme Maria sont de ceux-là. Jusqu'au moment où un jeune officier SS, encore arrogant, tente de lui voler son vélo. Une ultime agression que Ferdinand, qui a rongé son frein pendant ces longues années de guerre, ne supporte pas. Et le colosse qui ne contrôle plus sa force, se jette sur l'allemand, le ligote dans la cave et ne sait plus qu'en faire. Son meilleur ami et sa femme non plus. Comment assumer cet acte de Résistance qui n'est plus de mise, comment se débarrasser d'un officier ennemi qui gesticule, qui hurle même s'il a encore l'air d'un enfant, alors que les convois allemands menacent continuellement de fusiller tous ceux qui s'opposeraient à leur passage ? Le choix de Ferdinand sera déchirant. A travers l'affrontement de trois caractères différents, Bernard Clavel décrit avec une minutie extrême la montée de la peur, la panique et le choix final qui hantera le héros toute sa vie.Quatrième de couvertureÉté 1944. Un petit village du Jura. Derrière ses volets clos, Ferdinand Bringuet, mécanicien retraité des chemins de fer, observe la débâcle des Allemands. Est-ce la fin de la guerre ?Comme Le Soleil des morts, La Retraite aux flambeaux est un roman hanté par la violence en même temps qu'habité par l'amour. Impitoyable réquisitoire contre la guerre, cette oeuvre grave est une magnifique réflexion sur l'âme humaine, le sens de la justice et de la culpabilité. Aucun combat n'est équitable, il n'y a ni vainqueur ni vaincu, semble nous dire Bernard Clavel. Seulement des hommes qui meurent.
Quatrième de couverture
Été 1944. Un petit village du Jura. Derrière ses volets clos, Ferdinand Bringuet, mécanicien retraité des chemins de fer, observe la débâcle des Allemands. Est-ce la fin de la guerre ?Comme Le Soleil des morts, La Retraite aux flambeaux est un roman hanté par la violence en même temps qu'habité par l'amour. Impitoyable réquisitoire contre la guerre, cette oeuvre grave est une magnifique réflexion sur l'âme humaine, le sens de la justice et de la culpabilité. Aucun combat n'est équitable, il n'y a ni vainqueur ni vaincu, semble nous dire Bernard Clavel. Seulement des hommes qui meurent.Biographie de l'auteurBernard Clavel est né le 29 mai 1923 à Lons-le-Saunier, au fond d'un grand jardin où peinaient son père ancien boulanger et sa mère fleuriste. Enfant rêveur et peu studieux, il quitte l'école à quatorze ans pour entrer en apprentissage chez un pâtissier de Dole. Les deux années qu'il passera sous la coupe d'un patron injuste et brutal le marqueront profondément, faisant de lui un éternel révolté. Du fournil à l'usine de lunettes, du vignoble à la forêt, de la baraque de lutte à l'atelier de reliure, de la sécurité sociale à la presse écrite et parlée, il connaîtra bien des métiers qui constituent "ses universités", un peu comme London, qui l'a tant fait rêver, ou Gorki à qui André Maurois devait le comparer dès ses premiers livres. Sans aide, sans conseiller, sans véritable maître, dès l'adolescence, il peint et écrit, songeant en secret au jour où il pourra s e consacrer totalement à l'art. Personne ne prend au sérieux cet autodidacte qui se croit artiste. Il détruit plusieurs romans et de nombreux poèmes et nouvelles avant que René Julliard ne se décide à publierL'Ouvrier de la nuit, en 1956. Cette publication lui permettra de rencontrer Jacques Peuchmaurd qui deviendra, au plein sens du terme, son directeur littéraire. Encouragé dès lors par Reverzy, Lanoux, Bachelard, Gabriel Marcel, Hervé Bazin, Marcel Aymé et quelques autres écrivains, il poursuit une oeuvre qui s'impose peu à peu. En quarante ans, il publie près de quatre-vingt-dix livres qui seront traduits dans une vingtaine de pays. Certains de ses romans connaissent des tirages qui atteignent plusieurs millions d'exemplaires po ur la seule langue française. Bernard Clavel a reçu plus de 20 prix littéraires dont le Prix Goncourt pourLes Fruits de l'hiver, les Grand Prix de la Ville de Paris et de la Ville de Bordeaux pour l'ensemble de son oeuvre, le Prix des Maisons de la Presse... Elu à l'académie Goncourt en 1971 au couvert de Jean Giono, il démissionne en 1977, trop pris par l'écriture pour consacrer tant de temps à la lecture, et plus à l'aise dans les grands espaces qu
À propos de l'auteur
Clavel, Bernard
Bernard Clavel est né le 29 mai 1923 à Lons-le-Saunier, au fond d'un grand jardin où peinaient son père ancien boulanger et sa mère fleuriste. Enfant rêveur et peu studieux, il quitte l'école à quatorze ans pour entrer en apprentissage chez un pâtissier de Dole. Les deux années qu'il passera sous la coupe d'un patron injuste et brutal le marqueront profondément, faisant de lui un éternel révolté. Du fournil à l'usine de lunettes, du vignoble à la forêt, de la baraque de lutte à l'atelier de reliure, de la sécurité sociale à la presse écrite et parlée, il connaîtra bien des métiers qui constituent "ses universités", un peu comme London, qui l'a tant fait rêver, ou Gorki à qui André Maurois devait le comparer dès ses premiers livres. Sans aide, sans conseiller, sans véritable maître, dès l'adolescence, il peint et écrit, songeant en secret au jour où il pourra s e consacrer totalement à l'art. Personne ne prend au sérieux cet autodidacte qui se croit artiste. Il détruit plusieurs romans et de nombreux poèmes et nouvelles avant que René Julliard ne se décide à publierL'Ouvrier de la nuit, en 1956. Cette publication lui permettra de rencontrer Jacques Peuchmaurd qui deviendra, au plein sens du terme, son directeur littéraire. Encouragé dès lors par Reverzy, Lanoux, Bachelard, Gabriel Marcel, Hervé Bazin, Marcel Aymé et quelques autres écrivains, il poursuit une oeuvre qui s'impose peu à peu. En quarante ans, il publie près de quatre-vingt-dix livres qui seront traduits dans une vingtaine de pays. Certains de ses romans connaissent des tirages qui atteignent plusieurs millions d'exemplaires po ur la seule langue française. Bernard Clavel a reçu plus de 20 prix littéraires dont le Prix Goncourt pourLes Fruits de l'hiver, les Grand Prix de la Ville de Paris et de la Ville de Bordeaux pour l'ensemble de son oeuvre, le Prix des Maisons de la Presse... Elu à l'académie Goncourt en 1971 au couvert de Jean Giono, il démissionne en 1977, trop pris par l'écriture pour consacrer tant de temps à la lecture, et plus à l'aise dans les grands espaces qu
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