Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La reine Victoria

Relié - FAYARD - 539 pages - Publication: 16 février 2000

Marx, Roland (Auteur)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur La reine Victoria est née (en 1819) au lendemain de l'effondrement napoléonien et dans une Angleterre déjà engagée dans la révolution industrielle. Elle est morte (en 1901), après soixante-quatre ans de règne, quand son pays contrôlait le plus vaste empire qui fut jamais et alors qu'étaient perceptibles les premiers symptômes de déclin. Si elle n'a pas exercé le pouvoir effectif - les grands hommes d'Etat anglais du XIXe siècle se nomment Palmerston, Disraeli, Gladstone... -, elle partage pourtant avec Auguste, Périclès et Louis XIV le très recherché privilège historique d'avoir donné son nom à un siècle. Sous son règne, l'Angleterre a en effet connu une puissance matérielle, un épanouissement intellectuel et artistique sans précédents. Les idées d'égalité, d'émancipation des femmes, de tolérance religieuse, de progrès social (voire de socialisme) ont fait des avancées décisives, mais la part que Victoria prit dans ces bouleversements est modeste. Réticente devant l'innovation, approuvant l'extension de la domination de l'homme blanc sur le monde, apologiste de la femme au foyer (quoique mère peu prodigue de sa tendresse), elle n'incarne certes pas les valeurs de changement. En revanche, elle procure à son peuple ce que la fantastique machine économique anglaise est incapable de lui donner : elle est symbole d'unité, de stabilité, de permanence. Elle affermit un trône quelque peu malmené avant elle, elle tend aux élites traditionnelles comme aux hommes nouveaux et aux classes populaires un même miroir, qui se veut aussi un modèle. En particulier du vivant du prince Albert, elle incarne aux yeux d'une Angleterre angoissée, désorientée par ses triomphes, les valeurs menacées. Son exceptionnelle longévité fait le reste. Sa popularité, immense, ne connaît pas d'éclipse. Ne serait-ce qu'à ce titre, elle a joué un rôle historique considérable. Professeur émérite à l'université de Paris-III, Roland Marx est spécialiste de l'histoire des îles Britanniques à laquelle il a consacré de nombreux travaux dont, en dernier lieu, Histoire de l'Angleterre (Fayard, 1993). Amazon.fr Victoria fut le symbole d'un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais et d'une société sur lequel il ne se levait pas beaucoup. Peu aimable en apparence, qui était véritablement la reine fétiche de l'Angleterre ? L'une des principales qualités du portrait qu'en livre Roland Marx, c'est justement d'aller au-delà de l'image. Ce professeur en Sorbonne, historien passionné de l'Angleterre moderne, est un familier des portraits décapants : après avoir écrit sur Winston Churchill comme sur Jack l'éventreur et les fantasmes victoriens, les icônes ne l'intimident pas et il a appris à éclairer les recoins obscurs de l'imaginaire anglais. C'est ce qu'il fait ici. En dépassant le symbole, il dévoile la souveraine, ses liens étranges avec Disraeli, et jette un regard cru sur une société folle d'orgueil. Il traite sur le même ton des fantasmes qui frémissent dans une élite corsetée et de la démesure des ambitions impériales. Reprenant ses travaux déjà classiques sur l'Angleterre victorienne, Roland Marx nous entraîne à la rencontre d'une souveraine dont le règne se confond avec l'apogée de la puissance britannique. --Frédéric J. Biographie de l'auteur Professeur émérite à l'université de Paris-III, Roland Marx est spécialiste de l'histoire des îles Britanniques à laquelle il a consacré de nombreux travaux dont, en dernier lieu, Histoire de l'Angleterre (Fayard, 1993).
Détails du livre
Auteur

La reine Victoria

Relié - FAYARD - 539 pages - Publication: 16 février 2000

Marx, Roland (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur La reine Victoria est née (en 1819) au lendemain de l'effondrement napoléonien et dans une Angleterre déjà engagée dans la révolution industrielle. Elle est morte (en 1901), après soixante-quatre ans de règne, quand son pays contrôlait le plus vaste empire qui fut jamais et alors qu'étaient perceptibles les premiers symptômes de déclin. Si elle n'a pas exercé le pouvoir effectif - les grands hommes d'Etat anglais du XIXe siècle se nomment Palmerston, Disraeli, Gladstone... -, elle partage pourtant avec Auguste, Périclès et Louis XIV le très recherché privilège historique d'avoir donné son nom à un siècle. Sous son règne, l'Angleterre a en effet connu une puissance matérielle, un épanouissement intellectuel et artistique sans précédents. Les idées d'égalité, d'émancipation des femmes, de tolérance religieuse, de progrès social (voire de socialisme) ont fait des avancées décisives, mais la part que Victoria prit dans ces bouleversements est modeste. Réticente devant l'innovation, approuvant l'extension de la domination de l'homme blanc sur le monde, apologiste de la femme au foyer (quoique mère peu prodigue de sa tendresse), elle n'incarne certes pas les valeurs de changement. En revanche, elle procure à son peuple ce que la fantastique machine économique anglaise est incapable de lui donner : elle est symbole d'unité, de stabilité, de permanence. Elle affermit un trône quelque peu malmené avant elle, elle tend aux élites traditionnelles comme aux hommes nouveaux et aux classes populaires un même miroir, qui se veut aussi un modèle. En particulier du vivant du prince Albert, elle incarne aux yeux d'une Angleterre angoissée, désorientée par ses triomphes, les valeurs menacées. Son exceptionnelle longévité fait le reste. Sa popularité, immense, ne connaît pas d'éclipse. Ne serait-ce qu'à ce titre, elle a joué un rôle historique considérable. Professeur émérite à l'université de Paris-III, Roland Marx est spécialiste de l'histoire des îles Britanniques à laquelle il a consacré de nombreux travaux dont, en dernier lieu, Histoire de l'Angleterre (Fayard, 1993). Amazon.fr Victoria fut le symbole d'un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais et d'une société sur lequel il ne se levait pas beaucoup. Peu aimable en apparence, qui était véritablement la reine fétiche de l'Angleterre ? L'une des principales qualités du portrait qu'en livre Roland Marx, c'est justement d'aller au-delà de l'image. Ce professeur en Sorbonne, historien passionné de l'Angleterre moderne, est un familier des portraits décapants : après avoir écrit sur Winston Churchill comme sur Jack l'éventreur et les fantasmes victoriens, les icônes ne l'intimident pas et il a appris à éclairer les recoins obscurs de l'imaginaire anglais. C'est ce qu'il fait ici. En dépassant le symbole, il dévoile la souveraine, ses liens étranges avec Disraeli, et jette un regard cru sur une société folle d'orgueil. Il traite sur le même ton des fantasmes qui frémissent dans une élite corsetée et de la démesure des ambitions impériales. Reprenant ses travaux déjà classiques sur l'Angleterre victorienne, Roland Marx nous entraîne à la rencontre d'une souveraine dont le règne se confond avec l'apogée de la puissance britannique. --Frédéric J. Biographie de l'auteur Professeur émérite à l'université de Paris-III, Roland Marx est spécialiste de l'histoire des îles Britanniques à laquelle il a consacré de nombreux travaux dont, en dernier lieu, Histoire de l'Angleterre (Fayard, 1993).
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