Présentation de l'éditeur C'est le matin de Noël. Petit Lapin et ses frères et soeurs courent jusqu'à la cheminée... mais il n'y a pas un seul cadeau. Il a neigé si fort cette nuit que la maison a été entièrement ensevelie et que le Père-Noël ne l'a pas vue. Petit Lapin se lance t Quatrième de couverture C'est le matin de Noël. Petit Lapin et ses frères et soeurs courent jusqu'à la cheminée... mais il n'y a pas un seul cadeau. Il a neigé si fort cette nuit que la maison a été entièrement ensevelie et que le Père-Noël ne l'a pas vue. Petit Lapin se lance t Biographie de l'auteur Nadja est née en 1955 à Alexandrie en Égypte, d'une mère peintre de parents russes et d'un père médecin d'origine libanaise. Son enfance au Liban et en région parisienne n'a rien d'ordinaire : pas d'école mais des cours par correspondance jusqu'à l'âge de treize ans, et surtout des histoires racontées et dessinées par sa mère Olga Lecaye. En 1989, avec Chien bleu, un album aux gouaches fauves, Nadja obtient le prix Totem du Salon du livre de jeunesse de Montreuil. C'est l'entrée de la peinture dans l'album. Bien d'autres albums suivront, empreints d'un style expressionniste qui s'exprime avec force dans des peintures pleine page. Poursuivant la complicité créatrice initiée dans l'enfance avec les siens, elle aime faire des livres avec son fils, Raphaël Fejtö, sa mère Olga Lecaye et son frère Grégoire Solotareff. Avec ce dernier, elle a concocté des parodies de contes célèbres. C'est une autre facette de son talent qui apparaît alors, pleine d'humour et d'irrévérence. Dans cette même veine, elle a signé la célèbre série des Momo, celle désopilante et théâtrale des Petite princesse et d'autres pastiches de contes. Pour les grands, elle a créé des romans graphiques, notamment, L'homme de mes rêves (Cornelius), Les filles de Montparnasse (Olivius), Ô Cruelle (Actes Sud). Elle vit à Paris où elle partage son temps entre peinture et illustration. Olga Lecaye est née en 1916 à Paris, de parents russes. Après une enfance dans une maison merveilleuse près de Soissons, elle suit les cours du Louvre et part vivre en Egypte et au Liban. Elle collabore, en tant qu'illustratrice, à différents journaux de langue française, et crée un journal pour enfants. Ses enfants, Grégoire Solotareff et Nadja n'iront pas à l'école dans leurs premières années et elle leur inventera déjà des histoires et fabriquera même des livres. Après son retour en France, vers 1960, elle vit à quelques kilomètres de Paris et se consacre au dessin, à la peinture et au jardinage. Elle aura toujours une prédilection pour les forêts profondes, les histoires de solitude et d'amitié. Elle est décédée en juin 2004.