Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le Der des ders

Poche - MAGNARD - 112 pages - Publication: 29 juin 2010

Tardi, Jacques (Auteur), Revillon, Luc (Commentaire)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Dans le Paris des années 20, un magnifique graphisme noir et blanc au service d'une histoire aux confins du roman policier dans l'atmosphère de l'après-Première Guerre mondiale, au programme de 3e. Cette adaptation magistrale d'un roman de Daeninckx permet aussi d'appréhender les notions d'ellipse, de suspense, de registre de langue et de pastiche. Biographie de l'auteur « Et si Didier Daeninckx était une couleur ? » – Ce serait le noir : noir comme les romans policiers qu’il écrit ; noir comme la mort qui entra dans sa vie la nuit du 8 février 1962, quand, au métro Charonne, une amie de sa mère mourut sous les coups des policiers parce qu’elle manifestait contre la guerre coloniale qui ensanglantait l’Algérie ; noir comme l’ombre dont il tire les épisodes tragiques de l’histoire contemporaine ; noir comme les Kanaks de l’île de Lifou qui lui ont raconté comment, en 1931, cent cinq des leurs ont été parqués à Paris, au milieu de crocodiles, pour servir d’attraction à l’Exposition coloniale ; noir comme le visage de Christian Karambeu, dont les deux arrière-grands-pères faisaient partie de ces hommes, femmes et enfants exposés comme des « cannibales français » et finalement échangés contre des crocodiles du zoo de Hambourg… Didier Daeninckx rencontre la terre de Nouvelle-Calédonie en 1997 : il y a été invité par le directeur de la Bibliothèque centrale, qui veut apporter la culture du livre à toutes les tribus de l’archipel. Il visite alors les cases-bibliothèques et lui, l’écrivain, découvre un peuple dont la culture est essentiellement orale. Le soir, à la veillée, des conteurs lui racontent des légendes, des histoires ; un jour, quelqu’un évoque le triste sort des Kanaks de l’Exposition coloniale de 1931. Ce drame, que la presse parisienne de l’époque traita comme un simple fait divers, émeut profondément Didier Daeninckx, dont l’histoire personnelle, les choix politiques et littéraires sont marqués par la lutte contre toutes les formes de discrimination. Né à Saint-Denis en 1949, il porte le nom d’une lignée de déserteurs que l’exil conduisit de Gand à Stains et de la boue des tranchées à la « boue des banlieues ». Du côté maternel, il descend de cheminots militants communistes ; sa mère elle-même se bat contre les guerres coloniales et le fascisme. Dans la cour de son école d’Aubervilliers, ses copains sont kabyles, africains. Et quand, dans les années 1960, il abandonne un travail d’imprimerie pour voyager, il va à la rencontre des hommes du Maghreb, du Moyen-Orient et de Cuba. Depuis qu’il est devenu écrivain, son travail ne cesse de croiser ce qu’il appelle sa « romance familiale » et le nom d’hommes, de lieux que l’histoire de France aurait parfois voulu oublier, voire effacer. Ainsi, quand, en 1998, on lui demande une contribution au cent cinquantième anniversaire de l’abolition de l’esclavage, il rédige une pièce radiophonique intitulée Des Canaques à Paris, dont il reprend le thème pour écrire Cannibale et, ainsi, fixer par écrit un peu de la souffrance du peuple kanak. Car celui qui a dit « Pour moi, c’est une maxime d’écrivain : être un homme contre » ne cesse, en fait, d’écrire pour la mémoire collective.
Détails du livre
Auteur

Le Der des ders

Poche - MAGNARD - 112 pages - Publication: 29 juin 2010

Tardi, Jacques (Auteur), Revillon, Luc (Commentaire)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Dans le Paris des années 20, un magnifique graphisme noir et blanc au service d'une histoire aux confins du roman policier dans l'atmosphère de l'après-Première Guerre mondiale, au programme de 3e. Cette adaptation magistrale d'un roman de Daeninckx permet aussi d'appréhender les notions d'ellipse, de suspense, de registre de langue et de pastiche. Biographie de l'auteur « Et si Didier Daeninckx était une couleur ? » – Ce serait le noir : noir comme les romans policiers qu’il écrit ; noir comme la mort qui entra dans sa vie la nuit du 8 février 1962, quand, au métro Charonne, une amie de sa mère mourut sous les coups des policiers parce qu’elle manifestait contre la guerre coloniale qui ensanglantait l’Algérie ; noir comme l’ombre dont il tire les épisodes tragiques de l’histoire contemporaine ; noir comme les Kanaks de l’île de Lifou qui lui ont raconté comment, en 1931, cent cinq des leurs ont été parqués à Paris, au milieu de crocodiles, pour servir d’attraction à l’Exposition coloniale ; noir comme le visage de Christian Karambeu, dont les deux arrière-grands-pères faisaient partie de ces hommes, femmes et enfants exposés comme des « cannibales français » et finalement échangés contre des crocodiles du zoo de Hambourg… Didier Daeninckx rencontre la terre de Nouvelle-Calédonie en 1997 : il y a été invité par le directeur de la Bibliothèque centrale, qui veut apporter la culture du livre à toutes les tribus de l’archipel. Il visite alors les cases-bibliothèques et lui, l’écrivain, découvre un peuple dont la culture est essentiellement orale. Le soir, à la veillée, des conteurs lui racontent des légendes, des histoires ; un jour, quelqu’un évoque le triste sort des Kanaks de l’Exposition coloniale de 1931. Ce drame, que la presse parisienne de l’époque traita comme un simple fait divers, émeut profondément Didier Daeninckx, dont l’histoire personnelle, les choix politiques et littéraires sont marqués par la lutte contre toutes les formes de discrimination. Né à Saint-Denis en 1949, il porte le nom d’une lignée de déserteurs que l’exil conduisit de Gand à Stains et de la boue des tranchées à la « boue des banlieues ». Du côté maternel, il descend de cheminots militants communistes ; sa mère elle-même se bat contre les guerres coloniales et le fascisme. Dans la cour de son école d’Aubervilliers, ses copains sont kabyles, africains. Et quand, dans les années 1960, il abandonne un travail d’imprimerie pour voyager, il va à la rencontre des hommes du Maghreb, du Moyen-Orient et de Cuba. Depuis qu’il est devenu écrivain, son travail ne cesse de croiser ce qu’il appelle sa « romance familiale » et le nom d’hommes, de lieux que l’histoire de France aurait parfois voulu oublier, voire effacer. Ainsi, quand, en 1998, on lui demande une contribution au cent cinquantième anniversaire de l’abolition de l’esclavage, il rédige une pièce radiophonique intitulée Des Canaques à Paris, dont il reprend le thème pour écrire Cannibale et, ainsi, fixer par écrit un peu de la souffrance du peuple kanak. Car celui qui a dit « Pour moi, c’est une maxime d’écrivain : être un homme contre » ne cesse, en fait, d’écrire pour la mémoire collective.
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