Fiche technique
- Titre : Un coeur simple - Classiques et Patrimoine
- Auteur : Flaubert, Gustave
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 96
- Genre : Œuvre commentée
- Date de publication : 29-06-2012
- Édition : MAGNARD
- Poids : 0.102 kg
- Dimensions : 13.1 x 0.6 x 18 cm
- ISBN-10 : 221076078X
- ISBN-13 : 9782210760783
Résumé
Classiques & PatrimoineLes seuls classiques pédagogiques avec des rabats, à partir de 2.95 euros seulement !un rabat Histoire des arts : une œuvre d’art en grand format à étudier en classeun rabat Repères chronologiques : une frise chronologique illustrée de l’Antiquité à nos joursUn cœur simple de Flaubert :Un conte réaliste, où Flaubert narre le destin de Félicité, née pour servir et se dévouer aux autres, sans aucune récompense.Notions littéraires abordées : la description, l'argumentation, les registresHistoire des arts : le régionalisme, la bourgeoisie sous le Second EmpireŒuvre d’art du rabat : VuillardAvec en plus, dans cette édition : le texte intégral et des notes de bas de pageune présentation de Flaubert et de son époquedes séances thématiques avec des questionnaires progressifsdes rubriques Patrimoine et Histoire des arts, pour enrichir la culture des élèvesun grand nombre de documents iconographiques exploitésdes questions de grammaire, d’orthographe et de vocabulairedes encadrés Méthodeun lexique adapté à l’œuvre
À propos de l'auteur
Flaubert, Gustave
En 1823, le chirurgien-chef de l’Hôtel-Dieu de Rouen et son épouse ont déjà perdu trois enfants en bas âge lorsque Gustave, le cinquième-né atteint ses deux ans. L’empreinte de la mort fait du jeune Flaubert un enfant souffreteux, replié sur lui-même mais orgueilleux et dévoré par la passion des livres et de l’écriture. À quinze ans, il a déjà passé des nuits entières à écrire des contes ou des pièces de théâtre ; ses projets ont l’envergure de ceux d’écrivains confirmés. En 1836, sur la plage de Trouville où ses parents ont une résidence, le jeune homme rencontre la chaste épouse d’un éditeur, Élisa Schlésinger, qu’il aimera toute sa vie d’un amour platonique et douloureux. En 1844, une attaque d’épilepsie consécutive à la chute d’un cabriolet interrompt des études de droit entreprises à Paris sans enthousiasme ni efficacité. Condamné par une mère anxieuse à une vie de réclusion dorée, Gustave peut enfin s’adonner entièrement à l’écriture. Mais le deuil frappe de nouveau sa famille : son père meurt en janvier 1846, bientôt suivi de sa sœur adorée, Caroline, à peine âgée de vingt et un ans. Flaubert vivra désormais au quotidien entre deux femmes : sa nièce, orpheline de mère à deux mois, dont il devient le tuteur, et sa mère, chargée du poids de tant de morts à pleurer. Le devoir familial s’ajoute à la maladie pour le maintenir dans la « tour d’ivoire » de Croisset, maison de campagne des Flaubert où il vivra jusqu’à la fin de ses jours. Cette même année 1846, Flaubert rencontre Louise Colet lors d’une visite parisienne chez le sculpteur Pradier. La passion embrase Gustave pour cette poétesse belle et renommée mais très vite la liaison se dégrade et s’interrompt même deux ans plus tard alors que Flaubert s’apprête à voyager en Orient en compagnie de Maxime du Camp, homme de lettres mondain et protecteur. Au retour de ce périple qui l’a conduit en Égypte, en Palestine, en Grèce, puis en Italie, Flaubert n’est plus le même homme : son romantisme de « vieux troubadour » a disparu, il se livre à l’écriture comme un martyr à la croix, tout en renouant une relation de plus en plus exclusivement épistolaire avec Louise Colet. De 1852 à 1856, il travaille frénétiquement à Madame Bovary : le procès qui lui est fait lorsque le roman paraît et dont il sort victorieux ne fait qu’accroître son succès. Il devient dès lors un écrivain reconnu, accepte même de recevoir la Légion d’honneur et abandonne de plus en plus souvent son ermitage de Croisset au profit des salons parisiens les plus prestigieux. Les grands textes se succèdent au rythme lent de l’écrivain perfectionniste : Salammbô en 1862, L’Éducation sentimentale en 1869, La Tentation de saint Antoine en 1874, Trois Contes en 1877. Devenu l’ami de George Sand et de tout ce que la littérature offre de meilleur (Hugo, Gautier, Tourgueniev, Zola, etc.), salué par les écrivains natura
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