Fiche technique
- Titre : Le Jeu de l'amour et du hasard - Classiques et Patrimoine
- Auteur : Marivaux, Pierre
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 128
- Genre : Œuvre commentée
- Date de publication : 29-06-2012
- Édition : MAGNARD
- Poids : 0.129 kg
- Dimensions : 13 x 0.9 x 17.9 cm
- ISBN-10 : 2210760747
- ISBN-13 : 9782210760745
Résumé
Classiques & PatrimoineLes seuls classiques pédagogiques avec des rabats, à partir de 2,95 euros seulement !un rabat Histoire des arts : une œuvre d’art en grand format à étudier en classe un rabat Repères chronologiques : une frise chronologique illustrée de l’Antiquité à nos jours Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux :Une comédie de masque légère où, contre toute attente, les maîtres et les valets sont poussés à révéler leurs sentiments avec sincérité. Notions littéraires : le monologue, les registres littéraires au théâtre, la parodie, la parole au théâtreHistoire des arts : les fêtes galantes, l’héritage de la commedia dell’arte, rococo et néo-classicismeRepères élèves : frise historique et culturelle du XVIIIe siècle, lexique du théâtre, notes de vocabulaire, préparer une épreuve orale, méthodeŒuvre du rabat : WatteauAvec en plus, dans cette édition : - letexte intégral et des notes de bas de page - uneprésentation de Marivaux et de son époque - desséances thématiques avec des questionnaires progressifs - des rubriquesPatrimoine etHistoire des arts, pour enrichir la culture des élèves - un grand nombre dedocuments iconographiques exploités - des questions degrammaire, d’orthographe et devocabulaire - des encadrésMéthode - unlexique adapté à l’œuvre
À propos de l'auteur
Marivaux, Pierre
Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est issu d’une famille de noblesse de robe. Il naît à Paris en 1688, mais grandit à Riom (Auvergne) où son père Nicolas Carlet occupe la charge de contrôleur puis de directeur de la Monnaie (1704-1719), charge obtenue grâce au soutien de la famille de son épouse, plus aisée : Anne-Marie Bullet, dont le frère, Pierre Bullet, est architecte royal. Après des études classiques, Pierre Carlet revient à Paris et s’inscrit à la faculté de droit (1710) dans l’intention de devenir avocat et de succéder à son père comme fonctionnaire royal. Mais dès son arrivée, il fréquente les milieux artistiques et intellectuels, notamment le salon de Mme de Lambert où il ne tarde pas à rallier le camp des Modernes rassemblés autour du philosophe Fontenelle. Grâce au soutien de ce dernier, il publie sa première pièce, Le Père prudent et équitable, ainsi que son premier roman, Les Effets surprenants de la sympathie (1713), et rejoint le groupe des Modernes dans la rédaction du journal Le Nouveau Mercure (1717). Marivaux vient de débuter une carrière d’écrivain quand il épouse Colombe Bollogne, fille d’un avocat « conseiller du roi » : elle lui apporte une dot qui partira en fumée dans la banqueroute du financier Law (1720). Complètement ruiné, Marivaux, à qui l’on vient de refuser la succession de son père, devient un homme de lettres professionnel. Tout en conservant ses habitudes mondaines, il poursuit sa carrière entamée dans ses trois domaines de prédilection. Il crée son propre journal, Le Spectateur français (1721), puis L’Indigent philosophe (1727) et Le Cabinet du philosophe (1734), avant de revenir au Mercure (1751-1758). Dans le même temps, il écrit pour le Théâtre-Italien vingt-sept comédies en prose (dont dix-huit en un acte) et presque autant pour le Théâtre-Français et les théâtres de société. Il publie encore deux romans inachevés : La Vie de Marianne, dont la parution s’étend sur dix ans, et Le Paysan parvenu, deux autobiographies fictives tout aussi originales dans leurs techniques narratives que dans le choix des vies racontées. Après son élection à l’Académie (1742) – gagnée contre Voltaire –, il se consacre aux séances du dictionnaire et à l’écriture de discours académiques, en forme de « réflexions » morales ou esthétiques. En 1744, après plus de vingt ans de veuvage, il s’installe avec Mlle de Saint-Jean dans son hôtel particulier, tandis que sa fille unique, faute de dot, entre au couvent. Si sa production théâtrale se ralentit, ses pièces anciennes sont constamment reprises par les Italiens (L’Île des esclaves, 1757) et l
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