Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Qui veut la peau de la démocratie ?

Grand Format - DENOEL - 160 pages - Publication: 20 mars 2003

Meyer, Marie-Laure (Auteur), Delanoë, Bertrand (Préface)

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le 27 mars 2002, Marie-Laure Meyer, adjointe au maire de Nanterre, siégeait dans la salle du conseil municipal quand Richard Durn a ouvert le feu sur l'assistance : huit morts, dix-neuf blessés dont elle, certains avec des handicaps définitifs et tous les survivants traumatisés, profondément choqués par cette violence. Avant ce drame, elle était une élue socialiste anonyme préoccupée avant tout de problèmes locaux. Comment apporter de l'aide aux demandeurs d'emploi ? Comment mettre en place un plan de déplacements urbains ? Quel développement économique pour la ville ? Un an après les faits, Marie-Laure Meyer a voulu apporter avec pudeur ses réponses aux questions que cet acte continue de poser. Elle revient donc sur son engagement, sur le rôle et la place des élus, sur leurs responsabilités et celles des citoyens, sur la personnalité du tueur et, plus profondément, sur la signification de l'exécution froide et programmée d'un conseil municipal tout entier. Car abattre des élus, c'est tuer un peu de démocratie, c'est s'attaquer au socle de la paix civile. Amazon.fr Qui veut tuer la démocratie ? est à la fois un récit émouvant et une profession de foi politique et éthique. Marie-Laure Meyer, deuxième adjointe au maire de Nanterre, siège au conseil municipal sous l’étiquette socialiste. Le 27 mars 2002, un homme, Richard Durn, ouvre le feu lors d’une réunion du conseil municipal. Il tue 8 personnes et fait 19 blessés. "la tuerie de Nanterre" a chaviré émotionnellement l’opinion publique. On n’avait pas vu de tels actes se produire depuis la guerre. Un an après les faits, Marie-Laure Meyer, qui était présente le jour des faits et qui a vu tomber sous les balles ses collègues, s’interroge sur cet acte fou. Mais s’agit-il d’une folie individuelle ou l’expression d’un "désarroi collectif" ? Avec raison, elle rappelle qu’au cours de la même année, un homme a tenté de tirer sur Jacques Chirac et un autre a poignardé Bertrand Delanoë à Paris. Pour autant Marie-Laure Meyer veut continuer à militer. Son témoignage retrace le quotidien d’une élue de banlieue sans cacher la part inhérente d’angoisses, de frustrations et de sacrifices familiaux que cette fonction réclame. Plus que jamais, elle revendique le choix démocratique, seul moyen véritable d’avoir "la conscience du futur, la volonté de progrès, la responsabilité de nos enfants, l’espoir d’un monde meilleur". Ce témoignage fort et simple redonne leur vitalité aux vertus démocratiques. --Denis Gombert Quatrième de couverture Le 27 mars 2002, Marie-Laure Meyer, adjointe au maire de Nanterre, siégeait dans la salle du conseil municipal quand Richard Durn a ouvert le feu sur l'assistance : huit morts, dix-neuf blessés dont elle, certains avec des handicaps définitifs et tous les survivants traumatisés, profondément choqués par cette violence.Avant ce drame, elle était une élue socialiste anonyme préoccupée avant tout de problèmes locaux. Comment apporter de l'aide aux demandeurs d'emploi ? Comment mettre en place un plan de déplacements urbains ? Quel développement économique pour la ville ?Un an après les faits, Marie-Laure Meyer a voulu apporter avec pudeur ses réponses aux questions que cet acte continue de poser. Elle revient donc sur son engagement, sur le rôle et la place des élus, sur leurs responsabilités et celles des citoyens, sur la personnalité du tueur et, plus profondément, sur la signification de l'exécution froide et programmée d'un conseil municipal tout entier. Car abattre des élus, c'est tuer un peu de démocratie, c'est s'attaquer au socle de la paix civile. Biographie de l'auteur Marie-Laure Meyer, 44 ans, est deuxième adjointe au maire de Nanterre. Elle préside le groupe des élus socialistes au conseil municipal.
Détails du livre
Contenu
Auteur

Qui veut la peau de la démocratie ?

Grand Format - DENOEL - 160 pages - Publication: 20 mars 2003

Meyer, Marie-Laure (Auteur), Delanoë, Bertrand (Préface)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le 27 mars 2002, Marie-Laure Meyer, adjointe au maire de Nanterre, siégeait dans la salle du conseil municipal quand Richard Durn a ouvert le feu sur l'assistance : huit morts, dix-neuf blessés dont elle, certains avec des handicaps définitifs et tous les survivants traumatisés, profondément choqués par cette violence. Avant ce drame, elle était une élue socialiste anonyme préoccupée avant tout de problèmes locaux. Comment apporter de l'aide aux demandeurs d'emploi ? Comment mettre en place un plan de déplacements urbains ? Quel développement économique pour la ville ? Un an après les faits, Marie-Laure Meyer a voulu apporter avec pudeur ses réponses aux questions que cet acte continue de poser. Elle revient donc sur son engagement, sur le rôle et la place des élus, sur leurs responsabilités et celles des citoyens, sur la personnalité du tueur et, plus profondément, sur la signification de l'exécution froide et programmée d'un conseil municipal tout entier. Car abattre des élus, c'est tuer un peu de démocratie, c'est s'attaquer au socle de la paix civile. Amazon.fr Qui veut tuer la démocratie ? est à la fois un récit émouvant et une profession de foi politique et éthique. Marie-Laure Meyer, deuxième adjointe au maire de Nanterre, siège au conseil municipal sous l’étiquette socialiste. Le 27 mars 2002, un homme, Richard Durn, ouvre le feu lors d’une réunion du conseil municipal. Il tue 8 personnes et fait 19 blessés. "la tuerie de Nanterre" a chaviré émotionnellement l’opinion publique. On n’avait pas vu de tels actes se produire depuis la guerre. Un an après les faits, Marie-Laure Meyer, qui était présente le jour des faits et qui a vu tomber sous les balles ses collègues, s’interroge sur cet acte fou. Mais s’agit-il d’une folie individuelle ou l’expression d’un "désarroi collectif" ? Avec raison, elle rappelle qu’au cours de la même année, un homme a tenté de tirer sur Jacques Chirac et un autre a poignardé Bertrand Delanoë à Paris. Pour autant Marie-Laure Meyer veut continuer à militer. Son témoignage retrace le quotidien d’une élue de banlieue sans cacher la part inhérente d’angoisses, de frustrations et de sacrifices familiaux que cette fonction réclame. Plus que jamais, elle revendique le choix démocratique, seul moyen véritable d’avoir "la conscience du futur, la volonté de progrès, la responsabilité de nos enfants, l’espoir d’un monde meilleur". Ce témoignage fort et simple redonne leur vitalité aux vertus démocratiques. --Denis Gombert Quatrième de couverture Le 27 mars 2002, Marie-Laure Meyer, adjointe au maire de Nanterre, siégeait dans la salle du conseil municipal quand Richard Durn a ouvert le feu sur l'assistance : huit morts, dix-neuf blessés dont elle, certains avec des handicaps définitifs et tous les survivants traumatisés, profondément choqués par cette violence.Avant ce drame, elle était une élue socialiste anonyme préoccupée avant tout de problèmes locaux. Comment apporter de l'aide aux demandeurs d'emploi ? Comment mettre en place un plan de déplacements urbains ? Quel développement économique pour la ville ?Un an après les faits, Marie-Laure Meyer a voulu apporter avec pudeur ses réponses aux questions que cet acte continue de poser. Elle revient donc sur son engagement, sur le rôle et la place des élus, sur leurs responsabilités et celles des citoyens, sur la personnalité du tueur et, plus profondément, sur la signification de l'exécution froide et programmée d'un conseil municipal tout entier. Car abattre des élus, c'est tuer un peu de démocratie, c'est s'attaquer au socle de la paix civile. Biographie de l'auteur Marie-Laure Meyer, 44 ans, est deuxième adjointe au maire de Nanterre. Elle préside le groupe des élus socialistes au conseil municipal.
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