Fiche technique
- Titre : Une aventure de Dick Hérisson, tome 5 : La Conspiration des poissonniers
- Auteur : Savard
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 64
- Genre : Fantastique, ésotérisme
- Date de publication : 03-02-1993
- Édition : Dargaud
- Poids : 0.48 kg
- Dimensions : 22.4 x 1 x 29.8 cm
- ISBN-10 : 2205040863
- ISBN-13 : 9782205040869
Résumé
1933 : dans le décor merveilleusement restitué du Train bleu, à la gare de Lyon, Dick Hérisson retrouve son vieil ami le docteur Nulpar. Celui-ci, juste avant de mourir dans une épouvantable et mystérieuse odeur de poisson pourri, lui confie la clé de sa maison d'Arles, gardienne, dit-il, d'un "terrible secret". Le secret, c'est le vieux journal moisi de Théotime Nulpar, pilotin à bord du Rosenkreutz un demi-siècle plus tôt. Ce journal raconte l'ultime traversée du navire avec sa cargaison maudite - une espèce d'énorme oursin de métal qui, selon une antique légende sumérienne, servirait de sarcophage à un dieu sanguinaire, Shub-Ur-Khur, "celui qui dort sous les mers". Dick Hérisson et son ami Jérôme Doutendieu partent donc à la recherche de l'épave et la trouvent : le monstre est toujours dans la cale, bien vivant et visiblement décidé à nuire. Est-il possible que l'horrible légende dise vrai ? Et pourquoi cette odeur de poisson pourri les suit-elle partout ? Et où sont justement passés tous les poissonniers de Marseille ? Vous le saurez en lisant cette cinquième aventure du célèbre détective Dick Hérisson - émule cocasse de Harry Dickson - qui confirme le talent de Savard, son art de mêler le charme rocambolesque et le sérieux "scientifique", son sens des atmosphères pittoresques - entre autres, une virée dans le milieu marseillais, avec Ange-Gabriel Belleparte, le caïd qui a de la morale, "fatche de putaingcon"...
À propos de l'auteur
Savard
Né en 1950 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), Didier Savard s'oriente d'abord vers l'enseignement et devient professeur d'anglais. Une profession qu'il exerce pendant dix ans, de 1972 à 1982. Il commence sa carrière de dessinateur dans la presse au début des années 1970. Ses premiers dessins, marqués par son engagement militant, paraissent en 1972 dans ?Survivre... et vivre'. Au moment du coup d'État au Chili, en 1973, il publie dans ?Libération' un feuilleton baptisé "Le fabuleux destin d'Augusto Pinochet". Un pseudo-conte de fées qui sera édité par Jean-Jacques Pauvert. En 1974, il quitte Paris pour s'installer à Arles. Après diverses collaborations avec la presse et la publication, en 1979, de "Demain, ça ira encore mieux" (Encre noire), un recueil de ses dessins, il revient à Paris en 1982. Il y rencontre Nikita Mandryka, rédacteur en chef de ?Charlie Mensuel', et lui propose le scénario de "Dick Hérisson", avec un héros très influencé par le Harry Dickson de Jean Ray. Le projet est accepté mais ne sera publié qu'en décembre 1983. "L'Ombre du torero" (Dargaud), premier album de la série, paraît en 1984.Grand lecteur de BD durant sa jeunesse, amateur d'Edgar P. Jacobs comme de ?Spirou', Savard est aussi influencé, à ses débuts, par des auteurs comme Jacques Tardi, Floc'h ou François Rivière. Il apprécie leur capacité à mettre en scène des héros classiques tout en apportant "une distanciation un peu perverse". En 1985, "Les Voleurs d'oreilles" (Dargaud), deuxième enquête de Dick Hérisson, se voient décerner le Trophée 813 d'Interpol'Art, festival du polar de Reims. L'année suivante a lieu une autre rencontre importante, avec Jean-Claude Forest, le créateur de "Barbarella". Ensemble, ils imaginent, pour le magazine ?Okapi', les aventures de Léonid Beaudragon. Le premier des trois albums publiés, "Le Fantôme du Mandchou fou" (Bayard), reçoit l'Alfred Jeunesse du festival d'Angoulême en 1987. L'année suivante, à l'occasion du festival du polar de Grenoble, Didier Savard réalise "Vae Victis" (Trans BD, 1988), une bande dessinée menée en collaboration avec les détenus de la maison d'arrêt de Vars. Puis, en 1991, il reprend les personnages de Perlin et Pinpin pour les éditions Fleurus Presse, d'après des scénarios de Sylvie Escudié. En 1997, il écrit, avec Sophie Loubière, "Le secret du coffre rouge", feuilleton radiophonique en cent épisodes, diffusé sur France Inter. L'histoire raconte la quête effrénée d'un objet archéologique mythique, de la Bretagne à Venise
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