Fiche technique
- Titre : Jhen, tome 10 : Les sorcières
- Auteur : Cayman, Thierry
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 48
- Genre : Bandes dessinées
- Date de publication : 22-09-2008
- Édition : CASTERMAN
- Poids : 0.375 kg
- Dimensions : 22.5 x 0.8 x 30.2 cm
- ISBN-10 : 2203322101
- ISBN-13 : 9782203322103
Résumé
Hiver 1436. Jhen Roque accompagne dans le Valais l'abbé Eustache Blanchet, chapelain de Gilles de Rais, afin d'enquêter sur le phénomène des sorcières et de leurs sortilèges, dont on commence à parler. Le duo s'est adjoint les services d'un saltimbanque montreur d'ours, Gaspard Suttraz, qui connaît bien le pays et s'est proposé comme guide. Dans une ferme du pays de Sion, ils font la connaissance d'Anthonia, fille d'un condamné pour faits de sortilèges, également soupçonnée d'appartenir à la société des serviteurs du démon. Un inquisiteur, Ulric de Torrenté, responsable des diocèses de Lausanne, Genève et Sion, est en route pour faire la lumière sur cette sombre affaire. Face à ces "révélations", l'abbé Blanchet ne doute pas des pouvoirs des sorcières. Mais Jhen, moins crédule, soupçonne une tout autre réalité...Quatrième de couvertureHiver 1436. Jhen Roque accompagne dans le Valais l'abbé Eustache Blanchet, chapelain de Gilles de Rais, afin d'enquêter sur le phénomène des sorcières et de leurs sortilèges, dont on commence à parler. Le duo s'est adjoint les services d'un saltimbanque montreur d'ours, Gaspard Suttraz, qui connaît bien le pays et s'est proposé comme guide. Dans une ferme du pays de Sion, ils font la connaissance d'Anthonia, fille d'un condamné pour faits de sortilèges, également soupçonnée d'appartenir à la société des serviteurs du démon. Un inquisiteur, Ulric de Torrenté, responsable des diocèses de Lausanne, Genève et Sion, est en route pour faire la lumière sur cette sombre affaire. Face à ces "révélations", l'abbé Blanchet ne doute pas des pouvoirs des sorcières. Mais Jhen, moins crédule, soupçonne une tout autre réalité...
Quatrième de couverture
Hiver 1436. Jhen Roque accompagne dans le Valais l'abbé Eustache Blanchet, chapelain de Gilles de Rais, afin d'enquêter sur le phénomène des sorcières et de leurs sortilèges, dont on commence à parler. Le duo s'est adjoint les services d'un saltimbanque montreur d'ours, Gaspard Suttraz, qui connaît bien le pays et s'est proposé comme guide. Dans une ferme du pays de Sion, ils font la connaissance d'Anthonia, fille d'un condamné pour faits de sortilèges, également soupçonnée d'appartenir à la société des serviteurs du démon. Un inquisiteur, Ulric de Torrenté, responsable des diocèses de Lausanne, Genève et Sion, est en route pour faire la lumière sur cette sombre affaire. Face à ces "révélations", l'abbé Blanchet ne doute pas des pouvoirs des sorcières. Mais Jhen, moins crédule, soupçonne une tout autre réalité...Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration p
À propos de l'auteur
Cayman, Thierry
Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration p
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