Dans le plus grand secret, une équipe de scientifiques financée par un riche émir est sur le point de faire une découverte capitale. Grâce à la culture biologique de cellules souches, la momie d'un ancien Égyptien va être rendue à la vie. Toujours aussi trouble, Axel Borg est associé à cette expérience qui provoque l'émoi auprès des représentants des grandes religions monothéistes. Que se passerait-il si un homme revenu de la mort mettait en doute les croyances des fidèles ? Aussitôt, des troubles éclatent à travers la planète et des attentats menacent la paix en divers points chauds du globe. Lefranc se retrouve plongé dans une aventure extrême dont l'enjeu n'est rien de moins que d'éviter le déclenchement de la Première Guerre Mondiale des Religions...Biographie de l'auteurNé à Bruxelles, Patrick Weber vit entre Bruxelles, Paris et Rome. Historien de l'art de formation, il a longtemps été journaliste avant de se tourner vers l'écriture de romans (nombreux polars historiques publiés au Masque) et de scénarios pour la bande dessinée et la télévision.Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinée
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