Fiche technique
- Titre : Lefranc - Tome 3 - Le Mystère Borg
- Auteur : Martin, Jacques
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 64
- Genre : Bandes dessinées
- Date de publication : 04-05-1993
- Édition : CASTERMAN
- Poids : 0.48 kg
- Dimensions : 22.6 x 1.1 x 30.3 cm
- ISBN-10 : 220331401X
- ISBN-13 : 9782203314016
Résumé
Lorsque Lefranc et Jeanjean se rendent à la station de sports d'hiver de Gardsten, ils sont témoins, à la nuit tombante, d'une étrange poursuite entre deux voitures, qui se termine par la disparition d'un des conducteurs et l'incendie de son véhicule. Lefranc sera soupçonné par la police suisse, il sera victime d'un attentat au cours d'une compétition de ski, et Jeanjean, d'une tentative d'enlèvement. Lefranc apprendra que le disparu de la voiture incendiée est un scientifique qui tentait de monnayer à une puissance étrangère le.super virus, de quoi mettre au point une redoutable bombe bactériologique. La menace est d'autant plus grave que l'auteur de l'enlèvement n'est autre qu'Axel Borg, qui a décidé de faire une démonstration en grandeur nature de la nouvelle arme en prenant pour cible la station de Gardsten. Tandis que le village est mis en quarantaine, Lefranc pourchassera Borg, de la montagne jusqu'à Venise.Quatrième de couvertureLorsque Lefranc et Jeanjean se rendent à la station de sports d'hiver de Gardsten, ils sont témoins, à la nuit tombante, d'une étrange poursuite entre deux voitures, qui se termine par la disparition d'un des conducteurs et l'incendie de son véhicule. Lefranc sera soupçonné par la police suisse, il sera victime d'un attentat au cours d'une compétition de ski, et Jeanjean, d'une tentative d'enlèvement. Lefranc apprendra que le disparu de la voiture incendiée est un scientifique qui tentait de monnayer à une puissance étrangère le "super virus", de quoi mettre au point une redoutable bombe bactériologique. La menace est d'autant plus grave que l'auteur de l'enlèvement n'est autre qu'Axel Borg, qui a décidé de faire une démonstration en grandeur nature de la nouvelle arme en prenant pour cible la station de Gardsten. Tandis que le village est mis en quarantaine, Lefranc pourchassera Borg, de la montagne jusqu'à Venise.
Quatrième de couverture
Lorsque Lefranc et Jeanjean se rendent à la station de sports d'hiver de Gardsten, ils sont témoins, à la nuit tombante, d'une étrange poursuite entre deux voitures, qui se termine par la disparition d'un des conducteurs et l'incendie de son véhicule. Lefranc sera soupçonné par la police suisse, il sera victime d'un attentat au cours d'une compétition de ski, et Jeanjean, d'une tentative d'enlèvement. Lefranc apprendra que le disparu de la voiture incendiée est un scientifique qui tentait de monnayer à une puissance étrangère le "super virus", de quoi mettre au point une redoutable bombe bactériologique. La menace est d'autant plus grave que l'auteur de l'enlèvement n'est autre qu'Axel Borg, qui a décidé de faire une démonstration en grandeur nature de la nouvelle arme en prenant pour cible la station de Gardsten. Tandis que le village est mis en quarantaine, Lefranc pourchassera Borg, de la montagne jusqu'à Venise.Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décor
À propos de l'auteur
Martin, Jacques
Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décor
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