Fiche technique
- Titre : Alix, tome 13 : Le Spectre de Carthage
- Auteur : Martin, Jacques
- Langue : N/C
- Format : Relié
- Nombre de pages : 48
- Genre : Modern & contemporary fiction (post c 1945)
- Date de publication : 01-01-1977
- Édition : Casterman
- Poids : 0.39 kg
- Dimensions : 22.7 x 0.6 x 30.3 cm
- ISBN-10 : 2203312130
- ISBN-13 : 9782203312135
Résumé
Des faits étranges se passent dans l'antique Carthage. Du vieux palais d'Hamilcar, bâti sur un éperon rocheux et quasi détruit quelque 200 ans plus tôt, une boule de lumière semble y descendre certaines nuits pour ensuite disparaître dans et Enak, qui posent pour un scuplteur de renom, sont témoins d'un de ces faits qui font perdre la vie à un garde.Amazon.frC'est l'une des vertus de la bande dessinée : elle conserve à ses héros l'allure juvénile que le lecteur leur a toujours connue. C'est ainsi qu'Alix n'a pas pris une ride depuis 1948. Toujours svelte et musclé, l'allure d'un adolescent, l'œ fier et le cheveu court, prêt à assumer jusqu'au bout son sens de la justice dans un monde - celui de l'Antiquité - pas toujours tendre. Le premier épisode de ses aventures,Alix l'intrépide, paraît dans les pages de l'hebdomadaireTintin en 1948. Jeune Gaulois esclave des Romains, Alix entame une vie d'aventures qui lui fera sillonner le monde antique en compagnie de son jeune ami Enak. Son créateur, Jacques Martin, dessinateur au trait élégant qui fit longtemps partie des studios de Hergé, accorde un soin tout particulier à la crédibilité de ses histoires. Très prisées des enseignants, parfois traduites en latin et en grec, les aventures d'Alix mêlent ainsi avec efficacité sens de l'action et références historiques. Un classique de la BD franco-belge.--Gilbert JacquesQuatrième de couvertureDes faits étranges se passent dans l'antique Carthage. Du vieux palais d'Hamilcar, bâti sur un éperon rocheux et quasi détruit quelque 200 ans plus tôt, une boule de lumière semble y descendre certaines nuits pour ensuite disparaître dans et Enak, qui posent pour un scuplteur de renom, sont témoins d'un de ces faits qui font perdre la vie à un garde.
Quatrième de couverture
Des faits étranges se passent dans l'antique Carthage. Du vieux palais d'Hamilcar, bâti sur un éperon rocheux et quasi détruit quelque 200 ans plus tôt, une boule de lumière semble y descendre certaines nuits pour ensuite disparaître dans et Enak, qui posent pour un scuplteur de renom, sont témoins d'un de ces faits qui font perdre la vie à un garde.Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naî
À propos de l'auteur
Martin, Jacques
Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naî
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