Fiche technique
- Titre : Alix Senator - Tome 3 - La Conjuration des rapaces
- Auteur : Martin, Jacques
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 48
- Genre : Bandes dessinées
- Date de publication : 19-11-2014
- Édition : CASTERMAN
- Poids : 0.6 kg
- Dimensions : 24 x 1 x 31.8 cm
- ISBN-10 : 2203078588
- ISBN-13 : 9782203078581
Résumé
Une troisième grande aventure pour le sénateur Alix...Rome, été de l an 12 avant Jésus-Christ. Par une nuit sombre,une trentaine de personnages anonymes se sont réunis dans lebois des Furies, leurs visages dissimulés par des masques d oiseaux.Mûs par le désir de vengeance ou la passion politique, tousbrûlent d abattre l empereur Auguste, qualifié de tyran, et de leremplacer par le fils de César, Ptolémée César alias Césarion, quel on pensait disparu. Glaive à la main, les conjurés aux faciès derapaces jurent la perte d Auguste l usurpateur.Au même moment, tout juste revenu d Egypte d où il a ramenéson vieux compagnon Enak donné pour mort, Alix Graccus doitaffronter une succession de graves déconvenues. Considérécomme un traître ennemi de Rome, Enak est arrêté sur ordre del empereur, tandis que le courroux d Auguste s abat sur Alix, bientôtmenacé d être déchu de son statut de sénateur et de perdretous ses biens. C est le moment que choisissent les ennemisd Auguste pour proposer à Alix de rejoindre leur conjuration ; ilsparviennent même, à la faveur d une profonde crise d adolescence,à rallier à leur cause le jeune Khephren, le fils d Enakdevenu le fils adoptif d Alix...Pleine de surprises et de rebondissements, voici la nouvelle aventuredu sénateur Alix, vaste fresque où s entremêlent les passionshumaines, les liens du sang et la trame de l Histoire. Magistral !Quatrième de couvertureRome, an 12 avant J.-C. L'empereur Auguste est tout puissant. Alix a plus de 50 ans. Il est sénateur. À peine rentré d'Égypte, il doit affronter la colère impériale : Auguste ne lui pardonne pas d'avoir épargné et ramené Enak qui l'a trahi autrefois au profit de Cléopâtre. Commence alors pour le sénateur et ses fils une lente mais inexorable descente aux enfers. Rien ne semble pouvoir les sauver, sauf peut-être la mystérieuse Conjuration des rapaces, prête à tout pour assassiner l'empereur. Pleine de surprises et de rebondissements, voici une nouvelle aventure du sénateur Alix, vaste fresque où s'entremêlent les passions humaines, les liens du sang et la trame de l'Histoire. Magistral!
Quatrième de couverture
Rome, an 12 avant J.-C. L'empereur Auguste est tout puissant. Alix a plus de 50 ans. Il est sénateur. À peine rentré d'Égypte, il doit affronter la colère impériale : Auguste ne lui pardonne pas d'avoir épargné et ramené Enak qui l'a trahi autrefois au profit de Cléopâtre. Commence alors pour le sénateur et ses fils une lente mais inexorable descente aux enfers. Rien ne semble pouvoir les sauver, sauf peut-être la mystérieuse Conjuration des rapaces, prête à tout pour assassiner l'empereur. Pleine de surprises et de rebondissements, voici une nouvelle aventure du sénateur Alix, vaste fresque où s'entremêlent les passions humaines, les liens du sang et la trame de l'Histoire. Magistral!Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il mu
À propos de l'auteur
Martin, Jacques
Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il mu
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