Fiche technique
- Titre : Le Dernier Pharaon: Édition luxe
- Auteur : Martin, Jacques
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 56
- Genre : Bandes dessinées de genre
- Date de publication : 07-09-2013
- Édition : CASTERMAN
- Poids : 0.65 kg
- Dimensions : 24.1 x 1.2 x 32 cm
- ISBN-10 : 2203077379
- ISBN-13 : 9782203077379
Résumé
Rome, an 12 avant J-C. L'empereur Auguste est tout-puissant. Alix a plus de 50 ans. Il est sénateur. Mais la paix qui règne en Italie n'est qu'apparence. L'empereur lui-même a failli être tué par un fou qui disait agir au nom de César ! Trente ans après son assassinat au Sénat, le dictateur serait réapparu en Egypte. Folie, mystification ou véritable retour, Alix et ses fils vont devoir le découvrir dans une odyssée qui les conduira des somptueux palais d'Alexandrie jusqu'à la mystérieuse Mère des pyramides.Quatrième de couvertureAlexandrie, an 12 avant Jésus-Christ. Accompagné de ses fils Titus et Khephren, Alix Gracchus, désormais sénateur romain, parvient à Alexandrie, où il est en mission pour le compte de son ami et protecteur, le puissant empereur Auguste. Suite aux événements tragiques survenus dans La Trahison des rapaces, Alix doit retrouver la trace du général Quintus Rufus, qu'Auguste soupçonne d'être responsable des meurtres d'Agrippa et de Lépide. Revenir ainsi en Egypte est peut-être aussi une occasion unique, pour Alix, de venger enfin la mort du père de Khephren, Enak, son ancien compagnon d'aventures. Sur place, Alix est attendu par une vieille connaissance, le préfet Barbarus. Mais aussi, dans l'ombre, par d'autres personnages, qui ne lui veulent manifestement pas du bien... Un nouvel arc narratif s'ouvre pour le célébrissime personnage créé par Jacques Martin : devenu sénateur de Rome alors qu'il aborde l'âge mûr, Alix vit de nouvelles et trépidantes aventures imaginées par Valérie Mangin et mises en images par Thierry Démarez. Une déferlante d'images fortes pour une reconstitution saisissante du quotidien du monde antique. Un événement !
Quatrième de couverture
Alexandrie, an 12 avant Jésus-Christ. Accompagné de ses fils Titus et Khephren, Alix Gracchus, désormais sénateur romain, parvient à Alexandrie, où il est en mission pour le compte de son ami et protecteur, le puissant empereur Auguste. Suite aux événements tragiques survenus dans La Trahison des rapaces, Alix doit retrouver la trace du général Quintus Rufus, qu'Auguste soupçonne d'être responsable des meurtres d'Agrippa et de Lépide. Revenir ainsi en Egypte est peut-être aussi une occasion unique, pour Alix, de venger enfin la mort du père de Khephren, Enak, son ancien compagnon d'aventures. Sur place, Alix est attendu par une vieille connaissance, le préfet Barbarus. Mais aussi, dans l'ombre, par d'autres personnages, qui ne lui veulent manifestement pas du bien... Un nouvel arc narratif s'ouvre pour le célébrissime personnage créé par Jacques Martin : devenu sénateur de Rome alors qu'il aborde l'âge mûr, Alix vit de nouvelles et trépidantes aventures imaginées par Valérie Mangin et mises en images par Thierry Démarez. Une déferlante d'images fortes pour une reconstitution saisissante du quotidien du monde antique. Un événement !Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette c
À propos de l'auteur
Martin, Jacques
Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette c
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