Résumé
Pour les hommes du 231e régiment d'infanterie, les différences d'âge et de condition sociale n'importent plus. Tous sont venus s'enterrer dans les tranchées boueuses de Crouy, sous la pluie et le feu de la mitraille allemande. Leur seule certitude face aux armées ennemies : "I'faut t'nir". Barbusse fut l'un des leurs. Tiré de ses carnets de guerre, ce roman, prix Goncourt 1916, révéla à ceux de l'arrière le quotidien des poilus : leur courage, leur camaraderie, leur argot, mais aussi la saleté, l'attente et l'ennui. Cette guerre, l'état-major, le gouvernement et la presse patriotique la censurent. Il faudra un roman comme Le feu pour en dire toute la barbarie mécanique, mais aussi l'espoir : celui de s'en sortir vivant.Quatrième de couverturePour les hommes du 231e régiment d'infanterie, les différences d'âge et de condition sociale n'importent plus. Tous sont venus s'enterrer dans les tranchées boueuses de Crouy, sous la pluie et le feu de la mitraille allemande. Leur seule certitude face aux armées ennemies : «il faut tenir». Barbusse fut l'un des leurs. Tiré de ses carnets de guerre, ce roman, prix Goncourt 1916, révéla à ceux de l'arrière le quotidien des poilus : leur courage, leur camaraderie, leur argot, mais aussi la saleté, l'attente et l'ennui. Cette guerre, l'état-major, le gouvernement et la presse patriotique la censurent. Il faudra un roman comme Le Feu pour en dire toute la barbarie mécanique, mais aussi l'espoir : celui d'en sortir vivant...
Quatrième de couverture
Pour les hommes du 231e régiment d'infanterie, les différences d'âge et de condition sociale n'importent plus. Tous sont venus s'enterrer dans les tranchées boueuses de Crouy, sous la pluie et le feu de la mitraille allemande. Leur seule certitude face aux armées ennemies : «il faut tenir». Barbusse fut l'un des leurs. Tiré de ses carnets de guerre, ce roman, prix Goncourt 1916, révéla à ceux de l'arrière le quotidien des poilus : leur courage, leur camaraderie, leur argot, mais aussi la saleté, l'attente et l'ennui. Cette guerre, l'état-major, le gouvernement et la presse patriotique la censurent. Il faudra un roman comme Le Feu pour en dire toute la barbarie mécanique, mais aussi l'espoir : celui d'en sortir vivant...Biographie de l'auteurHenri Barbusse est né en 1873 à Asnières-sur-Seine. Diplômé d'une licence ès lettres, il a eu pour professeurs Stéphane Mallarmé et Henri Bergson. Ses premiers poèmes sont publiés dans L'Écho de Paris littéraire illustré, revue dirigée par Catulle Mendès. Il publie ensuite les recueils poétiques Pleureuses (1895) et Les Suppliants (1903), puis un roman, L'Enfer (1908). Lorsque éclate la Grande Guerre, Barbusse, philanthrope, s'engage dans l'armée française. Il s'y distingue par sa bravoure et reçoit la Croix de guerre avant d'être réformé en 1917. Il relate l'horreur des tranchées et de la guerre dans Le Feu (1916), qui reçoit le prix Goncourt la même année, puis dans Clarté (1919). Henri Barbusse rallie après-guerre le parti communiste. Lors de ses voyages en Europe et aux États-Unis, il prône la paix et la justice sociale et dénonce les régimes fasciste et nazi. Il organise le « Congrès des écrivains pour la défense de la culture » à Paris avant de se rendre à Moscou où il meurt en août 1935.
À propos de l'auteur
Barbusse, Henri
Henri Barbusse est né en 1873 à Asnières-sur-Seine. Diplômé d'une licence ès lettres, il a eu pour professeurs Stéphane Mallarmé et Henri Bergson. Ses premiers poèmes sont publiés dans L'Écho de Paris littéraire illustré, revue dirigée par Catulle Mendès. Il publie ensuite les recueils poétiques Pleureuses (1895) et Les Suppliants (1903), puis un roman, L'Enfer (1908). Lorsque éclate la Grande Guerre, Barbusse, philanthrope, s'engage dans l'armée française. Il s'y distingue par sa bravoure et reçoit la Croix de guerre avant d'être réformé en 1917. Il relate l'horreur des tranchées et de la guerre dans Le Feu (1916), qui reçoit le prix Goncourt la même année, puis dans Clarté (1919). Henri Barbusse rallie après-guerre le parti communiste. Lors de ses voyages en Europe et aux États-Unis, il prône la paix et la justice sociale et dénonce les régimes fasciste et nazi. Il organise le « Congrès des écrivains pour la défense de la culture » à Paris avant de se rendre à Moscou où il meurt en août 1935.
Fiche technique
- Titre : Le Feu: Journal d'une escouade
- Auteur : Barbusse, Henri
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 524
- Genre : Littérature - Œuvres classiques
- Date de publication : 21-05-2014
- Édition : FLAMMARION
- Poids : 0.365 kg
- Dimensions : 10.899978200000001 x 2.2999954000000002 x 17.7999644 cm
- ISBN-10 : 2081309904
- ISBN-13 : 9782081309906
Informations supplémentaires
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