Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La romanisation de l'Italie

Broché - FLAMMARION - 260 pages - Publication: 12 juin 2010

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

L'Italie n'a pas toujours été romaine. Lors de la deuxième guerre punique, au moment où Hannibal débouchait des Alpes, elle était encore peuplée de Ligures et de Gaulois au nord, d'Etrusques et d'Italiques au centre et au sud, de Grecs sur les côtes méridionales et en Sicile. Les Romains n'occupaient qu'un peu plus du dixième de la péninsule. Or deux siècles plus tard, sous le règne d'Auguste, l'Italie s'était unifiée et romanisée. Dans la violence, il est vrai. Violence tempérée d'une acculturation imposée par le développement des échanges et l'ouverture sur le monde hellénistique ; violence sanglante des guerres puniques, de la guerre sociale puis des guerres civiles qui, tout au long de la période, modifièrent le paysage humain par les pertes et les déplacements de population qu'elles entraînèrent. Le processus pourtant avait ses acteurs : les Italiens eux-mêmes. Pour maintenir leur position, leurs élites devaient obtenir de partager un pouvoir qui se concentrait à Rome entre les mains de l'aristocratie. Celle-ci n'y consentait pas et il fallut une guerre pour la décider. Il fallut aussi un long travail d'intégration et d'incorporation dans les cadres politiques renouvelés. Le résultat fut pourtant que l'unification engendra une nouvelle citoyenneté romaine, plus large, plus abstraite : universelle. Nous en sommes les héritiers.
Détails du livre
Auteur

La romanisation de l'Italie

Broché - FLAMMARION - 260 pages - Publication: 12 juin 2010

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Le Pitch

L'Italie n'a pas toujours été romaine. Lors de la deuxième guerre punique, au moment où Hannibal débouchait des Alpes, elle était encore peuplée de Ligures et de Gaulois au nord, d'Etrusques et d'Italiques au centre et au sud, de Grecs sur les côtes méridionales et en Sicile. Les Romains n'occupaient qu'un peu plus du dixième de la péninsule. Or deux siècles plus tard, sous le règne d'Auguste, l'Italie s'était unifiée et romanisée. Dans la violence, il est vrai. Violence tempérée d'une acculturation imposée par le développement des échanges et l'ouverture sur le monde hellénistique ; violence sanglante des guerres puniques, de la guerre sociale puis des guerres civiles qui, tout au long de la période, modifièrent le paysage humain par les pertes et les déplacements de population qu'elles entraînèrent. Le processus pourtant avait ses acteurs : les Italiens eux-mêmes. Pour maintenir leur position, leurs élites devaient obtenir de partager un pouvoir qui se concentrait à Rome entre les mains de l'aristocratie. Celle-ci n'y consentait pas et il fallut une guerre pour la décider. Il fallut aussi un long travail d'intégration et d'incorporation dans les cadres politiques renouvelés. Le résultat fut pourtant que l'unification engendra une nouvelle citoyenneté romaine, plus large, plus abstraite : universelle. Nous en sommes les héritiers.
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