Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

L'oeil du silence

Promo

Grand Format - FLAMMARION - 470 pages - Publication: 07 septembre 1993

Lambron, Marc (Auteur)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Description du produit 486pages. broché. Une silhouette portant le treillis réglementaire de War Correspondent se tenait là, en conversation avec quelqu'un que l'angle dérobait à ma vue. Les slacks tombant sur les rangers de campagne, la ceinture serrant la taille, l'étoile blanche cousue sur la manche ne trompaient pas. C'était l'uniforme d'un journaliste ou d'un photographe accrédité auprès de l'US Army. Mais le relâché élégant, la forme blousée que prenait la vareuse à l'évasement, et surtout la chevelure blonde frôlant les épaules ne laissaient guère de doutes: une femme. Vue de profil, elle me parut très belle. Une lumière étrange venue du hall adoucissait ses contours. On lui aurait donné trente-cinq ans, peut-être moins. Ses gestes rapides, son sourire étaient plutôt d'une continentale: elle portait un uniforme américain, mais quelque chose en elle trahissait l'Européenne. A un mot de son interlocuteur invisible, elle rejeta la tête en arrière, ccmme pour rire, et sa main vint glisser dans la chevelure libre. L'éclairage, mais était-ce seulement l'éclairage, soulignait à distance une peau très blanche. Une blancheur de statue à jamais descendue du socle. Je ne pouvais entendre ce qu'elle disait, mais le mouvement des lèvres me parut correspondre à du français. Quatrième de couverture « Une silhouette portant le treillis réglementaire de War Correspondent se tenait là, en conversation avec quelqu'un que l'angle dérobait à ma vue. Les slacks tombant sur les rangers de campagne, la ceinture serrant la taille, l'étoile blanche cousue sur la manche ne trompaient pas. C'était l'uniforme d'un journaliste ou d'un photographe accrédité auprès de l'US Army. Mais le relâché élégant, la forme blousée que prenait la vareuse à l'évasement, et surtout la chevelure blonde frôlant les épaules ne laissaient guère de doutes : une femme. Vue de profil, elle me parut très belle. Une lumière étrange venue du hall adoucissait ses contours. On lui aurait donné trente-cinq ans, peut-être moins. Ses gestes rapides, son sourire étaient plutôt d'une continentale : elle portait un uniforme américain, mais quelque chose en elle trahissait l'Européenne. A un mot de son interlocuteur invisible, elle rejeta la tête en arrière, comme pour rire, et sa main vint glisser dans sa chevelure libre. L'éclairage, mais était-ce seulement l'éclairage, soulignait à distance une peau très blanche. Une blancheur de statue à jamais descendue du socle. Je ne pouvais entendre ce qu'elle disait, mais le mouvement des lèvres me parut correspondre à du français. » Prix Femina 1993
Détails du livre
Contenu
Auteur

L'oeil du silence

Promo

Grand Format - FLAMMARION - 470 pages - Publication: 07 septembre 1993

Lambron, Marc (Auteur)

État
 
56,48 € - 93 %
Prix réduit3,40 € Prix normal

Livraison

Livré entre : 6 octobre - 9 octobre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

1386 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Le Pitch

Description du produit 486pages. broché. Une silhouette portant le treillis réglementaire de War Correspondent se tenait là, en conversation avec quelqu'un que l'angle dérobait à ma vue. Les slacks tombant sur les rangers de campagne, la ceinture serrant la taille, l'étoile blanche cousue sur la manche ne trompaient pas. C'était l'uniforme d'un journaliste ou d'un photographe accrédité auprès de l'US Army. Mais le relâché élégant, la forme blousée que prenait la vareuse à l'évasement, et surtout la chevelure blonde frôlant les épaules ne laissaient guère de doutes: une femme. Vue de profil, elle me parut très belle. Une lumière étrange venue du hall adoucissait ses contours. On lui aurait donné trente-cinq ans, peut-être moins. Ses gestes rapides, son sourire étaient plutôt d'une continentale: elle portait un uniforme américain, mais quelque chose en elle trahissait l'Européenne. A un mot de son interlocuteur invisible, elle rejeta la tête en arrière, ccmme pour rire, et sa main vint glisser dans la chevelure libre. L'éclairage, mais était-ce seulement l'éclairage, soulignait à distance une peau très blanche. Une blancheur de statue à jamais descendue du socle. Je ne pouvais entendre ce qu'elle disait, mais le mouvement des lèvres me parut correspondre à du français. Quatrième de couverture « Une silhouette portant le treillis réglementaire de War Correspondent se tenait là, en conversation avec quelqu'un que l'angle dérobait à ma vue. Les slacks tombant sur les rangers de campagne, la ceinture serrant la taille, l'étoile blanche cousue sur la manche ne trompaient pas. C'était l'uniforme d'un journaliste ou d'un photographe accrédité auprès de l'US Army. Mais le relâché élégant, la forme blousée que prenait la vareuse à l'évasement, et surtout la chevelure blonde frôlant les épaules ne laissaient guère de doutes : une femme. Vue de profil, elle me parut très belle. Une lumière étrange venue du hall adoucissait ses contours. On lui aurait donné trente-cinq ans, peut-être moins. Ses gestes rapides, son sourire étaient plutôt d'une continentale : elle portait un uniforme américain, mais quelque chose en elle trahissait l'Européenne. A un mot de son interlocuteur invisible, elle rejeta la tête en arrière, comme pour rire, et sa main vint glisser dans sa chevelure libre. L'éclairage, mais était-ce seulement l'éclairage, soulignait à distance une peau très blanche. Une blancheur de statue à jamais descendue du socle. Je ne pouvais entendre ce qu'elle disait, mais le mouvement des lèvres me parut correspondre à du français. » Prix Femina 1993
Détails du livre
Contenu
Auteur

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés