Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Monsieur Dido

Grand Format - FLAMMARION - 163 pages - Publication: 19 novembre 1992

Savinio, Alberto (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur "La journée est finie. Le corps de Monsieur Dido est étendu sur le lit. Sa tête chauve repose sur l'oreiller. Sa main, dans peu de temps, ayant abandonné la brillante histoire de la littérature latine de Concetto Marchesi, s'élèvera vers l'interrupteur de la lampe de chevet. Et Monsieur Dido retournera dans ses rêves. Est-ce cela, la sympathie qu'il cherchait ? Non. Même les rêves y sont étrangers. "Nos" rêves. Et antipathiques. Sauf un. Ce rêve de "soi-même" que Monsieur Dido voudrait rêver et toujours rêver encore. Ce rêve de soi-même où tout rentre, et se fond, et devient soi-même". Mais Monsieur Dido, dans ces textes qui sont parmi les tout derniers qu'Alberto Savinio ait écrit, est un "athlète dans la lutte contre les déceptions". Et il continue à écrire, peindre, subir l'étroitesse d'une vie privée aussi féroce que le regard et la langue qui la désignent, côtoyer les fantômes les plus présents des souvenirs et du rêve poétique, avant de laisser discrètement son double et créateur poursuivre son implosion de la vie domestique et son parcours hallucinatoire dans la seule réalité vécue qui compte : celle de l'imaginaire. "- Rassasiez ma curiosité. Ce soir, en arrivant à l'hôtel, j'ai entrevu par là-bas, en haut d'un grand escalier, une silhouette dressée, immobile. Est-ce un homme ou une statue ? Le veilleur de nuit me regarde fixement, commence à sourire. - Comment cela pourrait-être un homme ? ... C'est une statue. La statue d'un saint, en souvenir de l'ancien couvent. Nous nous sommes salués. Je restai derrière la porte de ma chambre à guetter. Je sors de nouveau, je traverse les couloirs. En haut du grand escalier, je ne trouve ni homme, ni statue : personne". Quatrième de couverture «La journée est finie. Le corps de Monsieur Dido est étendu sur le lit. Sa tête chauve repose sur l'oreiller. Sa main, dans peu de temps, ayant abandonné la brillante histoire de la littérature latine de Concetto Marchesi, s'élèvera vers l'interrupteur de la lampe de chevet. Et Monsieur Dido retournera dans ses rêves. Est-ce cela, la sympathie qu'il cherchait ? Non. Même les rêves y sont étrangers. "Nos" rêves. Et antipathiques. Sauf un. Ce rêve de "soi-même" que Monsieur Dido voudrait rêver et toujours rêver encore. Ce rêve de soi-même où tout rentre, et se fond, et devient soi-même.» Mais Monsieur Dido, dans ces textes qui sont parmi les tout derniers qu'Alberto Savinio ait écrit, est un «athlète dans la lutte contre les déceptions.» Et il continue à écrire, peindre, subir l'étroitesse d'une vie privée aussi féroce que le regard et la langue qui la désignent, côtoyer les fantômes les plus présents des souvenirs et du rêve poétique, avant de laisser discrètement son double et créateur poursuivre son implosion de la vie domestique et son parcours hallucinatoire dans la seule réalité vécue qui compte : celle de l'imaginaire. «― Rassasiez ma curiosité. Ce soir, en arrivant à l'hôtel, j'ai entrevu par là-bas, en haut d'un grand escalier, une silhouette dressée, immobile. Est-ce un homme ou une statue ? Le veilleur de nuit me regarde fixement, commence à sourire. ― Comment cela pourrait-être un homme ?... C'est une statue. La statue d'un saint, en souvenir de l'ancien couvent. Nous nous sommes salués. Je restai derrière la porte de ma chambre à guetter. Je sors de nouveau, je traverse les couloirs. En haut du grand escalier, je ne trouve ni homme, ni statue : personne.»
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Auteur

Monsieur Dido

Grand Format - FLAMMARION - 163 pages - Publication: 19 novembre 1992

Savinio, Alberto (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur "La journée est finie. Le corps de Monsieur Dido est étendu sur le lit. Sa tête chauve repose sur l'oreiller. Sa main, dans peu de temps, ayant abandonné la brillante histoire de la littérature latine de Concetto Marchesi, s'élèvera vers l'interrupteur de la lampe de chevet. Et Monsieur Dido retournera dans ses rêves. Est-ce cela, la sympathie qu'il cherchait ? Non. Même les rêves y sont étrangers. "Nos" rêves. Et antipathiques. Sauf un. Ce rêve de "soi-même" que Monsieur Dido voudrait rêver et toujours rêver encore. Ce rêve de soi-même où tout rentre, et se fond, et devient soi-même". Mais Monsieur Dido, dans ces textes qui sont parmi les tout derniers qu'Alberto Savinio ait écrit, est un "athlète dans la lutte contre les déceptions". Et il continue à écrire, peindre, subir l'étroitesse d'une vie privée aussi féroce que le regard et la langue qui la désignent, côtoyer les fantômes les plus présents des souvenirs et du rêve poétique, avant de laisser discrètement son double et créateur poursuivre son implosion de la vie domestique et son parcours hallucinatoire dans la seule réalité vécue qui compte : celle de l'imaginaire. "- Rassasiez ma curiosité. Ce soir, en arrivant à l'hôtel, j'ai entrevu par là-bas, en haut d'un grand escalier, une silhouette dressée, immobile. Est-ce un homme ou une statue ? Le veilleur de nuit me regarde fixement, commence à sourire. - Comment cela pourrait-être un homme ? ... C'est une statue. La statue d'un saint, en souvenir de l'ancien couvent. Nous nous sommes salués. Je restai derrière la porte de ma chambre à guetter. Je sors de nouveau, je traverse les couloirs. En haut du grand escalier, je ne trouve ni homme, ni statue : personne". Quatrième de couverture «La journée est finie. Le corps de Monsieur Dido est étendu sur le lit. Sa tête chauve repose sur l'oreiller. Sa main, dans peu de temps, ayant abandonné la brillante histoire de la littérature latine de Concetto Marchesi, s'élèvera vers l'interrupteur de la lampe de chevet. Et Monsieur Dido retournera dans ses rêves. Est-ce cela, la sympathie qu'il cherchait ? Non. Même les rêves y sont étrangers. "Nos" rêves. Et antipathiques. Sauf un. Ce rêve de "soi-même" que Monsieur Dido voudrait rêver et toujours rêver encore. Ce rêve de soi-même où tout rentre, et se fond, et devient soi-même.» Mais Monsieur Dido, dans ces textes qui sont parmi les tout derniers qu'Alberto Savinio ait écrit, est un «athlète dans la lutte contre les déceptions.» Et il continue à écrire, peindre, subir l'étroitesse d'une vie privée aussi féroce que le regard et la langue qui la désignent, côtoyer les fantômes les plus présents des souvenirs et du rêve poétique, avant de laisser discrètement son double et créateur poursuivre son implosion de la vie domestique et son parcours hallucinatoire dans la seule réalité vécue qui compte : celle de l'imaginaire. «― Rassasiez ma curiosité. Ce soir, en arrivant à l'hôtel, j'ai entrevu par là-bas, en haut d'un grand escalier, une silhouette dressée, immobile. Est-ce un homme ou une statue ? Le veilleur de nuit me regarde fixement, commence à sourire. ― Comment cela pourrait-être un homme ?... C'est une statue. La statue d'un saint, en souvenir de l'ancien couvent. Nous nous sommes salués. Je restai derrière la porte de ma chambre à guetter. Je sors de nouveau, je traverse les couloirs. En haut du grand escalier, je ne trouve ni homme, ni statue : personne.»
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