Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

14-18, penser le patriotisme

Poche - Editions Gallimard - 480 pages - Publication: 11 octobre 2018

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur S'il demeure un "mystère" dans le cours de la Première Guerre mondiale, c'est le déroulement de la mobilisation : en quelques heures, au son des cloches, des millions de Français ont quitté les leurs, leur village, parfois pour la première fois, délaissant les récoltes, ont rejoint, sans incident, leur lieu d'enrôlement, revêtu l'uniforme, pris les armes et sont montés au front. Pour nombre d'historiens, il y aurait eu un "consentement" patriotique de l'opinion, préparé notamment par l'école, et qui aurait conduit, par une "brutalisation" des hommes et des sociétés en guerre, à prolonger le Grand Carnage par la haine de l'ennemi. Frédéric Rousseau mène une lecture différente des sources - journaux intimes et correspondances familiales au premier chef : les stratifications sociales qui constituaient la société française ont tamisé la mise en guerre de chacun, selon que l'on était paysan ou avocat, ouvrier ou professeur. Relayé par les parents restés à l'arrière, le regard que la communauté ou le voisinage portaient sur les potentiels "héros" neutralisa, dans un premier temps, toute possibilité de refuser la guerre ; mais, au fil des mois, les yeux de beaucoup se déssillèrent devant l'absurdité du sacrifice et la commune humanité des belligérants. Le débat entre historiens est ouvert. Quatrième de couverture S'il demeure un "mystère" dans le cours de la Première Guerre mondiale, c'est le déroulement de la mobilisation : en quelques heures, au son des cloches, des millions de Français ont quitté les leurs, leur village, parfois pour la première fois, délaissant les récoltes, ont rejoint, sans incident, leur lieu d'enrôlement, revêtu l'uniforme, pris les armes et sont montés au front. Pour nombre d'historiens, il y aurait eu un "consentement" patriotique de l'opinion, préparé notamment par l'école, et qui aurait conduit, par une "brutalisation" des hommes et des sociétés en guerre, à prolonger le Grand Carnage par la haine de l'ennemi. Frédéric Rousseau mène une lecture différente des sources - journaux intimes et correspondances familiales au premier chef : les stratifications sociales qui constituaient la société française ont tamisé la mise en guerre de chacun, selon que l'on était paysan ou avocat, ouvrier ou professeur. Relayé par les parents restés à l'arrière, le regard que la communauté ou le voisinage portaient sur les potentiels "héros" neutralisa, dans un premier temps, toute possibilité de refuser la guerre ; mais, au fil des mois, les yeux de beaucoup se déssillèrent devant l'absurdité du sacrifice et la commune humanité des belligérants. Le débat entre historiens est ouvert. Biographie de l'auteur Frédéric Rousseau est professeur agrégé d'histoire contemporaine à l'université Paul Valéry-Montpellier III. Il est spécialiste de la Première Guerre mondiale. Ancien directeur d'Etats, sociétés, idéologies, défense (ESID) et du Centre de recherches interdisciplinaires en sciences humaines et sociales (CRISES), il dirige depuis 2014 la Maison des Sciences de l'Homme SUD (Les Sciences Unies pour un autre Développement) à Montpellier. Il est notamment l'auteur de L'Enfant juif de Varsovie. Histoire d'une photographie (Editions du Seuil, 2009) pour lequel il a obtenu le prix de la Fondation Auschwitz de Bruxelles.
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14-18, penser le patriotisme

Poche - Editions Gallimard - 480 pages - Publication: 11 octobre 2018

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur S'il demeure un "mystère" dans le cours de la Première Guerre mondiale, c'est le déroulement de la mobilisation : en quelques heures, au son des cloches, des millions de Français ont quitté les leurs, leur village, parfois pour la première fois, délaissant les récoltes, ont rejoint, sans incident, leur lieu d'enrôlement, revêtu l'uniforme, pris les armes et sont montés au front. Pour nombre d'historiens, il y aurait eu un "consentement" patriotique de l'opinion, préparé notamment par l'école, et qui aurait conduit, par une "brutalisation" des hommes et des sociétés en guerre, à prolonger le Grand Carnage par la haine de l'ennemi. Frédéric Rousseau mène une lecture différente des sources - journaux intimes et correspondances familiales au premier chef : les stratifications sociales qui constituaient la société française ont tamisé la mise en guerre de chacun, selon que l'on était paysan ou avocat, ouvrier ou professeur. Relayé par les parents restés à l'arrière, le regard que la communauté ou le voisinage portaient sur les potentiels "héros" neutralisa, dans un premier temps, toute possibilité de refuser la guerre ; mais, au fil des mois, les yeux de beaucoup se déssillèrent devant l'absurdité du sacrifice et la commune humanité des belligérants. Le débat entre historiens est ouvert. Quatrième de couverture S'il demeure un "mystère" dans le cours de la Première Guerre mondiale, c'est le déroulement de la mobilisation : en quelques heures, au son des cloches, des millions de Français ont quitté les leurs, leur village, parfois pour la première fois, délaissant les récoltes, ont rejoint, sans incident, leur lieu d'enrôlement, revêtu l'uniforme, pris les armes et sont montés au front. Pour nombre d'historiens, il y aurait eu un "consentement" patriotique de l'opinion, préparé notamment par l'école, et qui aurait conduit, par une "brutalisation" des hommes et des sociétés en guerre, à prolonger le Grand Carnage par la haine de l'ennemi. Frédéric Rousseau mène une lecture différente des sources - journaux intimes et correspondances familiales au premier chef : les stratifications sociales qui constituaient la société française ont tamisé la mise en guerre de chacun, selon que l'on était paysan ou avocat, ouvrier ou professeur. Relayé par les parents restés à l'arrière, le regard que la communauté ou le voisinage portaient sur les potentiels "héros" neutralisa, dans un premier temps, toute possibilité de refuser la guerre ; mais, au fil des mois, les yeux de beaucoup se déssillèrent devant l'absurdité du sacrifice et la commune humanité des belligérants. Le débat entre historiens est ouvert. Biographie de l'auteur Frédéric Rousseau est professeur agrégé d'histoire contemporaine à l'université Paul Valéry-Montpellier III. Il est spécialiste de la Première Guerre mondiale. Ancien directeur d'Etats, sociétés, idéologies, défense (ESID) et du Centre de recherches interdisciplinaires en sciences humaines et sociales (CRISES), il dirige depuis 2014 la Maison des Sciences de l'Homme SUD (Les Sciences Unies pour un autre Développement) à Montpellier. Il est notamment l'auteur de L'Enfant juif de Varsovie. Histoire d'une photographie (Editions du Seuil, 2009) pour lequel il a obtenu le prix de la Fondation Auschwitz de Bruxelles.
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