Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Philosophes confucianistes

Relié - GALLIMARD - 1536 pages - Publication: 16 octobre 2009

Collectifs (Auteur), Mathieu, Rémi (Edition et traduction), Le Blanc, Charles (Edition et traduction)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ce volume rassemble les textes majeurs du confucianisme : " Les entretiens " de Confucius, " La grande étude " de Daxue et " Le classique de la Piété filiale " de Xiaojing. Quatrième de couverture Au milieu d'un monde qu'il pensait finissant, à l'orée d'un siècle qu'il croyait plus que d'autres troublé, un sage proposa des idées neuves qui permirent de redéfinir les relations entre les hommes, de fonder une morale stricte et de conduire les États vers le bien. L'écho de sa pensée fut si large et durable que, quoiqu'on l'eût dit "sans couronne", Confucius (~551-~479) régna, par sa doctrine, sur un monde qui passa en gloire et en durée celles de bien des empires. Ses idées se répandirent au-delà de la Chine, imprégnant les esprits comme les institutions. Confrontées à des obstacles redoutables, elles ne cessèrent pourtant d'avancer, vague après vague, comme une marée montante, et finirent par atteindre les bords de l'Occident. Il y eut aussi des reflux, dus à l'émergence de croyances plus neuves ou plus puissantes, mais le confucianisme sut reprendre ensuite ses prérogatives, dans la société comme dans l'État. Ce volume envisage un état des lieux de la pensée confucianiste ancienne, telle qu'elle fut conçue puis se cristallisa au seuil de l'Empire, avant de connaître une véritable transmutation en réaction à la montée du bouddhisme et du taoïsme. On s'est donc attaché à regrouper les principaux auteurs qui ont prolongé la pensée de ce Maître (formulée dans le Lunyu, "Les Entretiens") et se sont disputé l'interprétation de ses dialogues et de ses aphorismes pour constituer un système à deux branches : celle de Meng zi (ou Mencius, ~385-~301) et celle de Xun zi (~310-~235). On propose, de surcroît, trois grands textes presque aussi fondateurs - La Grande Étude, La Pratique équilibrée (autrefois traduit sous le titre L'Invariable Milieu) et Le Classique de la Piété filiale -, pour rendre compte des idées en présence dans la Chine d'avant l'Empire. En tout six ouvrages - certains traduits en français pour la première fois -, qui forment le socle sur lequel s'est bâtie, au long des siècles, l'école de Confucius, marquée, de ses débuts à nos jours, par un humanisme de fond, et n'excluant pas, loin s'en faut, les contradictions et les querelles. Au moment où la Chine croit pertinent, voire urgent, de redécouvrir l'oeuvre du "vénéré Maître Kong", Kong Fuzi, l'Occident lui-même éprouve à nouveau de l'intérêt pour le père de la philosophie chinoise et pour certains de ses héritiers. L'enracinement de ce mouvement de pensée dans l'histoire et la société chinoises ne fait pas simplement de lui un "produit" intellectuel nécessaire à la compréhension de ce monde-là. Le confucianisme est un système potentiellement universel et, pour partie, intemporel. Et c'est sans doute parce qu'il fut une sagesse avant d'être une philosophie qu'il s'adresse non seulement à chaque Chinois, mais à chaque homme.
Détails du livre
Auteur

Philosophes confucianistes

Relié - GALLIMARD - 1536 pages - Publication: 16 octobre 2009

Collectifs (Auteur), Mathieu, Rémi (Edition et traduction), Le Blanc, Charles (Edition et traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ce volume rassemble les textes majeurs du confucianisme : " Les entretiens " de Confucius, " La grande étude " de Daxue et " Le classique de la Piété filiale " de Xiaojing. Quatrième de couverture Au milieu d'un monde qu'il pensait finissant, à l'orée d'un siècle qu'il croyait plus que d'autres troublé, un sage proposa des idées neuves qui permirent de redéfinir les relations entre les hommes, de fonder une morale stricte et de conduire les États vers le bien. L'écho de sa pensée fut si large et durable que, quoiqu'on l'eût dit "sans couronne", Confucius (~551-~479) régna, par sa doctrine, sur un monde qui passa en gloire et en durée celles de bien des empires. Ses idées se répandirent au-delà de la Chine, imprégnant les esprits comme les institutions. Confrontées à des obstacles redoutables, elles ne cessèrent pourtant d'avancer, vague après vague, comme une marée montante, et finirent par atteindre les bords de l'Occident. Il y eut aussi des reflux, dus à l'émergence de croyances plus neuves ou plus puissantes, mais le confucianisme sut reprendre ensuite ses prérogatives, dans la société comme dans l'État. Ce volume envisage un état des lieux de la pensée confucianiste ancienne, telle qu'elle fut conçue puis se cristallisa au seuil de l'Empire, avant de connaître une véritable transmutation en réaction à la montée du bouddhisme et du taoïsme. On s'est donc attaché à regrouper les principaux auteurs qui ont prolongé la pensée de ce Maître (formulée dans le Lunyu, "Les Entretiens") et se sont disputé l'interprétation de ses dialogues et de ses aphorismes pour constituer un système à deux branches : celle de Meng zi (ou Mencius, ~385-~301) et celle de Xun zi (~310-~235). On propose, de surcroît, trois grands textes presque aussi fondateurs - La Grande Étude, La Pratique équilibrée (autrefois traduit sous le titre L'Invariable Milieu) et Le Classique de la Piété filiale -, pour rendre compte des idées en présence dans la Chine d'avant l'Empire. En tout six ouvrages - certains traduits en français pour la première fois -, qui forment le socle sur lequel s'est bâtie, au long des siècles, l'école de Confucius, marquée, de ses débuts à nos jours, par un humanisme de fond, et n'excluant pas, loin s'en faut, les contradictions et les querelles. Au moment où la Chine croit pertinent, voire urgent, de redécouvrir l'oeuvre du "vénéré Maître Kong", Kong Fuzi, l'Occident lui-même éprouve à nouveau de l'intérêt pour le père de la philosophie chinoise et pour certains de ses héritiers. L'enracinement de ce mouvement de pensée dans l'histoire et la société chinoises ne fait pas simplement de lui un "produit" intellectuel nécessaire à la compréhension de ce monde-là. Le confucianisme est un système potentiellement universel et, pour partie, intemporel. Et c'est sans doute parce qu'il fut une sagesse avant d'être une philosophie qu'il s'adresse non seulement à chaque Chinois, mais à chaque homme.
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