Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Plaisir en bouche

Grand Format - GALLIMARD - 176 pages - Publication: 21 novembre 2001

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Plaisir en bouche Revue de presse Publié par La Noire, ce premier opus de Béatrice Joyaud ressemble peu aux loustics dessoudés du cortex qui hantent d’habitude cette collection. On est loin du thriller mâle et paranoïaque qui tâche à coups de grandes gerbes de sang et de neurones. Non, on est davantage du côté de la fable élégante, ou du thriller historique de Suskin, Le Parfum. Plaisir en bouche prend pour cadre l’époque contemporaine et son aréopage de modes aussi subtiles que dérisoires, et narre la vertigineuse ascension d’un chef cuisinier français. Mais la star des cuistots est rongée par un mal secret : son désir de trouver la saveur absolue, de procurer à ses dîneurs huppés des sensations dignes d’un Rembrandt, ou d’une épiphanie. Une telle velléité, on s’en doute, ne pourra que l’amener à tenter des expériences peu recommandables. En l’occurrence, user d’assaisonnements dont l’exquise saveur est égale à leur potentielle dangerosité, faire coïncider partouze et ripaille, ou encore - comble du raffinement - faire bouffer à ses clients, la chair de leurs semblables Sous ses faux airs polis, bien élevés, Plaisir en bouche est un livre complètement décadent qui propose au passage une critique acerbe - et franchement drôle - des tribulations de plus en plus egocentrées des courants artistiques contemporains, des fashion victimes et des infinies variations de la « tendance». Ainsi, on aura vu tout au long de ce récit notre chef tenter, singer et inventer, tel un grand couturier des papilles, toutes les cuisines possibles : passant du rustique lourd au zen anorexique, ou du multiethnique à l’orgiaque multisensoriel… Si Plaisir en Bouche est un thriller inabouti (les 30 dernières pages sont calamiteuses), son grand attrait réside donc dans sa capacité à offrir une satire hilarante et pleine d’intelligence des travers contemporains. L’esprit est suffisamment rare pour le signaler quand il se manifeste avec finesse. -- Stéphane Malterre -- Urbuz.com Quatrième de couverture Balthazar Chacun, orphelin, est un autodidacte qui, dès 15 ans, s'est consacré à la gastronomie. Vite considéré comme un génie de par ses facultés hors normes à distinguer les goûts et sa déconcertante facilité à cuisiner toutes sortes de plats, il devient, avec son restaurant Arthus (3 étoiles, le summum), le symbole d'une nouvelle tendance intellectuelle, le Misme, qui prône la recherche de l'essence de chaque chose en la débarrassant de ses atours. Cette "mode", par sa radicalisation rapide, montre vite ses limites et passe du dépouillement à la fonctionnalité, puis devient une culture du néant, du vide synonyme de la fin de l'art et de la culture. La cuisine de Balthazar s'en ressent et il perd une étoile. La nouvelle, étrangement, lui avait été annoncée la veille par une lettre anonyme. Cette lettre, par son contenu, l'aide à réaliser qu'il lui faut abandonner le Misme pour en prendre le contre-pied absolu. Balthazar Chacun ouvre un nouveau restaurant totalement baroque, orgiaque, qu'il nomme le Palais des nuits. Un fonds d'investissement américain spécialisé dans les placements éthiques lui fournit l'argent nécessaire et le succès est foudroyant. Cette lettre anonyme sera la première d'une série qui, à chaque fois, l'aidera à repousser les limmites de son champ d'investigation gustatif. Le drame arrivera lorsqu'il ne lui restera plus que l'être humain à fignoler en sauce. Clin d'oeil au Parfum de Süskind, Plaisir en bouche est un roman qui, via la gastronomie, traite de la quête du sens et du dépassement des limites. Biographie de l'auteur Béatrice Joyaud a tout juste trente ans. Elle est avocat d'affaires. Plaisir en bouche est son premier roman.
Détails du livre
Contenu
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Plaisir en bouche

Grand Format - GALLIMARD - 176 pages - Publication: 21 novembre 2001

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Plaisir en bouche Revue de presse Publié par La Noire, ce premier opus de Béatrice Joyaud ressemble peu aux loustics dessoudés du cortex qui hantent d’habitude cette collection. On est loin du thriller mâle et paranoïaque qui tâche à coups de grandes gerbes de sang et de neurones. Non, on est davantage du côté de la fable élégante, ou du thriller historique de Suskin, Le Parfum. Plaisir en bouche prend pour cadre l’époque contemporaine et son aréopage de modes aussi subtiles que dérisoires, et narre la vertigineuse ascension d’un chef cuisinier français. Mais la star des cuistots est rongée par un mal secret : son désir de trouver la saveur absolue, de procurer à ses dîneurs huppés des sensations dignes d’un Rembrandt, ou d’une épiphanie. Une telle velléité, on s’en doute, ne pourra que l’amener à tenter des expériences peu recommandables. En l’occurrence, user d’assaisonnements dont l’exquise saveur est égale à leur potentielle dangerosité, faire coïncider partouze et ripaille, ou encore - comble du raffinement - faire bouffer à ses clients, la chair de leurs semblables Sous ses faux airs polis, bien élevés, Plaisir en bouche est un livre complètement décadent qui propose au passage une critique acerbe - et franchement drôle - des tribulations de plus en plus egocentrées des courants artistiques contemporains, des fashion victimes et des infinies variations de la « tendance». Ainsi, on aura vu tout au long de ce récit notre chef tenter, singer et inventer, tel un grand couturier des papilles, toutes les cuisines possibles : passant du rustique lourd au zen anorexique, ou du multiethnique à l’orgiaque multisensoriel… Si Plaisir en Bouche est un thriller inabouti (les 30 dernières pages sont calamiteuses), son grand attrait réside donc dans sa capacité à offrir une satire hilarante et pleine d’intelligence des travers contemporains. L’esprit est suffisamment rare pour le signaler quand il se manifeste avec finesse. -- Stéphane Malterre -- Urbuz.com Quatrième de couverture Balthazar Chacun, orphelin, est un autodidacte qui, dès 15 ans, s'est consacré à la gastronomie. Vite considéré comme un génie de par ses facultés hors normes à distinguer les goûts et sa déconcertante facilité à cuisiner toutes sortes de plats, il devient, avec son restaurant Arthus (3 étoiles, le summum), le symbole d'une nouvelle tendance intellectuelle, le Misme, qui prône la recherche de l'essence de chaque chose en la débarrassant de ses atours. Cette "mode", par sa radicalisation rapide, montre vite ses limites et passe du dépouillement à la fonctionnalité, puis devient une culture du néant, du vide synonyme de la fin de l'art et de la culture. La cuisine de Balthazar s'en ressent et il perd une étoile. La nouvelle, étrangement, lui avait été annoncée la veille par une lettre anonyme. Cette lettre, par son contenu, l'aide à réaliser qu'il lui faut abandonner le Misme pour en prendre le contre-pied absolu. Balthazar Chacun ouvre un nouveau restaurant totalement baroque, orgiaque, qu'il nomme le Palais des nuits. Un fonds d'investissement américain spécialisé dans les placements éthiques lui fournit l'argent nécessaire et le succès est foudroyant. Cette lettre anonyme sera la première d'une série qui, à chaque fois, l'aidera à repousser les limmites de son champ d'investigation gustatif. Le drame arrivera lorsqu'il ne lui restera plus que l'être humain à fignoler en sauce. Clin d'oeil au Parfum de Süskind, Plaisir en bouche est un roman qui, via la gastronomie, traite de la quête du sens et du dépassement des limites. Biographie de l'auteur Béatrice Joyaud a tout juste trente ans. Elle est avocat d'affaires. Plaisir en bouche est son premier roman.
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