Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La République et l'Islam

Broché - Editions Gallimard - 348 pages - Publication: 11 septembre 2002

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Depuis le milieu du XIXe siècle, la France est une terre d'immigration. On peut estimer que l'apport de celle-ci représente aujourd'hui plus d'un cinquième de la population. Notre pays a assimilé des vagues successives d'immigrés - Italiens, Polonais, Portugais, Africains, Arabes - et continue de le faire. Cependant, depuis quelques années, le " modèle français d'intégration " est entré en crise sous l'effet de plusieurs phénomènes convergents : exaltation des droits de l'individu et des différences, communautarisme à l'anglo-saxonne, tandis que s'affaiblissaient, au moins chez les élites, le sentiment d'appartenance à la nation et le sens de l'intérêt général. Cette crise s'est surtout manifestée dans les rapports de la République avec l'islam. D'abord, de façon spectaculaire, sur le terrain de l'école avec plusieurs " affaires de foulard " ; puis, plus discrètement, avec les subventions versées au culte musulman. Chaque fois ou presque, les pouvoirs publics se sont dérobés à leur mission, partagés entre la crainte et l'aveuglement. Or, si la pratique religieuse de la majorité des musulmans est aujourd'hui des plus paisibles, il n'en va pas toujours ainsi des autorités et des leaders d'opinion islamiques, que ce comportement incite à la surenchère et à l'irresponsabilité. Et de concessions en compromis, nous paraissons revenir sur ce à quoi nous tenons tant, après des siècles de rivalité entre l'Eglise et l'Etat : la laïcité. Le visage que prendra désormais l'islam dépendra d'abord de nos choix. Si nous nous engageons vers le communautarisme, que ce soit le résultat d'un vrai débat politique national, et non à la suite d'arrangements juridiques concoctés par le Conseil d'Etat pour répondre à des " phénomènes de société " montés en épingle par les médias. Quatrième de couverture Depuis le milieu de XIXᵉ siècle, la France est une terre d'immigration. On peut estimer que l'apport de celle-ci représente aujourd'hui plus d'un cinquième de la population. Notre pays a assimilé des vagues successives d'immigrés - Italiens, Polonais, Portugais, Africains, Arabes - et continue de le faire. Cependant, depuis quelques années, le "modèle français d'intégration" est entré en crise sous l'effet de plusieurs phénomènes convergents : exaltation des droits de l'individu et des différences, communautarisme à l'anglo-saxonne, tandis que s'affaiblissaient, au moins chez les élites, le sentiment d'appartenance à la nation et le sens de l'intérêt général.Cette crise s'est surtout manifestée dans les rapports de la République avec l'islam. D'abord, de façon spectaculaire, sur le terrain de l'école avec plusieurs "affaires de foulard" ; puis, plus discrètement, avec les subventions versées au culte musulman. Chaque fois ou presque, les pouvoirs publics se sont dérobés à leur mission, partagés entre la crainte et l'aveuglement.Or, si la pratique religieuse de la majorité des musulmans est aujourd'hui des plus paisibles, il n'en va pas toujours ainsi des autorités et des leaders d'opinion islamiques, que ce comportement incite à la surenchère et à l'irresponsabilité. Et de concessions en compromis, nous paraissons revenir sur ce à quoi nous tenons tant, après des siècles de rivalité entre l'Église et l'État : la laïcité. Biographie de l'auteur Jeanne-Hélène Kaltenbach est membre du Haut Conseil à l'intégration. Elle est l'auteur (avec Pierre-Patrick Kaltenbach) de La France, une chance pour l'islam (Le Félin, 1991) et de Etre protestant en France aujourd'hui, sous la direction de Bruno Etienne (Hachette, 1997). Michèle Tribalat est directrice de recherches à l'institut national d'études démographiques. Elle a été membre du Haut Conseil à l'intégration. Elle est l'auteur de Faire France (La Découverte, 1995) et de Dreux, voyage au cœur du malaise français (Syros, 1998).
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La République et l'Islam

Broché - Editions Gallimard - 348 pages - Publication: 11 septembre 2002

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Depuis le milieu du XIXe siècle, la France est une terre d'immigration. On peut estimer que l'apport de celle-ci représente aujourd'hui plus d'un cinquième de la population. Notre pays a assimilé des vagues successives d'immigrés - Italiens, Polonais, Portugais, Africains, Arabes - et continue de le faire. Cependant, depuis quelques années, le " modèle français d'intégration " est entré en crise sous l'effet de plusieurs phénomènes convergents : exaltation des droits de l'individu et des différences, communautarisme à l'anglo-saxonne, tandis que s'affaiblissaient, au moins chez les élites, le sentiment d'appartenance à la nation et le sens de l'intérêt général. Cette crise s'est surtout manifestée dans les rapports de la République avec l'islam. D'abord, de façon spectaculaire, sur le terrain de l'école avec plusieurs " affaires de foulard " ; puis, plus discrètement, avec les subventions versées au culte musulman. Chaque fois ou presque, les pouvoirs publics se sont dérobés à leur mission, partagés entre la crainte et l'aveuglement. Or, si la pratique religieuse de la majorité des musulmans est aujourd'hui des plus paisibles, il n'en va pas toujours ainsi des autorités et des leaders d'opinion islamiques, que ce comportement incite à la surenchère et à l'irresponsabilité. Et de concessions en compromis, nous paraissons revenir sur ce à quoi nous tenons tant, après des siècles de rivalité entre l'Eglise et l'Etat : la laïcité. Le visage que prendra désormais l'islam dépendra d'abord de nos choix. Si nous nous engageons vers le communautarisme, que ce soit le résultat d'un vrai débat politique national, et non à la suite d'arrangements juridiques concoctés par le Conseil d'Etat pour répondre à des " phénomènes de société " montés en épingle par les médias. Quatrième de couverture Depuis le milieu de XIXᵉ siècle, la France est une terre d'immigration. On peut estimer que l'apport de celle-ci représente aujourd'hui plus d'un cinquième de la population. Notre pays a assimilé des vagues successives d'immigrés - Italiens, Polonais, Portugais, Africains, Arabes - et continue de le faire. Cependant, depuis quelques années, le "modèle français d'intégration" est entré en crise sous l'effet de plusieurs phénomènes convergents : exaltation des droits de l'individu et des différences, communautarisme à l'anglo-saxonne, tandis que s'affaiblissaient, au moins chez les élites, le sentiment d'appartenance à la nation et le sens de l'intérêt général.Cette crise s'est surtout manifestée dans les rapports de la République avec l'islam. D'abord, de façon spectaculaire, sur le terrain de l'école avec plusieurs "affaires de foulard" ; puis, plus discrètement, avec les subventions versées au culte musulman. Chaque fois ou presque, les pouvoirs publics se sont dérobés à leur mission, partagés entre la crainte et l'aveuglement.Or, si la pratique religieuse de la majorité des musulmans est aujourd'hui des plus paisibles, il n'en va pas toujours ainsi des autorités et des leaders d'opinion islamiques, que ce comportement incite à la surenchère et à l'irresponsabilité. Et de concessions en compromis, nous paraissons revenir sur ce à quoi nous tenons tant, après des siècles de rivalité entre l'Église et l'État : la laïcité. Biographie de l'auteur Jeanne-Hélène Kaltenbach est membre du Haut Conseil à l'intégration. Elle est l'auteur (avec Pierre-Patrick Kaltenbach) de La France, une chance pour l'islam (Le Félin, 1991) et de Etre protestant en France aujourd'hui, sous la direction de Bruno Etienne (Hachette, 1997). Michèle Tribalat est directrice de recherches à l'institut national d'études démographiques. Elle a été membre du Haut Conseil à l'intégration. Elle est l'auteur de Faire France (La Découverte, 1995) et de Dreux, voyage au cœur du malaise français (Syros, 1998).
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