Fiche technique
- Titre : Mon Malagar
- Auteur : Sinzelle, Lucienne
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 131
- Genre : Mémoires
- Date de publication : 31-05-2001
- Édition : GALLIMARD
- Poids : 0.153 kg
- Dimensions : 11.8 x 1.3 x 18.5 cm
- ISBN-10 : 2070761622
- ISBN-13 : 9782070761623
Résumé
«C'était Malagar. Nous y sommes arrivés en 1929, j'avais deux ans et Lulu quatre, et j'allais vivre dans ce lieu paradisiaque les plus belles années, les plus douloureuses aussi, de ma vie.»Ce sont les souvenirs de cette enfance passée dans la célèbre propriété de François Mauriac que Lucienne Sinzelle, dite Nénette, fille d'un ouvrier agricole de Malagar, restitue dans ce récit âpre et intense. Côté communs, c'est la chronique d'une petite paysanne intelligente et sensible : un regard inestimable sur la vie rurale dans la première moitié du siècle dernier, une évocation vibrante des êtres qui l'entourent - Lulu, le frère tant aimé, Jean Mauriac, le jeune garçon avec qui elle partage ses jeux, le bel adolescent dont elle rêve en secret -, mais aussi une enfance blessée au vif par l'inceste. Côté jardin, c'est une autre lecture du monde mauriacien qui affleure, un portrait singulier de l'écrivain, parfois hautain, indifférent, toujours respecté. «On le voit passer, tout à ses songes, écrit José Cabanis. Le maître rêvait sous la charmille, dans le jardin et les vignes. Malagar fut le rêve poétique de Mauriac. Comme toute ouvre qui en vaut la peine, une création, unique, elle aussi. Les souvenirs de Nénette la font voir autrement, côté cuisine. Ils ne la diminuent pas.»Amazon.frNénette, c'est Lucienne, la fille des Sinzenelle, les domestiques de Malagar. Et Malagar, ce n'est rien d'autre que la grande propriété girondine de François Mauriac. Soixante ans après son départ du célèbre domaine, elle litMalagar, les souvenirs d'enfance de Jean Mauriac, fils du grand écrivain, et c'est le déclic. Sa plume retrace à son tour les douze années d'enfance passées dans "son" Malagar. En ne cessant, au fil de son récit, de s'adresser à Jean, elle fait revivre dans une langue naïve et touchante les jours écoulés dans le domaine des Mauriac, les foins et les vendanges, l'école buissonnière, en bref le meilleur de l'enfance. Elle évoque aussi, avec toujours la même candide franchise, le pire : les violences du père alcoolique, puis l'inceste, la guerre, la perte de son frère Lulu, et enfin, le départ de Malagar.De François Mauriac, il faut bien avouer qu'on ne retiendra que de furtives allusions. Quoi de plus normal puisque "au cours des douze années passées à Malagar, je n'ai dû l'approcher vraiment que cinq ou six fois". Voilà qui est honnête... et plutôt éloigné de cette nouvelle lumière annoncée, fût-elle "côté cuisine", sur le portrait de François Mauriac. Mon Malagar demeure un beau témoignage sur la vie paysanne française du Sud-Ouest, au début du XXe siècle. --Laure AncielQuatrième de couverture"C'était Malagar. Nous y sommes arrivés en 1929, j'avais deux ans et Lulu quatre, et j'allais vivre dans ce lieu paradisiaque les plus belles années, les plus douloureuses aussi, de ma vie."Ce sont les souvenirs de cette enfance passée dans la célèbre propriété de François Mauriac que Lucienne Sinzelle, dite Nénette, fille d'un ouvrier agricole de Malagar, restitue dans ce récit âpre et intense.Côté communs, c'est la chronique d'une petite paysanne intelligente et sensible : un regard inestimable sur la vie rurale dans la première moitié du siècle dernier, une évocation vibrante des êtres qui l'entourent - Lulu, le frère tant aimé, Jean Mauriac, le jeune garçon avec qui elle partage ses jeux, le bel adolescent dont elle rêve en secret -, mais aussi une enfance blessée au vif par l'inceste.Côté jardin, c'est une autre lecture du monde mauriacien qui affleure, un portrait singulier de l'écrivain, parfois hautain, indifférent, toujours respecté. "On le voit passer, tout à ses songes, écrit José Cabanis. Le maître rêvait sous la charmille, dans le jardin et les vignes. Malagar fut le rêve poétique de Mauriac. Comme toute oeuvre qui en vaut la peine, une création, unique, elle aussi. Les souvenirs de Nénette la font voir autrement, côté cuisine. Ils ne la diminuent pas."
Quatrième de couverture
"C'était Malagar. Nous y sommes arrivés en 1929, j'avais deux ans et Lulu quatre, et j'allais vivre dans ce lieu paradisiaque les plus belles années, les plus douloureuses aussi, de ma vie."Ce sont les souvenirs de cette enfance passée dans la célèbre propriété de François Mauriac que Lucienne Sinzelle, dite Nénette, fille d'un ouvrier agricole de Malagar, restitue dans ce récit âpre et intense.Côté communs, c'est la chronique d'une petite paysanne intelligente et sensible : un regard inestimable sur la vie rurale dans la première moitié du siècle dernier, une évocation vibrante des êtres qui l'entourent - Lulu, le frère tant aimé, Jean Mauriac, le jeune garçon avec qui elle partage ses jeux, le bel adolescent dont elle rêve en secret -, mais aussi une enfance blessée au vif par l'inceste.Côté jardin, c'est une autre lecture du monde mauriacien qui affleure, un portrait singulier de l'écrivain, parfois hautain, indifférent, toujours respecté. "On le voit passer, tout à ses songes, écrit José Cabanis. Le maître rêvait sous la charmille, dans le jardin et les vignes. Malagar fut le rêve poétique de Mauriac. Comme toute oeuvre qui en vaut la peine, une création, unique, elle aussi. Les souvenirs de Nénette la font voir autrement, côté cuisine. Ils ne la diminuent pas."Biographie de l'auteurNée en 1927,
À propos de l'auteur
Sinzelle, Lucienne
Née en 1927,
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