Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Chronique indiscrète des mandarins

Poche - GALLIMARD - 420 pages - Publication: 13 octobre 1986

Wou King-tseu (Auteur), Tchang Fou-jouei (Traduction)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ce roman dont la traduction exigea quinze années de travail d'un des plus savants lettrés, M. Tchang Fou-jouei, est considéré par Lou Siun comme le plus réussi des romans satiriques de son pays. On dirait aussi bien : l'un des plus réussis de la littérature universelle. Qui veut connaître la société chinoise d'avant la Révolution, c'est l'auteur de cette Chronique en vérité fort indiscrète des mandarins, Wou King-tseu (1701-1754), qu'il devra lire de toute urgence. Fils de mandarin, lettré lui-même mais qui refuse de se présenter au concours, aux épreuves du " vaste savoir " et des " phrases symétriques ", cet écrivain verveux, à la langue aussi peu conformiste que drolatiquement efficace, met au pilori toute la société de son temps (que par prudence indispensable il transpose dans la dynastie précédente). Plus de deux cent cinquante personnages apparaissent, disparaissent, non point marionnettes, car ce vrai romancier présente des humains complexes, mais qui font font font trois petits tours et puis à l'occasion s'en vont (selon l'une des grandes techniques du roman, qui agglutine les nouvelles). Maquereaux et putains, prêtres de toute robe, juges plus pourris que les bandits et voleurs qu'ils condamnent, concours dérisoires, mandarins prévaricateurs, bureaucratie plus inefficace encore que tyrannique, toute une société vermoulue, condamnée, grouille ici, fricote et fornique, sous l'œil implacable mais souriant de celui qu'on appelle souvent le Gogol chinois. Pourquoi ne pas dire de Gogol qu'il est le Wou King-tseu russe ? Car enfin, Gogol est postérieur à ce romancier qui ne cache rien des tares de l'empire mandchou, dont nos Jésuites célébraient alors les vertus, et la vertu... Quatrième de couverture Qui veut connaître la société chinoise d'avant la Révolution, c'est l'auteur de cette Chronique en vérité fort indiscrète des mandarins, Wou King-tseu (1701-1754), qu'il devra lire de toute urgence. Fils de mandarin, lettré lui-même mais qui refuse de se présenter au concours, aux épreuves du "vaste savoir" et des "phrases symétriques", cet écrivain verveux, à la langue aussi peu conformiste que drolatiquement efficace, met au pilori toute la société de son temps (que par prudence indispensable il transpose dans la dynastie précédente). Plus de deux cent cinquante personnages apparaissent, disparaissent, non point marionnettes, car ce vrai romancier présente des humains complexes, mais qui font font font trois petits tours et puis à l'occasion s'en vont (selon l'une des grandes techniques du roman, qui agglutine les nouvelles). Maquereaux et putains, prêtres de toute robe, juges plus pourris que les bandits et voleurs qu'ils condamnent, concours dérisoires, mandarins prévaricateurs, bureaucratie plus inefficace encore que tyrannique ; toute une société vermoulue, condamnée, grouille ici, fricote et fornique, sous l'oeil implacable mais souriant de celui qu'on appelle souvent le "Gogol chinois". Pourquoi ne pas dire de Gogol qu'il est le Wou King-tseu russe ? Car enfin, Gogol est postérieur à ce romancier qui ne cache rien des tares de l'empire mandchou, dont nos Jésuites célébraient alors les vertus, et la vertu...
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Chronique indiscrète des mandarins

Poche - GALLIMARD - 420 pages - Publication: 13 octobre 1986

Wou King-tseu (Auteur), Tchang Fou-jouei (Traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ce roman dont la traduction exigea quinze années de travail d'un des plus savants lettrés, M. Tchang Fou-jouei, est considéré par Lou Siun comme le plus réussi des romans satiriques de son pays. On dirait aussi bien : l'un des plus réussis de la littérature universelle. Qui veut connaître la société chinoise d'avant la Révolution, c'est l'auteur de cette Chronique en vérité fort indiscrète des mandarins, Wou King-tseu (1701-1754), qu'il devra lire de toute urgence. Fils de mandarin, lettré lui-même mais qui refuse de se présenter au concours, aux épreuves du " vaste savoir " et des " phrases symétriques ", cet écrivain verveux, à la langue aussi peu conformiste que drolatiquement efficace, met au pilori toute la société de son temps (que par prudence indispensable il transpose dans la dynastie précédente). Plus de deux cent cinquante personnages apparaissent, disparaissent, non point marionnettes, car ce vrai romancier présente des humains complexes, mais qui font font font trois petits tours et puis à l'occasion s'en vont (selon l'une des grandes techniques du roman, qui agglutine les nouvelles). Maquereaux et putains, prêtres de toute robe, juges plus pourris que les bandits et voleurs qu'ils condamnent, concours dérisoires, mandarins prévaricateurs, bureaucratie plus inefficace encore que tyrannique, toute une société vermoulue, condamnée, grouille ici, fricote et fornique, sous l'œil implacable mais souriant de celui qu'on appelle souvent le Gogol chinois. Pourquoi ne pas dire de Gogol qu'il est le Wou King-tseu russe ? Car enfin, Gogol est postérieur à ce romancier qui ne cache rien des tares de l'empire mandchou, dont nos Jésuites célébraient alors les vertus, et la vertu... Quatrième de couverture Qui veut connaître la société chinoise d'avant la Révolution, c'est l'auteur de cette Chronique en vérité fort indiscrète des mandarins, Wou King-tseu (1701-1754), qu'il devra lire de toute urgence. Fils de mandarin, lettré lui-même mais qui refuse de se présenter au concours, aux épreuves du "vaste savoir" et des "phrases symétriques", cet écrivain verveux, à la langue aussi peu conformiste que drolatiquement efficace, met au pilori toute la société de son temps (que par prudence indispensable il transpose dans la dynastie précédente). Plus de deux cent cinquante personnages apparaissent, disparaissent, non point marionnettes, car ce vrai romancier présente des humains complexes, mais qui font font font trois petits tours et puis à l'occasion s'en vont (selon l'une des grandes techniques du roman, qui agglutine les nouvelles). Maquereaux et putains, prêtres de toute robe, juges plus pourris que les bandits et voleurs qu'ils condamnent, concours dérisoires, mandarins prévaricateurs, bureaucratie plus inefficace encore que tyrannique ; toute une société vermoulue, condamnée, grouille ici, fricote et fornique, sous l'oeil implacable mais souriant de celui qu'on appelle souvent le "Gogol chinois". Pourquoi ne pas dire de Gogol qu'il est le Wou King-tseu russe ? Car enfin, Gogol est postérieur à ce romancier qui ne cache rien des tares de l'empire mandchou, dont nos Jésuites célébraient alors les vertus, et la vertu...
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