Fiche technique
- Titre : Le premier homme
- Auteur : Camus,Albert
- Langue : Français
- Format : Fournitures diverses
- Nombre de pages : 384
- Genre : Romans
- Date de publication : 28-10-2010
- Édition : Folio
- Poids : 0.328 kg
- Dimensions : 11 x 2.1 x 18.2 cm
- ISBN-10 : 2070439879
- ISBN-13 : 9782070439874
Résumé
" En somme, je vais parler de ceux que j'aimais ", écrit Albert Camus dans une note pour Le premier homme. Le projet de ce roman auquel il travaillait au moment de sa mort était ambitieux. II avait dit un jour que les écrivains " gardent l'espoir de retrouver les secrets d'un art universel qui, à force d'humilité et de maîtrise, ressusciterait enfin les personnages dans leur chair et dans leur durée ". Il avait jeté les bases de ce qui serait le récit de l'enfance de son premier homme ". Cette rédaction initiale a un caractère autobiographique qui aurait sûrement disparu dans la version définitive du roman. Mais c'est justement ce côté autobiographique qui est précieux aujourd'hui. Après avoir lu ces pages, on voit apparaître les racines de ce qui fera la personnalité de Camus, sa sensibilité, la genèse de sa pensée, les raisons de son engagement. Pourquoi, toute sa vie, il aura voulu parler au nom de ceux à qui la parole est refusée.Quatrième de couverture"En somme, je vais parler de ceux que j'aimais", écrit Albert Camus dans une note pour Le premier homme. Le projet de ce roman auquel il travaillait au moment de sa mort était ambitieux. Il avait dit un jour que les écrivains "gardent l'espoir de retrouver les secrets d'un art universel qui, à force d'humilité et de maîtrise, ressusciterait enfin les personnages dans leur chair et dans leur durée". Il avait jeté les bases de ce qui serait le récit de l'enfance de son "premier homme". Cette rédaction initiale a un caractère autobiographique qui aurait sûrement disparu dans la version définitive du roman. Mais c'est justement ce côté autobiographique qui est précieux aujourd'hui. Après avoir lu ces pages, on voit apparaître les racines de ce qui fera la personnalité de Camus, sa sensibilité, la genèse de sa pensée, les raisons de son engagement. Pourquoi, toute sa vie, il aura voulu parler au nom de ceux à qui la parole est refusée.
Quatrième de couverture
"En somme, je vais parler de ceux que j'aimais", écrit Albert Camus dans une note pour Le premier homme. Le projet de ce roman auquel il travaillait au moment de sa mort était ambitieux. Il avait dit un jour que les écrivains "gardent l'espoir de retrouver les secrets d'un art universel qui, à force d'humilité et de maîtrise, ressusciterait enfin les personnages dans leur chair et dans leur durée". Il avait jeté les bases de ce qui serait le récit de l'enfance de son "premier homme". Cette rédaction initiale a un caractère autobiographique qui aurait sûrement disparu dans la version définitive du roman. Mais c'est justement ce côté autobiographique qui est précieux aujourd'hui. Après avoir lu ces pages, on voit apparaître les racines de ce qui fera la personnalité de Camus, sa sensibilité, la genèse de sa pensée, les raisons de son engagement. Pourquoi, toute sa vie, il aura voulu parler au nom de ceux à qui la parole est refusée.Biographie de l'auteurAlbert Camus naît à Mondovi, en Algérie, le 7 novembre 1913. Pendant la seconde guerre mondiale, il intègre un mouvement de résistance à Paris, puis devient rédacteur en chef de quotidienCombat à la Libération. Journaliste, mais aussi philosophe, romancier et dramaturge, il reçoit le prix Nobel de littérature en 1957. Pour ce "Français d'Algérie" pauvre et sans racines, le tragique est indissociable de l'aspiration à un bonheur qu'il sait aussi précaire que le soleil de midi. S'il voue sa vie entière au théâtre (Caligula,L'État de siège,Les Justes), ses romans (L'Étranger,La Peste,La Chute) et son oeuvre de journaliste l'imposent comme l'un des principaux acteurs de son temps.Il meurt en 1960 dans un accident de voiture, laissant le manuscrit du Premier homme inachevé.
À propos de l'auteur
Camus,Albert
Albert Camus naît à Mondovi, en Algérie, le 7 novembre 1913. Pendant la seconde guerre mondiale, il intègre un mouvement de résistance à Paris, puis devient rédacteur en chef de quotidienCombat à la Libération. Journaliste, mais aussi philosophe, romancier et dramaturge, il reçoit le prix Nobel de littérature en 1957. Pour ce "Français d'Algérie" pauvre et sans racines, le tragique est indissociable de l'aspiration à un bonheur qu'il sait aussi précaire que le soleil de midi. S'il voue sa vie entière au théâtre (Caligula,L'État de siège,Les Justes), ses romans (L'Étranger,La Peste,La Chute) et son oeuvre de journaliste l'imposent comme l'un des principaux acteurs de son temps.Il meurt en 1960 dans un accident de voiture, laissant le manuscrit du Premier homme inachevé.
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