Le Pitch
Présentation de l'éditeur
" Je n'écris que cela, des banalités. En fait, je suis nulle. Toutes mes amies me disent que je suis géniale et belle et sympa et positive, et mes parents disent la même chose et tout le monde me croit formidablement sûre de moi, si seulement ils savaient à quel point je me trouve nulle. J'ai tout faux. Je suis encore vierge, 9/10 (ou plutôt 10/10) de mes amies ne le sont plus depuis longtemps, elles ont toutes plus ou moins un garçon dans leur vie, et moi rien. Plaignez, plaignez la pauvre petite poule sans amour, la gentille fille de bon aloi qui ignore ce que l'amour physique veut dire, le bébé à l'enveloppe de femme qui a les chevilles trop épaisses, les hanches trop larges, un nez trop épaté, une oreille qui dit bonjour à l'autre, des fossettes trop hautes et un menton trop pointu, et qui marche en faisant des mouvements comme les bateaux qui tanguent dans le port lorsqu'il y a de la houle. "
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Au début était une jeune fille, une enfant encore mais déjà un corps de femme. Manuella, environ dix-sept ans, le bac en point de mire et la grande question de l'amour en leitmotiv. Pour le bac, pas de problèmes, à condition de ne pas trop se laisser perturber. Mais, pour ce qui concerne les garçons, Manuella est hors statistiques comme elle le dit elle-même. Alors que toutes ses copines ont déjà couché, Manuella, elle, attend le bon moment, la bonne raison, la véritable envie et surtout une relation sincère. Autant dire que ce n'est pas du tout cuit. Les garçons de son âge, et même après, sont souvent empressés et trop pressés. Manuella les observe, discute de leurs cas durant de longues conversations téléphoniques avec ses amies et finit par obtenir son bac… Délivrance après les résultats :
"La journée la plus importante de tout être humain français normalement constitué à qui l'on a fait comprendre depuis des jours et des nuits que c'était la barrière indispensable à franchir – pour aller où ?" En vacances, là où tout est possible et où Manuella finira par passer le cap la conduisant enfin à sa vie de femme.
Journaliste, écrivain et globe-trotter, Philippe Labro signe avec Manuella un charmant récit sur quelques mois cruciaux de la vie d'une adolescente. Un livre qui vient compléter ses autres romans d'apprentissage comme L'Étudiant étranger, Le Petit Garçon, Quinze ans ou Un début à Paris. --Stelio Paris
Quatrième de couverture
"Je n'écris que cela, des banalités. En fait, je suis nulle. Toutes mes amies me disent que je suis géniale et belle et sympa et positive, et mes parents disent la même chose et tout le monde me croit formidablement sûre de moi, si seulement ils savaient à quel point je me trouve nulle. J'ai tout faux. Je suis encore vierge, 9/10 (ou plutôt 10/10) de mes amies ne le sont plus depuis longtemps, elles ont toutes plus ou moins un garçon dans leur vie, et moi rien. Plaignez, plaignez la pauvre petite poule sans amour, la gentille fille de bon aloi qui ignore ce que l'amour physique veut dire, le bébé à l'enveloppe de femme qui a les chevilles trop épaisses, les hanches trop larges, un nez trop épaté, une oreille qui dit bonjour à l'autre, des fossettes trop hautes et un menton trop pointu, et qui marche en faisant des mouvements comme les bateaux qui tanguent dans le port lorsqu'il y a de la houle."