Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le musée disparu

Broché - FOLIO - 500 pages - Publication: 29 mars 2012

Feliciano, Hector (Auteur), Doubin, Svetlana (Traduction)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français et à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent le pillage de milliers d'oeuvres d'art. Sur ordre direct de Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées d'un immense renom - celles des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann - disparaissent. Elles sont envoyées en Allemagne comme, tout le temps de l'Occupation, des collections publiques mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur, volés méthodiquement ou fortuitement par les officiers et les soldats. Nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés.Car le pillage s'opère souvent avec l'aide active de marchands et de commissaires-priseurs français. Après-guerre, les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées à leurs propriétaires, du fait de la complaisance ou de la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché.Feliciano, dans ce récit des vols et cette enquête sur la trace de certaines oeuvres, met à nu le système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations. Quatrième de couverture Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent, à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, le pillage et la confiscation, qui dureront tout le temps de l'Occupation, de milliers d'oeuvres d'art. Des collections publiques et privées, des tableaux mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur partent vers l'Allemagne. Volés systématiquement et méthodiquement, ou plus fortuitement par les officiers et les soldats, nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés. En 1995, Hector Feliciano publiait en France le fruit de huit années d'enquête, au terme desquelles il avait retrouvé la trace de certaines oeuvres. Les traductions de cet ouvrage à l'étranger l'enrichirent chaque fois de découvertes nouvelles, puisqu'elles s'inscrivaient dans le mouvement international de restitution aux héritiers des biens confisqués et presque toujours récupérés après la guerre par les États nationaux, mais pas par les familles, faute le plus souvent d'informations. Cette édition nouvelle est donc à la fois le récit du pillage des oeuvres d'art et une enquête sur la trace de certaines oeuvres, principalement à travers les exemples de la spoliation, sur ordre direct d'Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann. Le vol de ces collections d'un immense renom s'opère souvent avec l'aide active de marchands et des commissaires-priseurs français. Si après-guerre les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées, c'est qu'il fallait compter avec la complaisance ou la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché. Feliciano met à nu ce système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations. Biographie de l'auteur Journaliste, Hector Feliciano est originaire de Porto Rico. Longtemps correspondant culturel en Europe pour le Washington Post et le Los Angeles Times, il a vécu plusieurs années à Paris. Il vit et travaille actuellement à New York.
Détails du livre
Contenu
Auteur

Le musée disparu

Broché - FOLIO - 500 pages - Publication: 29 mars 2012

Feliciano, Hector (Auteur), Doubin, Svetlana (Traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français et à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent le pillage de milliers d'oeuvres d'art. Sur ordre direct de Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées d'un immense renom - celles des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann - disparaissent. Elles sont envoyées en Allemagne comme, tout le temps de l'Occupation, des collections publiques mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur, volés méthodiquement ou fortuitement par les officiers et les soldats. Nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés.Car le pillage s'opère souvent avec l'aide active de marchands et de commissaires-priseurs français. Après-guerre, les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées à leurs propriétaires, du fait de la complaisance ou de la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché.Feliciano, dans ce récit des vols et cette enquête sur la trace de certaines oeuvres, met à nu le système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations. Quatrième de couverture Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent, à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, le pillage et la confiscation, qui dureront tout le temps de l'Occupation, de milliers d'oeuvres d'art. Des collections publiques et privées, des tableaux mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur partent vers l'Allemagne. Volés systématiquement et méthodiquement, ou plus fortuitement par les officiers et les soldats, nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés. En 1995, Hector Feliciano publiait en France le fruit de huit années d'enquête, au terme desquelles il avait retrouvé la trace de certaines oeuvres. Les traductions de cet ouvrage à l'étranger l'enrichirent chaque fois de découvertes nouvelles, puisqu'elles s'inscrivaient dans le mouvement international de restitution aux héritiers des biens confisqués et presque toujours récupérés après la guerre par les États nationaux, mais pas par les familles, faute le plus souvent d'informations. Cette édition nouvelle est donc à la fois le récit du pillage des oeuvres d'art et une enquête sur la trace de certaines oeuvres, principalement à travers les exemples de la spoliation, sur ordre direct d'Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann. Le vol de ces collections d'un immense renom s'opère souvent avec l'aide active de marchands et des commissaires-priseurs français. Si après-guerre les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées, c'est qu'il fallait compter avec la complaisance ou la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché. Feliciano met à nu ce système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations. Biographie de l'auteur Journaliste, Hector Feliciano est originaire de Porto Rico. Longtemps correspondant culturel en Europe pour le Washington Post et le Los Angeles Times, il a vécu plusieurs années à Paris. Il vit et travaille actuellement à New York.
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