Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La foire aux vanités

Poche - FOLIO - 1071 pages - Publication: 23 septembre 1994

Thackeray, William Makepeace (Auteur), Guiffrey, Georges (Traduction), Monod, Sylvère (Editeur)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Il s'agit de l'un des plus grands classiques du roman anglais. Le XIXᵉ siècle britannique est divisé entre Dickens et Thackeray comme le nôtre entre Balzac et Stendhal. Thackeray (1811-1863) est l'égal de Stendhal et La Foire aux Vanités (1848), son chef-d'oeuvre. Il y utilise un style humoristique ou ironiquement épique pour donner l'un des plus grands romans de satire sociale en langue anglaise. La thèse fondamentale du livre est que, dans la société occidentale, le seul moyen d'arriver, si l'on est sans naissance ni fortune, est de violer tous les principes moraux que la société fait semblant de respecter. La question qu'il pose donc est : qui faut-il blâmer, ces aventuriers, ou le système qui les rend nécessaires ? Le personnage principal est une femme hypocrite, ambitieuse et sans scrupules : on assiste à son ascension au sommet de la société et à sa chute. Autour d'elle s'agite, dans une immense fresque, la "Foire aux Vanités". Quatrième de couverture Il s'agit de l'un des plus grands classiques du roman anglais. Le XIXᵉ siècle britannique est divisé entre Dickens et Thackeray comme le nôtre entre Balzac et Stendhal. Thackeray (1811-1863) est l'égal de Stendhal et La Foire aux Vanités (1848), son chef-d'oeuvre. Il y utilise un style humoristique ou ironiquement épique pour donner l'un des plus grands romans de satire sociale en langue anglaise. La thèse fondamentale du livre est que, dans la société occidentale, le seul moyen d'arriver, si l'on est sans naissance ni fortune, est de violer tous les principes moraux que la société fait semblant de respecter. La question qu'il pose donc est : qui faut-il blâmer, ces aventuriers, ou le système qui les rend nécessaires ? Le personnage principal est une femme hypocrite, ambitieuse et sans scrupules : on assiste à son ascension au sommet de la société et à sa chute. Autour d'elle s'agite, dans une immense fresque, la "Foire aux Vanités". Biographie de l'auteur William Makepeace Thackeray (1811, Calcutta - 1863, Londres) est l'un des romanciers britanniques les plus importants de l'époque victorienne. Connu pour ses oeuvres satiriques ayant pour cible la classe moyenne britannique, il est l'auteur, entre autres, des Mémoires de Barry Lyndon (adapté par Stanley Kubrick) et de Vanity Fair, l'un des romans-phares de la littérature anglaise. Sa capacité d'observation des comportements sociaux sert une satire des moeurs de la société britannique. Mais la morale que Thackeray cherche à tirer de ses observations ressemble étrangement à la morale catholique : "tout n'est que vanité". Thackeray prêche l'humilité, le travail sans en attendre de récompense, la tolérance, l'amour des autres... Tout cela s'intègre parfaitement à l'époque victorienne et y trouve un grand écho. Thackeray refuse de voir dans les individus qu'il observe des produits d'un système socio-politique. Il refuse tout autant, bloqué par son puritanisme, de parler des aspects sordides de l'existence humaine. C'est pour toutes ces raisons que Charles Dickens et lui furent opposés, autant dans leur oeuvre que dans leurs idées.
Détails du livre
Contenu
Auteur

La foire aux vanités

Poche - FOLIO - 1071 pages - Publication: 23 septembre 1994

Thackeray, William Makepeace (Auteur), Guiffrey, Georges (Traduction), Monod, Sylvère (Editeur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Il s'agit de l'un des plus grands classiques du roman anglais. Le XIXᵉ siècle britannique est divisé entre Dickens et Thackeray comme le nôtre entre Balzac et Stendhal. Thackeray (1811-1863) est l'égal de Stendhal et La Foire aux Vanités (1848), son chef-d'oeuvre. Il y utilise un style humoristique ou ironiquement épique pour donner l'un des plus grands romans de satire sociale en langue anglaise. La thèse fondamentale du livre est que, dans la société occidentale, le seul moyen d'arriver, si l'on est sans naissance ni fortune, est de violer tous les principes moraux que la société fait semblant de respecter. La question qu'il pose donc est : qui faut-il blâmer, ces aventuriers, ou le système qui les rend nécessaires ? Le personnage principal est une femme hypocrite, ambitieuse et sans scrupules : on assiste à son ascension au sommet de la société et à sa chute. Autour d'elle s'agite, dans une immense fresque, la "Foire aux Vanités". Quatrième de couverture Il s'agit de l'un des plus grands classiques du roman anglais. Le XIXᵉ siècle britannique est divisé entre Dickens et Thackeray comme le nôtre entre Balzac et Stendhal. Thackeray (1811-1863) est l'égal de Stendhal et La Foire aux Vanités (1848), son chef-d'oeuvre. Il y utilise un style humoristique ou ironiquement épique pour donner l'un des plus grands romans de satire sociale en langue anglaise. La thèse fondamentale du livre est que, dans la société occidentale, le seul moyen d'arriver, si l'on est sans naissance ni fortune, est de violer tous les principes moraux que la société fait semblant de respecter. La question qu'il pose donc est : qui faut-il blâmer, ces aventuriers, ou le système qui les rend nécessaires ? Le personnage principal est une femme hypocrite, ambitieuse et sans scrupules : on assiste à son ascension au sommet de la société et à sa chute. Autour d'elle s'agite, dans une immense fresque, la "Foire aux Vanités". Biographie de l'auteur William Makepeace Thackeray (1811, Calcutta - 1863, Londres) est l'un des romanciers britanniques les plus importants de l'époque victorienne. Connu pour ses oeuvres satiriques ayant pour cible la classe moyenne britannique, il est l'auteur, entre autres, des Mémoires de Barry Lyndon (adapté par Stanley Kubrick) et de Vanity Fair, l'un des romans-phares de la littérature anglaise. Sa capacité d'observation des comportements sociaux sert une satire des moeurs de la société britannique. Mais la morale que Thackeray cherche à tirer de ses observations ressemble étrangement à la morale catholique : "tout n'est que vanité". Thackeray prêche l'humilité, le travail sans en attendre de récompense, la tolérance, l'amour des autres... Tout cela s'intègre parfaitement à l'époque victorienne et y trouve un grand écho. Thackeray refuse de voir dans les individus qu'il observe des produits d'un système socio-politique. Il refuse tout autant, bloqué par son puritanisme, de parler des aspects sordides de l'existence humaine. C'est pour toutes ces raisons que Charles Dickens et lui furent opposés, autant dans leur oeuvre que dans leurs idées.
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