Fiche technique
- Titre : La Cerisaie
- Auteur : Tchekhov, Anton Pavlovitch
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 128
- Genre : Educational: First
- Date de publication : 04-09-1991
- Édition : Hachette
- Poids : 0.33 kg
- Dimensions : 10.9 x 0.6 x 17.9 cm
- ISBN-10 : 2010183746
- ISBN-13 : 9782070365210
Résumé
SONIA : Qu'y faire ! Nous devons vivre (un temps). Nous allons vivre, oncle Vania. Passer une longue suite de jours, de soirées interminables, supporter patiemment les épreuves que le sort nous réserve. Nous travaillerons pour les autres, maintenant et jusqu'à la mort, sans connaître de repos, et quand notre heure viendra, nous partirons sans murmure, et nous dirons dans l'autre monde que nous avons souffert, que nous avons été malheureux et Dieu aura pitié de nous. Et nous nous reposerons. " Ce modeste médecin à pince-nez, qui ne croyait ni à Dieu, ni à Diable, a cru tous les jours de sa vie que " l'homme est l'avenir de l'homme " Claude Roy.Quatrième de couvertureLa Cerisaie et Oncle Vania mettent en scène deux familles confrontées à la question de la vente des domaines qu'elles occupent. Héritiers d'un monde éteint, les personnages contemplent la certitude de leur déclin. Venus après la défaite, les aristocrates de La Cerisaie sont condamnés à demeurer dans un monde auquel ils n'ont plus part. Des anciens privilèges seigneuriaux, il ne reste que celui de hanter ces demeures vouées à la ruine. Comme l'inlassable Khrouchtchev (Le Sauvage), qui replante les arbres à mesure que les hommes les arrachent, les personnages de Tchékhov sont tenus de prolonger indéfiniment le délai qui les sépare de l'inévitable. Loin de démentir ces trois drames, la brièveté des neuf pièces en un acte qui les suivent confirme l'impossibilité d'abréger l'éternité.
Quatrième de couverture
La Cerisaie et Oncle Vania mettent en scène deux familles confrontées à la question de la vente des domaines qu'elles occupent. Héritiers d'un monde éteint, les personnages contemplent la certitude de leur déclin. Venus après la défaite, les aristocrates de La Cerisaie sont condamnés à demeurer dans un monde auquel ils n'ont plus part. Des anciens privilèges seigneuriaux, il ne reste que celui de hanter ces demeures vouées à la ruine. Comme l'inlassable Khrouchtchev (Le Sauvage), qui replante les arbres à mesure que les hommes les arrachent, les personnages de Tchékhov sont tenus de prolonger indéfiniment le délai qui les sépare de l'inévitable. Loin de démentir ces trois drames, la brièveté des neuf pièces en un acte qui les suivent confirme l'impossibilité d'abréger l'éternité.Biographie de l'auteurNé à Paris le 23 août 1923, Georges Poulot étudie l'art dramatique au Centre du spectacle de 1939 à 1946. Engagé à la Comédie-Française, il renonce pourtant au métier de comédien en 1950, devient alors lecteur au T.N.P. de Jean Vilar, puis pour le compte des Éditions Gallimard, où il se lie d'amitié avec les principaux membres de la N.R.F. Retiré en Bretagne, à Douarnenez, dès 1959, Georges Perros est mort le 24 janvier 1978 à Paris.
À propos de l'auteur
Tchekhov, Anton Pavlovitch
Né à Paris le 23 août 1923, Georges Poulot étudie l'art dramatique au Centre du spectacle de 1939 à 1946. Engagé à la Comédie-Française, il renonce pourtant au métier de comédien en 1950, devient alors lecteur au T.N.P. de Jean Vilar, puis pour le compte des Éditions Gallimard, où il se lie d'amitié avec les principaux membres de la N.R.F. Retiré en Bretagne, à Douarnenez, dès 1959, Georges Perros est mort le 24 janvier 1978 à Paris.
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