Fiche technique
- Titre : Chaque jour est un arbre qui tombe
- Auteur : Wittkop Gabrielle
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 192
- Genre : Romans
- Date de publication : 29-11-2007
- Édition : Folio
- Poids : 0.12 kg
- Dimensions : 10.8 x 1.2 x 17.8 cm
- ISBN-10 : 2070348466
- ISBN-13 : 9782070348466
Résumé
" Le dernier jour fut gris et rose, d'un gris d'ombre plate, d'un rose chancreux. L'année, minime fragment temporel, est maintenant éparpillée en un mouvement centrifuge d'étoile, en un motif qui ne peut être saisi que par la force de sa propre dispersion. 1 er janvier. Chaque jour est un arbre qui tombe. Comme si une voix m'avait éveillée par ces mots. Ma propre voix, celle qui clame clans les ivresses et chuchote clans les agonies. Chaque jour est un arbre qui tombe. Et j'ai vu le déclin du jour et la chute de l'arbre... " Ce journal imaginaire entremêle souvenirs d'enfance, d'amours, de voyages et réflexion sur le Temps. Dans cet autoportrait d'une individualité exceptionnelle, Gabrielle Wittkop dévoile une écriture dont la cruauté froide et luxueuse est à sa plus haute mesure.Quatrième de couverture"Le dernier jour fut gris et rose, d'un gris d'ombre plate, d'un rose chancreux. L'année, minime fragment temporel, est maintenant éparpillée en un mouvement centrifuge d'étoile, en un motif qui ne peut être saisi que par la force de sa propre dispersion. [...] 1ᵉʳ janvier. Chaque jour est un arbre qui tombe. Comme si une voix m'avait éveillée par ces mots. Ma propre voix, celle de mes plus secrètes cellules, celles des oracles et des rêves, celle qui clame dans les ivresses et chuchote dans les agonies. Chaque jour est un arbre qui tombe. Et j'ai vu le déclin du jour et la chute de l'arbre..." Ce journal imaginaire tenu par une femme, Hippolyte, entremêle souvenirs d'enfance, d'amours, de voyages (en Inde, dans les îles de Krakatoa, Sumatra ou Java) et réflexions sur le Temps. Autoportrait d'une individualité exceptionnelle dont l'existence se déploie entre la naissance et la mort - ces deux bornes qui la limitent et lui ouvrent paradoxalement l'espace infini d'une vie superbe et éphémère. La cruauté froide et luxueuse qui anime l'écriture de Gabrielle Wittkop est dans Chaque jour est un arbre qui tombe à sa plus haute mesure.
Quatrième de couverture
"Le dernier jour fut gris et rose, d'un gris d'ombre plate, d'un rose chancreux. L'année, minime fragment temporel, est maintenant éparpillée en un mouvement centrifuge d'étoile, en un motif qui ne peut être saisi que par la force de sa propre dispersion. [...] 1ᵉʳ janvier. Chaque jour est un arbre qui tombe. Comme si une voix m'avait éveillée par ces mots. Ma propre voix, celle de mes plus secrètes cellules, celles des oracles et des rêves, celle qui clame dans les ivresses et chuchote dans les agonies. Chaque jour est un arbre qui tombe. Et j'ai vu le déclin du jour et la chute de l'arbre..." Ce journal imaginaire tenu par une femme, Hippolyte, entremêle souvenirs d'enfance, d'amours, de voyages (en Inde, dans les îles de Krakatoa, Sumatra ou Java) et réflexions sur le Temps. Autoportrait d'une individualité exceptionnelle dont l'existence se déploie entre la naissance et la mort - ces deux bornes qui la limitent et lui ouvrent paradoxalement l'espace infini d'une vie superbe et éphémère. La cruauté froide et luxueuse qui anime l'écriture de Gabrielle Wittkop est dans Chaque jour est un arbre qui tombe à sa plus haute mesure.Biographie de l'auteurNée en 1920 à Nantes, Gabrielle Wittkop est l'auteur de nombreux récits, dont Le nécrophile, La mort de C., Sérénissime assassinat et La marchande d'enfants. Son style, riche et remarquable, fait d'elle la digne héritière de Lautréamont, d'Edgar Poe, mais aussi de Marcel Schwob. Sa mort en décembre 2002 à Francfort est à l'image même de sa vie : " J'ai voulu mourir comme j'ai vécu : en homme libre. "
À propos de l'auteur
Wittkop Gabrielle
Née en 1920 à Nantes, Gabrielle Wittkop est l'auteur de nombreux récits, dont Le nécrophile, La mort de C., Sérénissime assassinat et La marchande d'enfants. Son style, riche et remarquable, fait d'elle la digne héritière de Lautréamont, d'Edgar Poe, mais aussi de Marcel Schwob. Sa mort en décembre 2002 à Francfort est à l'image même de sa vie : " J'ai voulu mourir comme j'ai vécu : en homme libre. "
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