Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Bâtons, chiffres et lettres

Broché - FOLIO - 337 pages - Publication: 22 avril 1994

Queneau, Raymond (Auteur)

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur "Avant d'écrire, l'écrivain choisit, autant que possible, la langue dans laquelle il va rédiger ce qui lui semble nécessaire d'être dit. [...]Un problème se pose actuellement aux écrivains français, bien que la plupart d'entre eux ne s'en doutent même pas. En effet, il existe actuellement deux langues, celle qui continue à être enseignée (plus ou moins mal) dans les écoles et à être défendue (plutôt mal que bien) par des organismes officiels, comme l'Académie française, et la langue parlée, je ne dis même pas la langue populaire. Que le français actuel ne soit plus le même que celui des Académies, non pas seulement la française, déjà citée, mais celles entre lesquelles est partagé le territoire français pour la distribution de l'enseignement, c'est là une vérité élémentaire. Toute la question est de savoir jusqu'où va cette différence, et s'il la faut accentuer ou bien au contraire la réduire. [...]Il y a deux langues distinctes : l'une qui est le français qui, vers le XVᵉ siècle, a remplacé le "francien" (la traduction s'impose pour presque tous les textes avant Villon), l'autre, que l'on pourrait appeler le néo-français, qui n'existe pas encore et qui ne demande qu'à naître. Il est en gestation. Sa naissance n'est pas facile. [...]Le problème du néo-français est posé. Il n'est posé que depuis plusieurs années. L'accouchement sera laborieux. L'écrivain français doit aider à cette parturition, son travail, son oeuvre doit être une maïeutique linguistique." Quatrième de couverture "Avant d'écrire, l'écrivain choisit, autant que possible, la langue dans laquelle il va rédiger ce qui lui semble nécessaire d'être dit. [...]Un problème se pose actuellement aux écrivains français, bien que la plupart d'entre eux ne s'en doutent même pas. En effet, il existe actuellement deux langues, celle qui continue à être enseignée (plus ou moins mal) dans les écoles et à être défendue (plutôt mal que bien) par des organismes officiels, comme l'Académie française, et la langue parlée, je ne dis même pas la langue populaire. Que le français actuel ne soit plus le même que celui des Académies, non pas seulement la française, déjà citée, mais celles entre lesquelles est partagé le territoire français pour la distribution de l'enseignement, c'est là une vérité élémentaire. Toute la question est de savoir jusqu'où va cette différence, et s'il la faut accentuer ou bien au contraire la réduire. [...]Il y a deux langues distinctes : l'une qui est le français qui, vers le XVᵉ siècle, a remplacé le "francien" (la traduction s'impose pour presque tous les textes avant Villon), l'autre, que l'on pourrait appeler le néo-français, qui n'existe pas encore et qui ne demande qu'à naître. Il est en gestation. Sa naissance n'est pas facile. [...]Le problème du néo-français est posé. Il n'est posé que depuis plusieurs années. L'accouchement sera laborieux. L'écrivain français doit aider à cette parturition, son travail, son oeuvre doit être une maïeutique linguistique." Biographie de l'auteur Né au Havre le 21 février 1903, Raymond Queneau est romancier, poète, dramaturge et mathématicien. Il fait ses études au lycée du Havre puis à la faculté des Lettres de Paris. Après avoir fréquenté le groupe surréaliste, dont il subit l'influence, il entre en 1938 aux Éditions Gallimard où il est lecteur, traducteur de l'anglais puis membre du comité de lecture. Cofondateur de l'OuLiPo, membre de l'Académie Concourt à partir de 1951, il a également dirigé l'Encyclopédie de la Pléiade. Parmi ses nombreuses oeuvres, citons Exercices de style, Zazie dans le métro, Les Fleurs bleues. Il meurt à Paris le 25 octobre 1976.
Détails du livre
Auteur

Bâtons, chiffres et lettres

Broché - FOLIO - 337 pages - Publication: 22 avril 1994

Queneau, Raymond (Auteur)

État
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
Prix réduit8,69 €

Livraison

Livré entre : 1 octobre - 4 octobre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

427 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Le Pitch

Présentation de l'éditeur "Avant d'écrire, l'écrivain choisit, autant que possible, la langue dans laquelle il va rédiger ce qui lui semble nécessaire d'être dit. [...]Un problème se pose actuellement aux écrivains français, bien que la plupart d'entre eux ne s'en doutent même pas. En effet, il existe actuellement deux langues, celle qui continue à être enseignée (plus ou moins mal) dans les écoles et à être défendue (plutôt mal que bien) par des organismes officiels, comme l'Académie française, et la langue parlée, je ne dis même pas la langue populaire. Que le français actuel ne soit plus le même que celui des Académies, non pas seulement la française, déjà citée, mais celles entre lesquelles est partagé le territoire français pour la distribution de l'enseignement, c'est là une vérité élémentaire. Toute la question est de savoir jusqu'où va cette différence, et s'il la faut accentuer ou bien au contraire la réduire. [...]Il y a deux langues distinctes : l'une qui est le français qui, vers le XVᵉ siècle, a remplacé le "francien" (la traduction s'impose pour presque tous les textes avant Villon), l'autre, que l'on pourrait appeler le néo-français, qui n'existe pas encore et qui ne demande qu'à naître. Il est en gestation. Sa naissance n'est pas facile. [...]Le problème du néo-français est posé. Il n'est posé que depuis plusieurs années. L'accouchement sera laborieux. L'écrivain français doit aider à cette parturition, son travail, son oeuvre doit être une maïeutique linguistique." Quatrième de couverture "Avant d'écrire, l'écrivain choisit, autant que possible, la langue dans laquelle il va rédiger ce qui lui semble nécessaire d'être dit. [...]Un problème se pose actuellement aux écrivains français, bien que la plupart d'entre eux ne s'en doutent même pas. En effet, il existe actuellement deux langues, celle qui continue à être enseignée (plus ou moins mal) dans les écoles et à être défendue (plutôt mal que bien) par des organismes officiels, comme l'Académie française, et la langue parlée, je ne dis même pas la langue populaire. Que le français actuel ne soit plus le même que celui des Académies, non pas seulement la française, déjà citée, mais celles entre lesquelles est partagé le territoire français pour la distribution de l'enseignement, c'est là une vérité élémentaire. Toute la question est de savoir jusqu'où va cette différence, et s'il la faut accentuer ou bien au contraire la réduire. [...]Il y a deux langues distinctes : l'une qui est le français qui, vers le XVᵉ siècle, a remplacé le "francien" (la traduction s'impose pour presque tous les textes avant Villon), l'autre, que l'on pourrait appeler le néo-français, qui n'existe pas encore et qui ne demande qu'à naître. Il est en gestation. Sa naissance n'est pas facile. [...]Le problème du néo-français est posé. Il n'est posé que depuis plusieurs années. L'accouchement sera laborieux. L'écrivain français doit aider à cette parturition, son travail, son oeuvre doit être une maïeutique linguistique." Biographie de l'auteur Né au Havre le 21 février 1903, Raymond Queneau est romancier, poète, dramaturge et mathématicien. Il fait ses études au lycée du Havre puis à la faculté des Lettres de Paris. Après avoir fréquenté le groupe surréaliste, dont il subit l'influence, il entre en 1938 aux Éditions Gallimard où il est lecteur, traducteur de l'anglais puis membre du comité de lecture. Cofondateur de l'OuLiPo, membre de l'Académie Concourt à partir de 1951, il a également dirigé l'Encyclopédie de la Pléiade. Parmi ses nombreuses oeuvres, citons Exercices de style, Zazie dans le métro, Les Fleurs bleues. Il meurt à Paris le 25 octobre 1976.
Détails du livre
Auteur

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés