Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

François-Marie

Grand Format - GALLIMARD - 104 pages - Publication: 06 mai 2011

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur « Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s’est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s’invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l’évidence : tu es tellement plus intéressant qu’intéressé. On t’arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd’hui, tu as droit à tout. Certains t’implorent de restituer l’argent, d’autres t’en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c’est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t’en voudra toujours de faire ton Donald, d’avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n’as braqué personne mais c’est comme si et même pire Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s’est pas perdus ». Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie à François-Marie Banier. A contre-courant de tout ce qu’on a pu lire sur lui, l’auteur nous livre le portrait d’un homme qu’il connaît comme personne. Revue de presse « Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s’est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s’invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l’évidence : tu es tellement plus intéressant qu’intéressé. On t’arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd’hui, tu as droit à tout. Certains t’implorent de restituer l’argent, d’autres t’en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c’est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t’en voudra toujours de faire ton Donald, d’avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n’as braqué personne mais c’est comme si et même pire Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s’est pas perdus ». Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie à François-Marie Banier. A contre-courant de tout ce qu’on a pu lire sur lui, l’auteur nous livre le portrait d’un homme qu’il connaît comme personne. Quatrième de couverture "Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s'est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s'invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l'évidence : tu es tellement plus intéressant qu'intéressé. On t'arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd'hui, tu as droit à tout. Certains t'implorent de restituer l'argent, d'autres t'en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c'est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t'en voudra toujours de faire ton Donald, d'avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n'as braqué personne mais c'est comme si et même pire. Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s'est pas perdus." Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie avec François-Marie Banier. À contre-courant de tout ce qu'on a pu lire sur lui, l'auteur nous livre le portrait d'un homme qu'il connaît comme personne.
Détails du livre
Contenu
Auteur

François-Marie

Grand Format - GALLIMARD - 104 pages - Publication: 06 mai 2011

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur « Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s’est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s’invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l’évidence : tu es tellement plus intéressant qu’intéressé. On t’arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd’hui, tu as droit à tout. Certains t’implorent de restituer l’argent, d’autres t’en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c’est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t’en voudra toujours de faire ton Donald, d’avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n’as braqué personne mais c’est comme si et même pire Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s’est pas perdus ». Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie à François-Marie Banier. A contre-courant de tout ce qu’on a pu lire sur lui, l’auteur nous livre le portrait d’un homme qu’il connaît comme personne. Revue de presse « Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s’est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s’invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l’évidence : tu es tellement plus intéressant qu’intéressé. On t’arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd’hui, tu as droit à tout. Certains t’implorent de restituer l’argent, d’autres t’en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c’est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t’en voudra toujours de faire ton Donald, d’avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n’as braqué personne mais c’est comme si et même pire Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s’est pas perdus ». Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie à François-Marie Banier. A contre-courant de tout ce qu’on a pu lire sur lui, l’auteur nous livre le portrait d’un homme qu’il connaît comme personne. Quatrième de couverture "Personne ne sait et ne saura jamais ce qui s'est réellement passé entre toi et la vieille dame. Intéressé. Je retiens ce mot qui s'invite en permanence dans ta défense comme dans leurs attaques. Chacun semble ignorer l'évidence : tu es tellement plus intéressant qu'intéressé. On t'arrête dans la rue, on te reconnaît facilement aujourd'hui, tu as droit à tout. Certains t'implorent de restituer l'argent, d'autres t'en réclament. Tu mérites la prison sinon le purgatoire puisque, c'est bien connu, tu vis au paradis. La toile, quand ce ne sont plus les journaux papier, se déchaîne contre toi. On t'en voudra toujours de faire ton Donald, d'avoir attaqué la première fortune de France sans arme ni violence, tel un gros poussin avec une mitraillette en plastoc. Tu n'as braqué personne mais c'est comme si et même pire. Cela finira bien par finir. Et tu ne perdras pas, François-Marie, comme on ne s'est pas perdus." Jean-Marc Roberts revient sur la longue amitié qui le lie avec François-Marie Banier. À contre-courant de tout ce qu'on a pu lire sur lui, l'auteur nous livre le portrait d'un homme qu'il connaît comme personne.
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