Résumé
Longtemps après la création de cette chanson, des générations se sont succédé pour reprendre en chœur la pochade d'Ouvrard, le comique troupier qui faisait rimer, de la façon la plus radicale, les mots avec les maux ; et, à leur insu, les rieurs y entendent une vérité qui les concerne tous. Elle a été énoncée il y a plus d'un siècle par Sigmund Freud : les maux sont un langage, ils se déchiffrent, le corps parle et bien souvent ce qui ne peut se dire en mots s'exprime par un dysfonctionnement physique, comme l'a d'ailleurs reconnu depuis longtemps la sagesse populaire. S'il est un domaine où les maux sont mis en mots et les mots heureusement mis à mal, c'est bien la littérature. Voilà pourquoi il était tentant de proposer un tel thème aux dix-huit auteurs qui participent à ce recueil. Maux d'amour, transformations corporelles, inflammations en tous genres, c'est à un voyage original que nous invitent ces plumes légères, parfois trempées dans le miel, souvent dans le fiel.Quatrième de couverturePauvres humains, encombrés d'une anatomie toujours prête à défaillir ! Ah ! Si comme les animaux nous étions un corps, n'obéissant qu'à l'instinct, les choses seraient tellement plus simples ! Mais nous avons un corps et cet avoir, qui ne prospère pas toujours dans le bon sens, nous pèse bien souvent. Ah Bon Dieu qu'c'est embêtant D'être toujours patraque Ah Bon Dieu qu'c'est embêtant Je n'suis pas bien portant... Longtemps après la création de cette chanson, des générations se sont succédé pour reprendre en choeur la pochade d'Ouvrard, le comique troupier qui faisait rimer, de la façon la plus radicale, les mots avec les maux ; et, à leur insu, les rieurs y entendent une vérité qui les concerne tous. Elle a été énoncée il y a plus d'un siècle par Sigmund Freud : les maux sont un langage, ils se déchiffrent, le corps parle et bien souvent ce qui ne peut se dire en mots s'exprime par un dysfonctionnement physique, comme l'a d'ailleurs reconnu depuis longtemps la sagesse populaire. S'il est un domaine où les maux sont mis en mots et les mots heureusement mis à mal, c'est bien la littérature. Voilà pourquoi il était tentant de proposer un tel thème aux dix-huit auteurs qui participent à ce recueil. Maux d'amour, transformations corporelles, inflammations en tous genres, c'est à un voyage original que nous invitent ces plumes légères, parfois trempées dans le miel, souvent dans le fiel.
Quatrième de couverture
Pauvres humains, encombrés d'une anatomie toujours prête à défaillir ! Ah ! Si comme les animaux nous étions un corps, n'obéissant qu'à l'instinct, les choses seraient tellement plus simples ! Mais nous avons un corps et cet avoir, qui ne prospère pas toujours dans le bon sens, nous pèse bien souvent. Ah Bon Dieu qu'c'est embêtant D'être toujours patraque Ah Bon Dieu qu'c'est embêtant Je n'suis pas bien portant... Longtemps après la création de cette chanson, des générations se sont succédé pour reprendre en choeur la pochade d'Ouvrard, le comique troupier qui faisait rimer, de la façon la plus radicale, les mots avec les maux ; et, à leur insu, les rieurs y entendent une vérité qui les concerne tous. Elle a été énoncée il y a plus d'un siècle par Sigmund Freud : les maux sont un langage, ils se déchiffrent, le corps parle et bien souvent ce qui ne peut se dire en mots s'exprime par un dysfonctionnement physique, comme l'a d'ailleurs reconnu depuis longtemps la sagesse populaire. S'il est un domaine où les maux sont mis en mots et les mots heureusement mis à mal, c'est bien la littérature. Voilà pourquoi il était tentant de proposer un tel thème aux dix-huit auteurs qui participent à ce recueil. Maux d'amour, transformations corporelles, inflammations en tous genres, c'est à un voyage original que nous invitent ces plumes légères, parfois trempées dans le miel, souvent dans le fiel.Biographie de l'auteurDelphine de Vigan a publié en 2001 Jours sans faim, son premier roman, sous pseudonyme. Elle est l'auteur des Jolis garçons, d'Un soir de décembre, de No et moi (prix des Libraires 2008) et des Heures souterraines. Jours sans faim apparaît aujourd'hui comme un chapitre en creux de Rien ne s'oppose à la nuit, immense succès de la rentrée 2011.Martin Page est né en 1975. Il passe sa jeunesse en banlieue sud et vit aujourd'hui dans le quartier de Château-Rouge à Paris. Avant la publication de son premier roman, il se promène quelques années à l'Université. Étudiant dilettante, il change de discipline chaque année : droit, psychologie, linguistique, philosophie, sociologie, histoire de l'art et anthropologie. Il a été gardien de nuit et homme de ménage sur des festivals ; a travaillé comme surveillant dans des collèges et lycées. Il a une vie sans histoires qui lui laisse le loisir de composer des romans. Il lui arrive d'écrire des préfaces : Traité des excitants modernes, de Balzac ;L'Âme humaine, d'Oscar Wilde ;Paris Vertical, de Horst Hamann. Il aime la pluie, marcher dans Paris, le cinéma, le jazz, faire la cuisine, Woody Allen. Ses écrivains préférés sont William Shakespeare, Dorothy Parker, Fedor Dostoïevski, Graham Greene, Paul Nizan, Haruki Murakami, Anton Tchékov, Oscar Wilde, Carson Mccullers, Italo Calvino, David Goodis, Romain Gary, Jack London, Jane Austen, J.D. Salinger, Balthasar Gracian, Dennis Lehane, Roald Dahl, Francis Scott Fitzgerald, Vivant Denon.
À propos de l'auteur
Germain,Sylvie
Delphine de Vigan a publié en 2001 Jours sans faim, son premier roman, sous pseudonyme. Elle est l'auteur des Jolis garçons, d'Un soir de décembre, de No et moi (prix des Libraires 2008) et des Heures souterraines. Jours sans faim apparaît aujourd'hui comme un chapitre en creux de Rien ne s'oppose à la nuit, immense succès de la rentrée 2011.Martin Page est né en 1975. Il passe sa jeunesse en banlieue sud et vit aujourd'hui dans le quartier de Château-Rouge à Paris. Avant la publication de son premier roman, il se promène quelques années à l'Université. Étudiant dilettante, il change de discipline chaque année : droit, psychologie, linguistique, philosophie, sociologie, histoire de l'art et anthropologie. Il a été gardien de nuit et homme de ménage sur des festivals ; a travaillé comme surveillant dans des collèges et lycées. Il a une vie sans histoires qui lui laisse le loisir de composer des romans. Il lui arrive d'écrire des préfaces : Traité des excitants modernes, de Balzac ;L'Âme humaine, d'Oscar Wilde ;Paris Vertical, de Horst Hamann. Il aime la pluie, marcher dans Paris, le cinéma, le jazz, faire la cuisine, Woody Allen. Ses écrivains préférés sont William Shakespeare, Dorothy Parker, Fedor Dostoïevski, Graham Greene, Paul Nizan, Haruki Murakami, Anton Tchékov, Oscar Wilde, Carson Mccullers, Italo Calvino, David Goodis, Romain Gary, Jack London, Jane Austen, J.D. Salinger, Balthasar Gracian, Dennis Lehane, Roald Dahl, Francis Scott Fitzgerald, Vivant Denon.
Fiche technique
- Titre : Mots pour maux
- Auteur : Germain,Sylvie
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 304
- Genre : Romans
- Date de publication : 16-10-2008
- Édition : Gallimard
- Poids : 0.31 kg
- Dimensions : 13.999972 x 1.999996 x 20.499959 cm
- ISBN-10 : 2070123057
- ISBN-13 : 9782070123056
Informations supplémentaires
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