Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Conteurs italiens de la Renaissance

Cuir - GALLIMARD - 2032 pages - Publication: 23 avril 1993

Collectifs (Auteur), Mazzacurati, Giancarlo (Préface), Motte-Gillet, Anne (Edition)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

En bref

Contient notamment des oeuvres de Leon Battista Alberti, L'Arétin, Sabadino Degli Arienti, Cristoforo Armeno, Matteo Bandello, Saint Bernadin de Sienne, Baldesar Castiglione, Giraldi Cinzio, Antonio Cornazzano, Tommasso Costo, Luigi Da Porto, Gherardi Da Prato, Ascanio Dei Mori, Anton Francesco Doni, Sebastiano Erizzo, Agnolo Firenzuola, Giovanni Forteguerri, Pietro Fortini, Anton Francesco Grazzini, Masuccio Guardati, Ortensio Lando, Laurent de Médicis, Léonard de Vinci, Machiavel, Antonio Manetti, Francesco Maria Molza, Girolamo Morlini, Giustiniano Nelli, Girolamo Parabosco, Gentile Sermini, Giovanfrancesco Straparola et Piero Veneziano. Préface traduite par Georges Kempf,

Présentation

Si la Divine Comédie fut plus admiree qu'imitée, il n'en alla pas de même pour l'"humaine comédie" que fut le Decaméron. Durant plus de deux siècles le recueil de Boccace devint un archétype, donnant à la nouvelle un rôle privilégiédans la fondation de la jeune littérature italienne en prose. Quelques-uns de ces "conteurs" sont restés célèbres : Alberti, Laurent de Médicis, Vinci, l'Arétin, Castiglione, Machiavel. Mais d'autres ne sont pas sortis de l'anonymat ou sont tombés dans l'oubli. Tous cependant furent lus, traduits et souvent plagiés, constituant ainsi pour les littératures européennes une source inépuisable de trames qui furent reprises par les plus grands auteurs. On n'en citera qu'un seul : Shakespeare. Ces récits brefs se veulent des précipités d'expérience : épisodes surprenants et passions indicibles s'y inscrivent paradoxalement dans la quotidienneté. Au détour d'un bon mot, lelecteur cueille l'expression d'un type humain dans une réduction de l'histoire qui contracte le sens, comme la maxime qui opère contre la logique linéaire d'un traité démonstratif. En fait, ces textes - qui prennent corps dans un incessant va-et-vient entre la transcription d'unelibre parole et la rigoureuse élaboration de la construction littéraire - témoignent de la tension entre l'oralité et l'écriture aux premiers temps de l'imprimerie. Car ce n'est pas la mesure et les proportions harmonieuses recherchées par la nouvelle perspective du Quattrocento qui émergent de ces contes et de ces nouvelles, mais bien la variété et le mouvement. Pour plaire et divertir, il faut surprendre,quand bien même l'arrière-pays témoigne d'un monde bouleversé par le déclin de la civilisation communale et par les guerres d'Italie.
Détails du livre
Auteur

Conteurs italiens de la Renaissance

Cuir - GALLIMARD - 2032 pages - Publication: 23 avril 1993

Collectifs (Auteur), Mazzacurati, Giancarlo (Préface), Motte-Gillet, Anne (Edition)

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Le Pitch

En bref

Contient notamment des oeuvres de Leon Battista Alberti, L'Arétin, Sabadino Degli Arienti, Cristoforo Armeno, Matteo Bandello, Saint Bernadin de Sienne, Baldesar Castiglione, Giraldi Cinzio, Antonio Cornazzano, Tommasso Costo, Luigi Da Porto, Gherardi Da Prato, Ascanio Dei Mori, Anton Francesco Doni, Sebastiano Erizzo, Agnolo Firenzuola, Giovanni Forteguerri, Pietro Fortini, Anton Francesco Grazzini, Masuccio Guardati, Ortensio Lando, Laurent de Médicis, Léonard de Vinci, Machiavel, Antonio Manetti, Francesco Maria Molza, Girolamo Morlini, Giustiniano Nelli, Girolamo Parabosco, Gentile Sermini, Giovanfrancesco Straparola et Piero Veneziano. Préface traduite par Georges Kempf,

Présentation

Si la Divine Comédie fut plus admiree qu'imitée, il n'en alla pas de même pour l'"humaine comédie" que fut le Decaméron. Durant plus de deux siècles le recueil de Boccace devint un archétype, donnant à la nouvelle un rôle privilégiédans la fondation de la jeune littérature italienne en prose. Quelques-uns de ces "conteurs" sont restés célèbres : Alberti, Laurent de Médicis, Vinci, l'Arétin, Castiglione, Machiavel. Mais d'autres ne sont pas sortis de l'anonymat ou sont tombés dans l'oubli. Tous cependant furent lus, traduits et souvent plagiés, constituant ainsi pour les littératures européennes une source inépuisable de trames qui furent reprises par les plus grands auteurs. On n'en citera qu'un seul : Shakespeare. Ces récits brefs se veulent des précipités d'expérience : épisodes surprenants et passions indicibles s'y inscrivent paradoxalement dans la quotidienneté. Au détour d'un bon mot, lelecteur cueille l'expression d'un type humain dans une réduction de l'histoire qui contracte le sens, comme la maxime qui opère contre la logique linéaire d'un traité démonstratif. En fait, ces textes - qui prennent corps dans un incessant va-et-vient entre la transcription d'unelibre parole et la rigoureuse élaboration de la construction littéraire - témoignent de la tension entre l'oralité et l'écriture aux premiers temps de l'imprimerie. Car ce n'est pas la mesure et les proportions harmonieuses recherchées par la nouvelle perspective du Quattrocento qui émergent de ces contes et de ces nouvelles, mais bien la variété et le mouvement. Pour plaire et divertir, il faut surprendre,quand bien même l'arrière-pays témoigne d'un monde bouleversé par le déclin de la civilisation communale et par les guerres d'Italie.
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