Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La philosophie dans votre poche

Broché - LAROUSSE - 96 pages - Publication: 27 mars 2013

Soumet, Hélène (Auteur)

Audience
Scolaire - Lycée

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Une synthèse passionnante et rigoureuse sur toutes les grandes notions de philosophie pour réviser l'épreuve du baccalauréat et enrichir sa culture générale. Pour tout savoir sur : ° le sujet ° la conscience ° la culture ° la morale ° la raison et le réel Des informations claires et faciles à retenir : ° une définition approfondie ° un rappel des problématiques essentielles ° une synthèse des débats philosophiques ° un rappel problématisé des thèses des grands penseurs Extrait LE SUJET Sujet, subjectum, signifie «ce qui se tient dessous». Le sujet est donc une substance qui résisterait aux changements. Mais cette substance est aussi en constante évolution : comme le disait Montaigne, «je est multiple». Peut-on alors parler, du coup, d'unicité du sujet ? De plus, est-il possible de remettre en question l'idée de sujet sans détériorer nos valeurs ? Y aurait-il une morale et une démocratie sans sujet libre et responsable ? Sujet ou objet ? Le sujet s'oppose à l'objet Face à l'objet qui est pure passivité, le sujet apparaît comme un être libre et responsable. Pour autant, le sujet ne doit pas oublier son statut de sujet et se prendre pour un objet, tel Narcisse qui, trop admiratif de son reflet dans l'eau, finit par se transformer en végétal. Il faut donc être vigilant à préférer le «je» (qui agit avec une intention bonne), comme le préconise Descartes dans le Traité des passions, au «moi» qui, comme l'affirme Pascal, est haïssable en ce qu'il transforme le sujet en objet. L'expérience fondatrice du sujet Un sujet agit par lui-même et se considère comme identique à soi malgré les changements. Comment justifier cette identité : par la mémoire ? Par le corps ? Non, mais plutôt par le fait de se savoir être la même personne. Pour saisir cette certitude, Descartes préconise l'expérience du cogito : «je pense, donc je suis». Même si je me trompe, il est certain que je pense : c'est une certitude fondatrice. Le produit de déterminations extérieures ? Un sujet replié sur lui-même ? A force de faire reposer sa conscience d'être un sujet dans la certitude du cogito, le sujet ne risque-t-il pas, à l'image de la «belle âme» décrite par Hegel comme enfermée dans sa tour d'ivoire, de se couper du monde et de tomber dans l'hypersubjectivité ? Le sujet moins libre qu'il n'y paraît L'observation de l'histoire révèle que nos idées n'ont pas toujours leur origine en nous. Il en est ainsi, par exemple, de la disparition de l'esclavage, qui n'est pas seulement le résultat du cheminement d'idées nobles, mais qui est due en grande partie au processus de mécanisation aboutissante remplacer les hommes par des machines. Les conditions de production déterminent donc nos idées, comme le suggère Marx. (...) Biographie de l'auteur Hélène Soumet est professeure certifiée de philosophie.
Détails du livre
Auteur

La philosophie dans votre poche

Broché - LAROUSSE - 96 pages - Publication: 27 mars 2013

Soumet, Hélène (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Une synthèse passionnante et rigoureuse sur toutes les grandes notions de philosophie pour réviser l'épreuve du baccalauréat et enrichir sa culture générale. Pour tout savoir sur : ° le sujet ° la conscience ° la culture ° la morale ° la raison et le réel Des informations claires et faciles à retenir : ° une définition approfondie ° un rappel des problématiques essentielles ° une synthèse des débats philosophiques ° un rappel problématisé des thèses des grands penseurs Extrait LE SUJET Sujet, subjectum, signifie «ce qui se tient dessous». Le sujet est donc une substance qui résisterait aux changements. Mais cette substance est aussi en constante évolution : comme le disait Montaigne, «je est multiple». Peut-on alors parler, du coup, d'unicité du sujet ? De plus, est-il possible de remettre en question l'idée de sujet sans détériorer nos valeurs ? Y aurait-il une morale et une démocratie sans sujet libre et responsable ? Sujet ou objet ? Le sujet s'oppose à l'objet Face à l'objet qui est pure passivité, le sujet apparaît comme un être libre et responsable. Pour autant, le sujet ne doit pas oublier son statut de sujet et se prendre pour un objet, tel Narcisse qui, trop admiratif de son reflet dans l'eau, finit par se transformer en végétal. Il faut donc être vigilant à préférer le «je» (qui agit avec une intention bonne), comme le préconise Descartes dans le Traité des passions, au «moi» qui, comme l'affirme Pascal, est haïssable en ce qu'il transforme le sujet en objet. L'expérience fondatrice du sujet Un sujet agit par lui-même et se considère comme identique à soi malgré les changements. Comment justifier cette identité : par la mémoire ? Par le corps ? Non, mais plutôt par le fait de se savoir être la même personne. Pour saisir cette certitude, Descartes préconise l'expérience du cogito : «je pense, donc je suis». Même si je me trompe, il est certain que je pense : c'est une certitude fondatrice. Le produit de déterminations extérieures ? Un sujet replié sur lui-même ? A force de faire reposer sa conscience d'être un sujet dans la certitude du cogito, le sujet ne risque-t-il pas, à l'image de la «belle âme» décrite par Hegel comme enfermée dans sa tour d'ivoire, de se couper du monde et de tomber dans l'hypersubjectivité ? Le sujet moins libre qu'il n'y paraît L'observation de l'histoire révèle que nos idées n'ont pas toujours leur origine en nous. Il en est ainsi, par exemple, de la disparition de l'esclavage, qui n'est pas seulement le résultat du cheminement d'idées nobles, mais qui est due en grande partie au processus de mécanisation aboutissante remplacer les hommes par des machines. Les conditions de production déterminent donc nos idées, comme le suggère Marx. (...) Biographie de l'auteur Hélène Soumet est professeure certifiée de philosophie.
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