Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La peau de chagrin

Poche - Larousse - 160 pages - Publication: 24 août 2011

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Sur fond de récit fantastique, La Peau de chagrin raconte l'histoire d'un jeune homme pauvre, idéaliste et désespéré qui a signé un pacte avec une puissance maléfique. Comment échapper à son destin désormais ? Ni la richesse ni l'amour ne sauveront Raphaël, marquis de Valentin, d'une mort programmée. C'est avec réalisme que Balzac, sur les traces du héros, met en scène la société parisienne de 1830. Extrait I. Le talisman Épisode 1 Vers la fin du mois d'octobre 1830, un jeune homme au «sourire amer» entre dans une maison de jeu, à Paris. Après avoir joué et perdu sa dernière pièce d'or, il décide de se jeter dans la Seine aussitôt que la nuit sera tombée. En attendant le moment fatal, il erre dans Paris «d'un pas mélancolique» puis finit par entrer dans un magasin d'antiquités où sont accumulés objets, meubles, livres et oeuvres d'art. Tout à coup une voix terrible l'appelle ; «une espèce de fantôme» fait irruption devant lui : «Il ne l'avait entendu ni venir, ni parler ni se mouvoir.» Figurez-vous un petit vieillard sec et maigre, vêtu d'une robe en velours noir, serrée autour de ses reins par un gros cordon de soie. Sur sa tête, une calotte en velours également noir laissait passer, de chaque côté de la figure, les longues mèches de ses cheveux blancs et s'appliquait sur le crâne de manière à rigidement encadrer le front. La robe ensevelissait le corps comme dans un vaste linceul, et ne permettait de voir d'autre forme humaine qu'un visage étroit et pâle. Sans le bras décharné, qui ressemblait à un bâton sur lequel on aurait posé une étoffe et que le vieillard tenait en l'air pour faire porter sur le jeune homme toute la clarté de la lampe, ce visage aurait paru suspendu dans les airs. Une barbe grise et taillée en pointe cachait le menton de cet être bizarre, et lui donnait l'apparence de ces têtes judaïques qui servent de types aux artistes quand ils veulent représenter Moïse. Les lèvres de cet homme étaient si décolorées, si minces, qu'il fallait une attention particulière pour deviner la ligne tracée par la bouche dans son blanc visage. Son large front ridé, ses joues blêmes et creuses, la rigueur implacable de ses petits yeux verts, dénués de cils et de sourcils, pouvaient faire croire à l'inconnu que Le Peseur d'or de Gérard Dow était sorti de son cadre. Une finesse d'inquisiteur, trahie par les sinuosités de ses rides et par les plis circulaires dessinés sur ses tempes, accusait une science profonde des choses de la vie. Il était impossible de tromper cet homme qui semblait avoir le don de surprendre les pensées au fond des coeurs les plus discrets. Les moeurs de toutes les nations du globe et leurs sagesses se résumaient sur sa face froide, comme les productions du monde entier se trouvaient accumulées dans ses magasins poudreux ; vous y auriez lu la tranquillité lucide d'un Dieu qui voit tout, ou la force orgueilleuse d'un homme qui a tout vu. Biographie de l'auteur 1799 - 1850. Il est l'auteur de la Comédie humaine, qui, à partir de 1842, rassembla en plusieurs séries des romans formant une fresque de la société française de la Révolution à la fin de la monarchie de Juillet. Plus de 2 000 personnages composent une société hantée par le pouvoir de l'argent et de la presse, livrée à des passions dévorantes, et que décrivent ces 90 romans classés en Études de moeurs, Études philosophiques et Études analytiques. Les principaux sont : Gobseck (1830), la Peau de chagrin (1831), le Colonel Chabert (1832), le Médecin de campagne et Eugénie Grandet (1833), le Père Goriot (1834 - 1835), la Recherche de l'absolu (1834), le Lys dans la vallée (1835), César Birotteau (1837), Illusions perdues (1837 - 1843), Splendeurs et misères des courtisanes (1838 - 1847), la Rabouilleuse (1842), les Paysans (1844), la Cousine Bette (1846), le Cousin Pons (1847). On doit également à Balzac des contes (Contes drolatiques, 1832 - 1837) et des pièces de théâtre (le Faiseur, éd. posth
Détails du livre
Auteur

La peau de chagrin

Poche - Larousse - 160 pages - Publication: 24 août 2011

État
 
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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Sur fond de récit fantastique, La Peau de chagrin raconte l'histoire d'un jeune homme pauvre, idéaliste et désespéré qui a signé un pacte avec une puissance maléfique. Comment échapper à son destin désormais ? Ni la richesse ni l'amour ne sauveront Raphaël, marquis de Valentin, d'une mort programmée. C'est avec réalisme que Balzac, sur les traces du héros, met en scène la société parisienne de 1830. Extrait I. Le talisman Épisode 1 Vers la fin du mois d'octobre 1830, un jeune homme au «sourire amer» entre dans une maison de jeu, à Paris. Après avoir joué et perdu sa dernière pièce d'or, il décide de se jeter dans la Seine aussitôt que la nuit sera tombée. En attendant le moment fatal, il erre dans Paris «d'un pas mélancolique» puis finit par entrer dans un magasin d'antiquités où sont accumulés objets, meubles, livres et oeuvres d'art. Tout à coup une voix terrible l'appelle ; «une espèce de fantôme» fait irruption devant lui : «Il ne l'avait entendu ni venir, ni parler ni se mouvoir.» Figurez-vous un petit vieillard sec et maigre, vêtu d'une robe en velours noir, serrée autour de ses reins par un gros cordon de soie. Sur sa tête, une calotte en velours également noir laissait passer, de chaque côté de la figure, les longues mèches de ses cheveux blancs et s'appliquait sur le crâne de manière à rigidement encadrer le front. La robe ensevelissait le corps comme dans un vaste linceul, et ne permettait de voir d'autre forme humaine qu'un visage étroit et pâle. Sans le bras décharné, qui ressemblait à un bâton sur lequel on aurait posé une étoffe et que le vieillard tenait en l'air pour faire porter sur le jeune homme toute la clarté de la lampe, ce visage aurait paru suspendu dans les airs. Une barbe grise et taillée en pointe cachait le menton de cet être bizarre, et lui donnait l'apparence de ces têtes judaïques qui servent de types aux artistes quand ils veulent représenter Moïse. Les lèvres de cet homme étaient si décolorées, si minces, qu'il fallait une attention particulière pour deviner la ligne tracée par la bouche dans son blanc visage. Son large front ridé, ses joues blêmes et creuses, la rigueur implacable de ses petits yeux verts, dénués de cils et de sourcils, pouvaient faire croire à l'inconnu que Le Peseur d'or de Gérard Dow était sorti de son cadre. Une finesse d'inquisiteur, trahie par les sinuosités de ses rides et par les plis circulaires dessinés sur ses tempes, accusait une science profonde des choses de la vie. Il était impossible de tromper cet homme qui semblait avoir le don de surprendre les pensées au fond des coeurs les plus discrets. Les moeurs de toutes les nations du globe et leurs sagesses se résumaient sur sa face froide, comme les productions du monde entier se trouvaient accumulées dans ses magasins poudreux ; vous y auriez lu la tranquillité lucide d'un Dieu qui voit tout, ou la force orgueilleuse d'un homme qui a tout vu. Biographie de l'auteur 1799 - 1850. Il est l'auteur de la Comédie humaine, qui, à partir de 1842, rassembla en plusieurs séries des romans formant une fresque de la société française de la Révolution à la fin de la monarchie de Juillet. Plus de 2 000 personnages composent une société hantée par le pouvoir de l'argent et de la presse, livrée à des passions dévorantes, et que décrivent ces 90 romans classés en Études de moeurs, Études philosophiques et Études analytiques. Les principaux sont : Gobseck (1830), la Peau de chagrin (1831), le Colonel Chabert (1832), le Médecin de campagne et Eugénie Grandet (1833), le Père Goriot (1834 - 1835), la Recherche de l'absolu (1834), le Lys dans la vallée (1835), César Birotteau (1837), Illusions perdues (1837 - 1843), Splendeurs et misères des courtisanes (1838 - 1847), la Rabouilleuse (1842), les Paysans (1844), la Cousine Bette (1846), le Cousin Pons (1847). On doit également à Balzac des contes (Contes drolatiques, 1832 - 1837) et des pièces de théâtre (le Faiseur, éd. posth
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