Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Petit Larousse des symboles

Relié - Larousse - 450 pages - Publication: 27 septembre 2006

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Pourquoi la pomme est-elle le symbole du désir et d'une grande marque informatique ? Pourquoi le noir est-il synonyme à la fois de deuil et d'élégance ? Ce dictionnaire se propose de présenter par ordre alphabétique près de 900 symboles issus des grandes civilisations méditerranéennes et du monde judéo-chrétien. D'abeille à zodiaque, de feu à lis, de barbe à sorcière, de rouge à vin, 900 notices présentent et expliquent le symbole, par la mythologie, les textes bibliques, les traditions populaires, l'anthropologie, l'histoire, la politique,... Un ouvrage de référence qui est un voyage à travers les civilisations du passé, les religions, la mythologie, l'histoire mais aussi le décryptage du présent. Extrait Extrait de l'introduction de Robert Olorenshaw Nanon Gardin : Le mot «symbole» nous vient du verbe grec sumballein, composé du préfixe sun qui signifie «avec» et du verbe ballein qui veut dire «jeter». Symboliser, c'est donc «jeter» au moins deux choses ensemble pour qu'elles forment une unité homogène. La première est une qualité abstraite, comme l'honneur, le sacrifice, l'éternité ou l'amour. La seconde est une chose matérielle ou une représentation figurative. La métaphore et l'analogie, comme le symbole, rapprochent un minimum de deux choses, mais, à rencontre du symbole, elles demeurent restreintes au plan du dis­cours. De même, l'allégorie et la parabole, bien qu'elles puissent se servir de symboles, sont limitées au récit. Dans ces cas, les objets et leur sens, au niveau de la perception, restent distincts. Le sens peut s'illustrer dans une analogie ou une métaphore, mais il n'en reste pas moins indépendant. Si, en utilisant une ana­logie, je dis que «la guerre est comme une partie d'échecs», je m'appuie sur une comparaison, qui peut être originale, pour illustrer un sens dont le jeu d'échecs est indépendant. En employant une métaphore, je pourrais dire que «la guerre est une partie d'échecs», mais le destinataire de mon message devra savoir distin­guer la guerre d'un jeu. Dans le symbole, sens et matérialisation restent inextricables. Les symboles mathématiques +, - et x ne peuvent être séparés de la signification des opérations d'addition, de soustraction et de multiplication. Toutefois, il n'y a rien de «naturel» dans un tel processus symbolique, dans ce «jeté ensemble». Les symboles mathématiques auraient pu signifier leur contraire. Que le symbole + signifie l'addition est une convention. Le lion peut symboliser la noblesse, et le tigre, la fourberie. Dans la nature pourtant, te lion n'est pas plus noble que le tigre, et le tigre n'est pas plus fourbe que le lion. Aucun zoologiste n'utiliserait des descriptions aussi anthropomorphiques. Culturellement, les deux fauves sont investis de qualités abstraites, et c'est cet investissement culturel qui est producteur de symboles. Les objets par eux-mêmes, dans la communication non verbale, peuvent avoir valeur de symbole. Une douzaine de roses rouges qui poussent dans un jardin ne symbolisent pas l'amour. Cueillies, liées en bouquet et offertes par un homme à une femme, les mêmes fleurs symbolisent l'affection et l'attachement, mais seulement en raison d'une convention préalable que l'homme ne cherche pas à modifier et que la femme reconnaît. Personne ne peut inventer un symbole et lui imposer un sens. Biographie de l'auteur Nanon Gardin est spécialiste de de l'histoire de l'art et de la mythologie Robert Olorenshaw est historien et sémiologue.
Détails du livre

Petit Larousse des symboles

Relié - Larousse - 450 pages - Publication: 27 septembre 2006

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Pourquoi la pomme est-elle le symbole du désir et d'une grande marque informatique ? Pourquoi le noir est-il synonyme à la fois de deuil et d'élégance ? Ce dictionnaire se propose de présenter par ordre alphabétique près de 900 symboles issus des grandes civilisations méditerranéennes et du monde judéo-chrétien. D'abeille à zodiaque, de feu à lis, de barbe à sorcière, de rouge à vin, 900 notices présentent et expliquent le symbole, par la mythologie, les textes bibliques, les traditions populaires, l'anthropologie, l'histoire, la politique,... Un ouvrage de référence qui est un voyage à travers les civilisations du passé, les religions, la mythologie, l'histoire mais aussi le décryptage du présent. Extrait Extrait de l'introduction de Robert Olorenshaw Nanon Gardin : Le mot «symbole» nous vient du verbe grec sumballein, composé du préfixe sun qui signifie «avec» et du verbe ballein qui veut dire «jeter». Symboliser, c'est donc «jeter» au moins deux choses ensemble pour qu'elles forment une unité homogène. La première est une qualité abstraite, comme l'honneur, le sacrifice, l'éternité ou l'amour. La seconde est une chose matérielle ou une représentation figurative. La métaphore et l'analogie, comme le symbole, rapprochent un minimum de deux choses, mais, à rencontre du symbole, elles demeurent restreintes au plan du dis­cours. De même, l'allégorie et la parabole, bien qu'elles puissent se servir de symboles, sont limitées au récit. Dans ces cas, les objets et leur sens, au niveau de la perception, restent distincts. Le sens peut s'illustrer dans une analogie ou une métaphore, mais il n'en reste pas moins indépendant. Si, en utilisant une ana­logie, je dis que «la guerre est comme une partie d'échecs», je m'appuie sur une comparaison, qui peut être originale, pour illustrer un sens dont le jeu d'échecs est indépendant. En employant une métaphore, je pourrais dire que «la guerre est une partie d'échecs», mais le destinataire de mon message devra savoir distin­guer la guerre d'un jeu. Dans le symbole, sens et matérialisation restent inextricables. Les symboles mathématiques +, - et x ne peuvent être séparés de la signification des opérations d'addition, de soustraction et de multiplication. Toutefois, il n'y a rien de «naturel» dans un tel processus symbolique, dans ce «jeté ensemble». Les symboles mathématiques auraient pu signifier leur contraire. Que le symbole + signifie l'addition est une convention. Le lion peut symboliser la noblesse, et le tigre, la fourberie. Dans la nature pourtant, te lion n'est pas plus noble que le tigre, et le tigre n'est pas plus fourbe que le lion. Aucun zoologiste n'utiliserait des descriptions aussi anthropomorphiques. Culturellement, les deux fauves sont investis de qualités abstraites, et c'est cet investissement culturel qui est producteur de symboles. Les objets par eux-mêmes, dans la communication non verbale, peuvent avoir valeur de symbole. Une douzaine de roses rouges qui poussent dans un jardin ne symbolisent pas l'amour. Cueillies, liées en bouquet et offertes par un homme à une femme, les mêmes fleurs symbolisent l'affection et l'attachement, mais seulement en raison d'une convention préalable que l'homme ne cherche pas à modifier et que la femme reconnaît. Personne ne peut inventer un symbole et lui imposer un sens. Biographie de l'auteur Nanon Gardin est spécialiste de de l'histoire de l'art et de la mythologie Robert Olorenshaw est historien et sémiologue.
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