Fiche technique
- Titre : La Cité de Dieu, tome 3 : Livres XVIII à XXII
- Auteur : Saint Augustin
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 357
- Genre : Sociologie, sciences sociales
- Date de publication : 18-05-2004
- Édition : POINTS
- Poids : 0.205 kg
- Dimensions : 10.9 x 1.8 x 17.8 cm
- ISBN-10 : 2020220660
- ISBN-13 : 9782020220668
Résumé
La Cité de Dieu 3Livres XVIII à XXII Quand Rome est mise à sac en 410 après J.-C., les Romains s'interrogent : le christianisme serait-il responsable du déclin de la cité ? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force de La Cité de Dieu consiste à proposer un principe pour comprendre des événements inédits. Augustin distingue deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leurs destins ne doivent pas être confondus : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde, mais elle n'y est pas " réalisée ". Elle représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté. Les résonances politiques, religieuses, culturelles de La Cité de Dieu ont été immenses dans l'histoire de l'Occident.Traduction du latin de Louis Moreau, revue par Jean-Claude EslinQuatrième de couvertureQuand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : serait-il responsable du déclin de Rome ? Augustin relève le défi de cette interrogation.La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du Jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.Les résonances politiques, religieuses, culturelles de La Cité de Dieu, dont c'est la première traduction intégrale en « poche », ont été immenses dans l'histoire de l'Occident.
Quatrième de couverture
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : serait-il responsable du déclin de Rome ? Augustin relève le défi de cette interrogation.La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du Jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.Les résonances politiques, religieuses, culturelles de La Cité de Dieu, dont c'est la première traduction intégrale en « poche », ont été immenses dans l'histoire de l'Occident.Biographie de l'auteurTraduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin
À propos de l'auteur
Saint Augustin
Traduction du latin de Louis Moreau revue par Jean-Claude Eslin
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