Fiche technique
- Titre : Vide et plein
- Auteur : Cheng, François
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 192
- Genre : Sociologie, sciences sociales
- Date de publication : 01-05-1991
- Édition : Seuil
- Poids : 0.195 kg
- Dimensions : 10.9 x 1.1 x 17.9 cm
- ISBN-10 : 2020125757
- ISBN-13 : 9782020125758
Résumé
Vide et plein L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, " plus vrai que la Nature elle-même " (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles, d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de force ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide. Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait même. C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise ; celles-ci forment un système signifiant auquel François Cheng est le premier à appliquer une analyse sémiologique. Son commentaire est enrichi par d'amples citations et des reproductions.François Cheng Écrivain, il a été professeur à l'INALCO. Membre de l'Académie française, il est notamment l'auteur de Souffle-Esprit (Seuil, " Points Essais ", 2006) et de Cinq méditations sur la mort (Albin Michel, 2013).Quatrième de couvertureL'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, " plus vrai que la Nature elle-même " (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles : d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de forces ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide. Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait lui-même. C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise ; celles-ci forment un système signifiant, auquel François Cheng est le premier à appliquer ici une analyse semiologique. Son commentaire est enrichi par d'amples citations et des reproductions.
Quatrième de couverture
L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, " plus vrai que la Nature elle-même " (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles : d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de forces ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide. Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait lui-même. C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise ; celles-ci forment un système signifiant, auquel François Cheng est le premier à appliquer ici une analyse semiologique. Son commentaire est enrichi par d'amples citations et des reproductions.Biographie de l'auteurFrançois Cheng, né en Chine en 1929. Docteur ès lettres, professeur à l'Institut national des langues et civilisations orientales, il est l'auteur d'importants travaux sur l'art et la poésie de son pays d'origine. Il a publié notamment au Seuil : L'Ecriture poétique chinoise (1977), Souffle-Esprit (1989).
À propos de l'auteur
Cheng, François
François Cheng, né en Chine en 1929. Docteur ès lettres, professeur à l'Institut national des langues et civilisations orientales, il est l'auteur d'importants travaux sur l'art et la poésie de son pays d'origine. Il a publié notamment au Seuil : L'Ecriture poétique chinoise (1977), Souffle-Esprit (1989).
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