Fiche technique
- Titre : Quattrocento
- Auteur : Greenblatt, Stephen
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 384
- Genre : Sociologie, sciences sociales
- Date de publication : 04-03-2015
- Édition : FLAMMARION
- Poids : 0.27 kg
- Dimensions : 10.9 x 1.9 x 17.8 cm
- ISBN-10 : 2081312816
- ISBN-13 : 9782081312814
Résumé
Et si la Renaissance était née d'un livre ? Un livre perdu, connu par fragments, copié par quelques moines et retrouvé par un humaniste fou de manuscrits anciens ? L'idée, audacieuse, vertigineuse, ouvre les portes de l'histoire de Poggio Bracciolini, dit le Pogge, qui découvrit dans un monastère allemand une copie du De rerum natura de Lucrèce. C'était à l'aube du XVe siècle. Le Pogge n'était pas seulement un bibliophile passionné et un copiste hors pair. Il aimait les arts et avait écrit des facéties grivoises. Il aimait les femmes et était père de dix-neuf enfants. Il n'aimait pas l'Eglise, mais était secrétaire d'un pape diaboliquement intelligent et corrompu. Sa découverte allait précipiter les temps modernes et influencer des esprits aussi puissants que Botticelli, Montaigne ou Machiavel. «Fin connaisseur de la Renaissance, Greenblatt est un conteur d'exception : tout le savoir tourne au roman et l'érudition au plaisir» Claude ArnaudQuatrième de couvertureEt si la Renaissance était née d'un livre ? Un livre perdu, connu par fragments, copié par quelques moines et retrouvé par un humaniste fou de manuscrits anciens ? L'idée, audacieuse, vertigineuse, ouvre les portes de l'histoire de Poggio Bracciolini, dit le Pogge, qui découvrit dans un monastère allemand une copie du De rerum natura de Lucrèce. C'était à l'aube du XVe siècle. Le Pogge n'était pas seulement un bibliophile passionné et un copiste hors pair. Il aimait les arts et avait écrit des facéties grivoises. Il aimait les femmes et était père de dix-neuf enfants. Il n'aimait pas l'Église, mais était secrétaire d'un pape diaboliquement intelligent et corrompu. Sa découverte allait précipiter les temps modernes et influencer des esprits aussi puissants que Botticelli, Montaigne ou Machiavel.
Quatrième de couverture
Et si la Renaissance était née d'un livre ? Un livre perdu, connu par fragments, copié par quelques moines et retrouvé par un humaniste fou de manuscrits anciens ? L'idée, audacieuse, vertigineuse, ouvre les portes de l'histoire de Poggio Bracciolini, dit le Pogge, qui découvrit dans un monastère allemand une copie du De rerum natura de Lucrèce. C'était à l'aube du XVe siècle. Le Pogge n'était pas seulement un bibliophile passionné et un copiste hors pair. Il aimait les arts et avait écrit des facéties grivoises. Il aimait les femmes et était père de dix-neuf enfants. Il n'aimait pas l'Église, mais était secrétaire d'un pape diaboliquement intelligent et corrompu. Sa découverte allait précipiter les temps modernes et influencer des esprits aussi puissants que Botticelli, Montaigne ou Machiavel.Biographie de l'auteurStephen Greenblatt, spécialiste incontesté de Shakespeare, est professeur de littérature anglaise à l'université Harvard. Il est l'auteur du brillant Quattrocento et de Will le Magnifique, finaliste du prix Pulitzer et traduit en vingt langues.
À propos de l'auteur
Greenblatt, Stephen
Stephen Greenblatt, spécialiste incontesté de Shakespeare, est professeur de littérature anglaise à l'université Harvard. Il est l'auteur du brillant Quattrocento et de Will le Magnifique, finaliste du prix Pulitzer et traduit en vingt langues.
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